LES FILLES, BANDE A PART
Pour la deuxième année consécutive, Saint-Grégoire a fait divorcer les femmes des hommes (ou l'inverse). 10h pour les coureuses. 11h pour les
coureurs. Mais pour tous un temps idéal. Pas de vent. Une température douce, autour de 10 degrés. Le printemps au coeur de l'hiver, quoi !
Personne ne s'en plaindra...
Cette première course de l'année ne réserve pas de surprise particulière. On retrouve le même parcours. Agréable mais exigeant. Donc pas
facile pour ceux qui ont un peu abusé des réveillons... Il y a en effet quelques kilos à perdre pour retrouver de meilleures sensations...
Retrouvailles encore avec tous ceux et toutes celles qui seront nos compagnons de souffrance durant toute cette année. Coraline, Cathy et
Françoise ont été les premières à monter au créneau dimanche matin. Les hommes ont suivi : une petite colonie qui a apprécié elle aussi le
circuit de Jean-Pierre Pen : un excellent apéritif avant les plus gros morceaux à venir : canal St Martin et semi-marathon de St Gilles...
Ph.D.
BITUME NOIR et GELEES BLANCHES
Ouh ! Ca change du climat de Saint-Grégoire ! Un petit "moins deux degrés" pour vous rafraîchir d'entrée de jeu. Faut dire qu'on y était pas
vraiment habitué. Mais si on choisit sa course, on ne choisit pas forcément le temps qu'il fera...
Donc plus question de chemin de halage avec cette fameuse côte qui sent le sapin. Non ! à la place : un long ruban de bitume qui servira de
déviation à Betton. On retrouve ici le concept de course de pré-inauguration de la Route des Estuaires ou de la rocade nord de Rennes. Soit :
un aller et retour de 10 kms avec du plat et des faux plat. Le gros avantage, c'est de pouvoir au moins pour une fois voir la tête de course.
Car quand vous terminez votre première ligne droite sur votre voie, vous croisez les premiers qui se trouvent eux sur l'autre voie. Même
schéma en fin de course avec un nouveau chassé croisé.
Un parcours facile, roulant et même relativement souple. Quelques courageux de l'association avaient bravé le froid pour courir dans un
paysage où le blanc recouvrait le vert des prairies alentour.
Belle petite promenade réalisée sans trop d'effort (ah ! ça fait du bien de terminer un 10 kms passé à discuter et plaisanté sans être un brin
fatigué à l'arrivée).
Allez promis, juré : après la mise en jambes, je fais le métier dimanche prochain.
Quand en retrouvant les bords du canal, on va s'attaquer à une plus longue distance...
Ph.D
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Les Foulées du CANAL SAINT MARTIN - Dimanche 3 février
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Les résultats |
Au FIL de l'EAU...
Au fil de l'eau, vous y allez mollo. Ou alors vous mettez le turbo... A l'image du président qui s'est envolé pour battre des records.
D'autres avaient choisi de mettre la pédale plus douce par un temps très très frais. Heureusement qu'un brin de soleil, un petit quart d'heure
avant le début de la course, est venu réchauffer les énergies.
Le parcours ? On en connait chaque gravier : c'est roulant et plaisant. A tel point qu'on peut choisir de plaisanter et de bavarder tout le
long de la course. (désolé, je n'ai pas fait le métier, comme promis. Mais en période électorale, il ne faut pas croire les promesses que vous
entendez ou lisez...). Les filles avaient montré l'exemple sur un parcours plus light. Ils étaient 4 ensuite à s'attaquer aux 15 kilos. Le
premier de la saison après les 2 de 10 km de St Greg et Betton.
Dimanche, un 10 km à la Chapelle aux Filtzméens. Et cette fois-ci, promis juré, on s'arrache un peu plus. Réponse dans moins d'une semaine
pour savoir si la promesse est cette fois-ci tenue ...
Ph.D.
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Foulées de La CHAPELLE aux FILZMEENS - Dimanche 10 février
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Les résultats |
10 KILOS sous 10 DEGRES
Si vous éprouvez un petit coup de fatigue au tiers de la course où en arborant le 8ème kilomètre, cette épreuve est faite pour vous. En effet,
au 3ème kilo (et 5 kilos plus loin, lors de la seconde boucle), vous avez droit à une bonne descente qui fait du bien aux jambes. Ca permet de
rattraper un peu le retard accumulé lors du premier kilo (et surtout au 6ème, lors du second passage) quand il faut affronter une longue ligne
droite en faux plat et un petit vent contraire. Les difficultés d'une course dans l'ensemble assez roulante malgré la petite remontée vers le
bourg.
Un parcours champêtre qui s'est déroulé sous un soleil assez soutenu. Finalement de très bonnes conditions de course où pour une fois Dédé
Delacroix (l'homme du semi de Liffré) était à l'animation et Jean-Luc Bot (l'homme du micro) était en course...
Ph.D.
FAUT QU'ÇA ROULE ! ...
... Et c'est pas évident car le parcours est vallonné... Ça monte un peu et ça descend un peu aussi. Des faux-plats pour les costauds. Des
côtes pour les plus ramollos... Ça commence déjà au moment où il faut aller récupérer son dossard. La salle polyvalente se trouve à ... dash !
A près de 500 mètres du centre bourg. Donc pas question d'arriver au dernier moment. Là où est d'ailleurs donné le départ.
La course ? Ça monte, ça descend un peu. On tourne à droite, c'est plat , ça descend, ça remonte quand il faut virer à gauche. Ça redescend.
Et ça remonte dru en deux temps quand il faut retrouver les abords de la salle polyvalente. Nouvelle descente et c'est parti pour la seconde
boucle avec la remontée vers la salle polyvalente. Après, vous connaissez le chemin. Il faut en garder un peu dans les semelles pour terminer
la course avec un nouveau faux- plat. C'est pas du gâteau même si le buffet final qui vous attend est toujours de première classe.
C'est assurément le meilleur de toutes les courses de 10 km du département. Mamie Nova n'a pas de rival ! Ce dimanche matin-là, il faisait
plutôt frisquet avec un vent un peu hostile et un soleil rasant qui vous obligeait à baisser les yeux. Mais, vous le savez, la course à pied,
çà demande de l'humilité...
A noter la présence au micro de Dédé Delacroix et dans la course de Jean-Luc Bot. Comme le dimanche précédent à la Chapelle-aux-Filzméens.
Ph.D.
RENDRE des COMPTES dans les COTES...
Bon, on l'a déjà dit. On l'a déjà écrit. C'est sans doute le 10 km le plus costaud de tout l'Ille et Vilaine. La côte du cimetière en deux
temps n'est pas réellement une partie de plaisir. En plus, la remontée vers l'église ressemble à un calvaire. D'accord, il y a bien une petite
descente sympa dans le bourg et la longue (1 kilo) déclivité vers la zone des Noës qui font du bien. Mais, il faut quand même savoir bien
gérer sa course faite de trois boucles identiques.
Heureusement, ce samedi après-midi là, il faisait un beau temps pour courir. Ce qui tranche avec les deux dernières éditions avec au menu la
pluie à l'arrivée et l'an dernier un temps hivernal.
Ph. D.
COTE VILLE, COTE CAMPAGNE
Vous avez droit aux deux : deux petites boucles qui vous font traverser le centre bourg de Thorigné et deux grandes boucles qui vous
conduisent à la campagne avec en prime un peu plus d'un kilomètre sur de la terre battue. Voilà pour le parcours où le kilométrage est
admirablement bien orchestré.
Le temps ? Idéal pour la course à pied : ni trop froid ni trop chaud avec un vent pas trop défavorable. Bref, de bonnes conditions de course
en ce dimanche matin. Pas trop de difficultés non plus, si ce n'est la longue remontée du bas du bourg : pas difficile malgré une petite
déclivité mais un peu longuette. Et puis, ça fait du bien lors des deux dernières boucles d'aller mettre le nez au vert et de terminer sur une
bande de terre battue très roulante.
Une belle édition en somme que ce second 15 kms de l'année et qu'ont aprécié les deux coureurs de Je Cours à Rennes engagés dans l'épreuve
dominicale.
Ph.D.
Du NEUF pour une Course NEUVE
Les Champs Géraux : pays improbable, perdu au milieu de nulle part. Mais avec un bon GPS ou une vieille carte Michelin, on finit toujours par
trouver...
Fin de plaisanterie et paré pour le départ pour une épreuve passée cette année de 10 à 15 km. Course toute neuve donc pour les 9 de
l'association présents ce dimanche matin-là et qui avaient répondu à l'appel de Bertrand. Un temps agréable malgré la menace de la pluie qui a
eu le bon goût de se mettre en grève. Et tant mieux car du côté de l'étang, on aurait davantage patiné que couru. Le parcours : ma foi,
agréable sans trop de difficultés : macadam, terrain de terre et de pierre ont constitué notre pensum agrémenté de quelques faux-plats. A
parcourir : une petite boucle et deux plus grandes autour du village avec à chaque fois passage devant le podium où officiait l'excellent
Jean-Luc.
Tout s'est très bien passé pour tout le monde avec à l'arrivée un déjeûner servi chez Bertrand. De quoi requinquer des énergies émoussées en
terre costarmoricaine. Promis, juré : on reviendra l'an prochain.
Ph.D.
Ça RAME aux RAMEAUX !
Elle n'est pas si facile que çà ! Bon, d'accord, c'est plutôt roulant si on excepte bien sûr la côte de l'Héronnière. Mais c'est une épreuve
un peu sournoise avec des petits faux-plats qui se glissent ici et là et qui font mal aux jambes. Bon, heureusement que la pluie n'a pas fait
son apparition. Il y a eu un peu de vent de face surtout en sortant de la route de saint-Sulpice et en remontant vers les avenues direction la
Bellangerais.
L'association était une nouvelle fois bien représentée.
A noter que les indications du kilométrage étaient fort claires. Dommage que les ravitaillements n'aient pas été à la hauteur. On attend un
peu plus et un peu mieux pour cette épreuve. C'est le seul bémol avec les malaises éprouvés par deux coureurs de cette matinée de Rameaux où
certains ont un peu ramé. Merci à ce propos à Jean-Pierre Pen et à Courir à Saint-Grégoire de m'avoir "traîné" jusqu'à la ligne d'arrivée.
Ph. D.
La TREVE PASCALE
Samedi, un temps de chien. Dimanche, un temps d'agneau. En tout cas, ce matin de Pâques a bénéficié d'une fenêtre météo qui a permis à la
course de se dérouler dans les meilleures conditions possibles. Certes un petit peu de vent mais pas de pluie ni de neige. Un temps ravigotant
en fait pour parcourir un petite boucle de 2 kms et 2 autres plus grandes de 4e de chemin de campagne avec en prime des ravitaillements bien
placés et une très bonne indication de kilométrage.
Bref, une belle course et une organisation sans faille avec en prim kms chacune tout autour du bourg. Pas de grosses difficultés si ce n'est
cette petite côte au détour d'un tourne-à-droite d'un chemin creux qu'il faut grimper à deux reprises au 4ème et 8ème km. Le parcours ? : du
macadam et une bonne partie un excellent speaker en la personne d'André Delacroix qu'on retrouvera dimanche prochain au semi de Liffré.
Ph.D.
Un SEMI RAFRAICHISSANT
"J'étais sur la route toute la sainte matinée... Je n'ai pas vu la fatigue en moi s'immiscer..." Voilà pour la parodie d'une des chansons
fétiches de Gérald de Palmas... La fatigue peut-être due à l'heure perdue de la nuit ? Ou au sale temps qu'ont du affronter les coureurs dont
une petite demi-douzaine de courageux de Je cours à Rennes.
Le circuit ? On le connaît par coeur : une petite boucle d'un peu plus de 4 kilos et deux autres d'un peu plus de 8. C'est un parcours roulant
sans réelle difficulté si ce n'était ce dimanche matin-là le vent pas toujours favorable, le petit froid qui a mis à rude épreuve des
organismes pas suffisamment échauffés et la pluie qui a fini par s'abattre sur le peloton. Surtout sur le dos des attardés qui entamaient le
dernier tour car les cadors commençaient eux à fouler la piste du stade.
L'organisation est parfaite : parcours bien fléché, kilométrage indiqué à chaque kilo et ravitaillement conséquent. Celui de l'arrivée égalant
par la quantité et la qualité celui des 1O kms de Marcillé-Raoul. C'est dire !.. Rien à redire non plus sur l'organisation dont une grande
partie repose sur les épaules de Christine et du grand Dédé Delacroix. On prend déjà date pour l'an prochain...
Ph.D.
SOUS le VENT et la NEIGE ...
Vous croyez partir pour un 14,6 km comme indiqué lors de l'inscription et au final vous ne courez que pendant 13,9 km... Le kilométrage a-t-il
fondu comme la neige qui est tombée vers 11h15 au moment où le plus gros du peloton franchissait la ligne d'arrivée ? Mystère... Toujours
est-il que c'est une bonne surprise de savoir qu'il ne vous reste plus que 100 mètres à parcourir au détour du dernier virage alors que vous
avez en tête l'idée d'en faire 700 de plus...
Toujours est-il que cette première édition a échappé au pire. Au temps menaçant qui aurait pu faire de cette épreuve un véritable calvaire.
Bien sûr, il y a eu cette averse qui a rincé les coureurs alors qu'ils traversaient de long en large la plage du Verger et l'arrivée sous la
neige fondue...
Autrement, un parcours très nature et de toute beauté. 4 km de macadam pour sortir de Cancale et 3 autres pour y revenir. Le reste : des
chemins creux, un peu détrempés par endroits, et de terre mélangée au sable. Pas facile la remontée du 8ème kilo et ardue la grimpette dans un
boyau au sortir de la plage du Verger. Le chemin des douaniers n'est pas un long fleuve tranquille. Mais un régal pour les yeux quand ils
quittent le sol qu'il faut pourtant surveiller pour éviter de s'empêtrer dans le sable ou se prendre les pieds dans les racines des pins
maritimes.
Une belle course en tout cas même s'il faut à l'aller affronter un vent de noroît qui heureusement vous donne au retour sur Cancale un bon
coup de pouce dans les 3 derniers kilomètres.
Ph.D.
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10,8 km des foulées EVRANNAISES - Vendredi 11 avril
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Les résultats |
COURIR pour un ENFANT
Vendredi 11 avril, 19 h 30, le souffle puissant de Bertrand LHERMITE dans la trompette donna le top départ des 7éme foulées Evrannaises.
Course ayant la particularité grâce au versement d'une partie des bénéfices générés par cette épreuve de soutenir le projet d'un enfant
atteint d'une maladie orpheline.
Une course de 10,8 km couru sur un circuit sans grandes difficultés de 3,6 km.
La météo qui avait prévue une journée de mauvais temps pour ce vendredi c'est une nouvelle fois trompée car c'est sous un temps agréable pour
courir que s'est déroulée cette manifestation qui a attiré de nombreuses personnes tant spectateurs que coureurs.
L'association
Je cours à Rennes était présente sur le parcours grâce à 2 coureurs Cathy et Françoise qui ont par leur présence tenue
la promesse faite à l'organisatrice de cette épreuve lors des Foulées des Champs Géraux que l'Asso "Je Cours à Rennes" serait présente ce
jour.
Guy B.
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La Corrida de SAINT JOUAN des GUERETS - Dimanche 13 avril
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Les résultats |
L'ARENE des COURSES sur ROUTE
Qui s'est fait le plus de mal sur ce 10 km ? Jean-Luc Bot, le speaker qui a vu passer devant lui pas moins de 5 fois les coureurs avec charge
pour lui de faire preuve de perspicacité pour reconnaître dossards et maillots ? Ou les coureurs qui avaient tôt ce dimanche matin à fouler un
parcours étonnamment plat ?
En effet, pas de difficulté particulière : vous aviez même le temps au sommet d'une toute petite bossette de jeter un oeil sur le magnifique
panorama des bords de Rance.Ça change de l'an passé où le brouillard avait complètement inondé l'épreuve. Cette année, les coureurs ont eu
droit à un temps idéal : certes, un peu frisquet au départ mais ensuite un doux soleil a fait son apparition. Que demander de mieux ?
Bref, une épreuve qu'il faut absolument tester surtout si vous avez envie d'améliorer votre chrono. C'est parfaitement orchestré avec une
indication parfaite de kilométrage et à l'arrivée un buffet royal.
Bravo aux organisateurs !
Ph.D.
Du CŒUR à l'OUVRAGE
Ouf ! La course a profité d'une belle fenêtre météo, comme on dit chez les marins. Car le ciel était plutôt sombre ce dimanche matin. Mais il
devait sans doute déjà avoir déversé la nuit précédente tout son réservoir de pluie. Car il a laissé en paix les coureurs qui ont du cependant
par moments slalommer pour éviter les flaques d'eau, témoignages des averses nocturnes.
C'est un parcours absolument plat qui est proposé avec un départ sur la piste du stade vélodrome et retour sur cette même piste. L'épreuve
consiste donc à fouler le chemin de halage le long de la Vilaine jusqu'à Cesson et retour. Une distance d'environ 10 km sans aucune
difficulté.
Petit bonheur : croiser sa foulée avec celle de Stéphane Diagana qui parrainait cette 4ème édition. Ambiance très conviviale donc sans
recherche excessive de performance et où l'association se devait d'être représentée.
Ph. D.
A FOND LA VIE
Bienvenue à Belle Isle en Terre en ce dimanche 27 Avril sous un temps mitigé mais agréable pour participer aux différentes manisfestations qui
vont se dérouler au cours de cette journée ayant pour objectif d'aider la recherche pour la lutte contre la Mucovisidose.
4 coureurs de l'asso (Françoise, Cathy, Didier et Guy ) vont prendre le départ du trail de 15 km dont le départ sera donné à 10 h 45.
Le message du jour étant de participer sans pour cela vouloir battre des records, Françoise et Cathy décident donc de se joindre à une
trentaine de coureurs de
l'asso "Rance Jogging" qui viennent là pour apporter leur soutient à l'un des leurs dont la famille est
durement touchée par cette maladie.
C'est ainsi que 2 tâches rouges se perdent au milieu d'une trentaine de tenues noires fermant la longue file de plus de 800 coureurs
participant à ce trail.
Une ambiance festive et formidable sur le terrain de sport d'où partent toutes les épreuves fait penser que nous allons passer une bonne
journée.
10 h30, le départ du 15 km est donné, plus de 800 coureurs s'élancent du terrain de sports, parcourent quelques rues du bourg avant d'attaquer
trés rapidement dans le 1er km la première et la plus grosse difficulté de la course, une longue montée nous menant dans la campagne avant
d'attaquer le sous-bois, majeure partie du parcours avec ses différents dénivelés.
Aprés presque 2 heures de courses pour certains, tout notre petit monde est bien arrivé à "bon port" (même si nous sommes à Belle Isle En
Terre) et le début d'aprés midi va débuter sous des airs de musique par une bonne table sous la salle de sports.
Une expérience à renouveller sans hésitation l'année prochaine.
Guy B.
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10 km de SAINT BENOIT des ONDES - Dimanche 27 avril
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Les résultats |
Un TRAVAIL de BENEDICTIN
Tiens, Saint-Benoît-des-Ondes ! Ça rappelle des souvenirs aux habitués du marathon du Mont Saint-Michel. C'est la première commune traversée
de long en large au départ de Cancale. Celle où on se dit qu'on a peut-être fait une connerie de s'engager dans pareille aventure. Ou celle à
hauteur de laquelle on commence à ressentir un brin de fatigue et où on se dit qu'on est pas au bout de ses peines...
Bref, ce dimanche-là, le programme ne prévoit qu'un 10 kilomètres. Et en plus sur un parcours unilatéralement plat. Le champion du monde de la
platitude. Chartres, Chavagne n'ont plus qu'à aller se rhabiller, c'est St Benoît le top du top. Pas une seule malheureuse petite
dénivellation. Et croyez-moi, j'ai vérifié centimètre après centimètre. Rien de chez rien. Du plat, du plat et encore du plat. Que reste-t-il
alors ? Une petite boucle et deux autres un peu plus longues. Avec défense de passer par la route de la baie. Trop compliqué pour obtenir les
autorisations. Donc, on fait un tour dans le bourg et ensuite on va faire un détour dans les polders. Et comme vous le savez, qui dit polder
dit non seulement bol d'air mais aussi plat de chez plat (désolé, j'ai pas trouvé de rime). Bref on aligne les kilos comme le bénédictin ses
enluminures sur son parchemin. Sous une température merveilleuse : très douce.
Véritablement une belle matinée sportive animée par un Dédé Delacroix pas très frais. Mais heureusement, le talent de commentateur a fait
oublier sa nuit blanche...
Ph. D.
DOMLOUP ENFIN ...
En ce jeudi férié, un évènement a eu lieu à Domloup.
Après quelques hésitations dans la semaine du à un manque d'entraînement évident et peur, que la vilaine blessure qui l'avait cantonné sur le
bord des routes à un rôle de supporter et de photographe, ne ressurgisse.
La décision fut prise de remettre le maillot de couleur noir et rouge qui nous est si cher pour s'élancer sur un 10 km, 3 ans après ....
Eh oui notre spécialiste du trialthlon, notre dévoreur de macadam est de retour.
Les rôles se sont aujourd'hui inversés, lui qui m'a si souvent accompagné sur les courses dans mes débuts, comme quoi tout peut arriver dans
le sport.
Aujourd'hui PASCAL PAY a repris la compétition, quel bonheur de voir un des piliers de l'assoc. revenir, avec les temps qui court ça fait du
bien.
Nous avons rencontré lors de l'échauffement notre insatiable Philippe qui fut agréablement surpris de voir Pascal en short, respect M.
PHILIPPE qui après le 10 kilometres de DOMLOUP du matin se rendait l'apres midi à MONTFORT IFFENDIC MONTFORT courir, excusez du peu, un 16 km
(où nous apprendrons plus tard qu'il a realisé une très bonne performance.)
Donc accompagné de son lièvre, Pascal avec six kilos de plus ce qui est peu cher payé vu le régime qu'il suit, s'est élancé sur le 10
kilomètres de Domloup qui est tres exigeant, le plat étant quasi inexistant.
Bien sûr l'objectif du jour n'était pas d'affoler les chronos on verra plus tard mais bien de faire un état des lieux. Après 3 kilomètres trop
rapides (on garde les mauvaise habitudes) un retour à la raison s'est naturellement imposé : souffle court, bosses, relances permanentes ont
eu raison de notre euphorie initiale. Anita et Gabriel était présents pour nous encourager, eh oui la légendaire bonne humeur de la compagne
de Pascal, elle aussi est de retour.
Quel plaisir, quand 44 mn plus tard il a ramené son dossard sur la ligne d'arrivée.
Mis à part des courbatures dignes d'un marathonien, aucune inquiétude provenant du dos, et déjà des projets du côté de Cancale St Malo...
Il était dit qu'aujourd'hui je l'accompagnerai, mais je ne me fais de soucis, très bientôt, je n'apercevrai que son maillot au loin à la tête
du peleton.
allez fonce mon pote ......
Christophe.
FINIE la TREVE, PASCAL !
Pascal, le retour ! Après 3 ans de break, Pascal est de retour. Il se trouvait en effet dans le peloton en compagnie de Christophe et de
Philippe (3 coureurs de Je Cours à Rennes, c'est Byzance !) pour célébrer la fête du travail. Le boulot : 10 kms pas faciles à travers les
rues du centre de Domloup et les sous bois autour du Rimon, le cours d'eau qui coule au milieu de la verdure. Que de la relance sur cette
course avec quand même quelques belles descentes qui permettent de souffler un peu. Un parcours classique mais toujours aussi agréable et
apprécié. Les organisateurs avaient d'ailleurs bien préparé le terrain car on aurait pu craindre de patauger dans des chemins embourbés après
les pluies des jours précédents. Ca n'a pas été le cas.
En plus, les coureurs ont bénéficié d'un temps idéal : pas de pluie, pas de vent, un petit temps frais, juste ce qu'il faut. Un dosage
parfait, en somme. Un bon entraînement avant de mettre le cap sur Montfort l'après-midi.
Ph. D.
Début des mots
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Course du MUGUET, MONTFORT-IFFENDIC-MONTFORT - Jeudi 1 mai
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Les résultats |
L'EFFET CLOCHETTES
Si on est sûr que le 1 mai tombe un jour férié (en tout cas, pour le moment encore), on est moins sûr de ce qui vous tombe dessus durant la
course du muguet. Et ouf, on a au moins évité le terrible orage qui a secoué le ciel d'Ille et Vilaine une heure et demie avant la course !
Qui, en fait, a profité d'une fenêtre météo. Des menaces de pluies restées heureusement au stade de la menace. Un petit vent de trois-quart
dans le nez à l'aller et de trois-quart arrière au retour. Sur la ligne de départ, un trio de coureurs de l'association ou presque : Roger,
Xavier et Philippe, pour le décrassage de Domloup. Et qui ont eu le plaisir de découvrir à l'arrivée Dédé, le tout nouveau grand-père et Ronan
distribuer les dépliants pour la course
ELLE et LUI 35 de juin prochain. Une course agréable et sans doute moins éprouvante quand le
départ se déroule au pied de l'abbaye de Montfort.
Ph. D.
PROCHAIN OBJECTIF : faire mieux sur
le délai !
" ERQUY...: quand on y est on a déjà envie d'y revenir "
Année de transition pour les coureurs de l'association habitués à ERQUY. On reviendra en force l'année prochaine parce que c'est un
cadre exceptionnel avec un accueil très chaleureux de LA VAILLANTE de ST BRIEUC. Merci à eux et à Bernard une nouvelle fois. Sinon,
"même pas dure la course"
Ronan s'est amusé sur le 32 kms (sa famille l'attendait à l'arrivée) avec Bernard qui a trainé un peu en route ! Sur le 15 kms, que des bons
avec Didier (qui venait de boucler Belle Ile en Terre la semaine d'avant), et moi-même toujours constant dans l'effort. Notre ami
Bertrand a assuré avec le nouveau maillot de son association.
Nous ont encouragés, au cours de cette 1ère belle journée ensoleillée dans les Côtes d'Armor Gilbert et Sylvie et en soirée Michelle. Bonne
ambiance en nocturne, et là encore nous avons fait HONNEUR à nos couleurs.
Nous nous sommes retrouvés sur la sortie matinale du lendemain et le repas du midi, encore en forme !!! Catherine a aussi enfilé ses
chaussures pour attaquer vaillamment les chemins de douaniers. Un peu de poésie extraite d'une bouteille de vin (comme quoi, on ne se contente
pas que du contenu mais on s'intéresse aussi au contenant) :
Château l'insoumise, irritante à souhait, elle enfile le manteau poétique pour mieux établir sa pensée...
A l'année prochaine pour de nouvelles aventures...
Sportivement
Patrick G.
Le Trail aux DEUX ESCALIERS
D'abord une précision : ce n'est pas 13 comme annoncé en une de dépliant; ce n'est pas 13,4 comme précisé sur le bulletin d'inscription; mais
tout près de 14 km ce trail qui part de la zone industrielle de Dinard pour finir au coeur de la Timac à Saint-Malo !
Car il a eu cette année une innovation. Lors de la descente vers l'église Ste-Croix à Saint-Servan au km 9, il y a une tourne à gauche qui
vous emmène vers le petit parc des Corbières. Un détour heureusement pas trop méchant mais qui rallonge la course. Autrement, rien de nouveau.
La course lèche la Rance maritime, franchit la rivière au pont de l'usine marémotrice, borde la Manche avant de déboucher sur les bassins
malouins.
Parcours agréable donc avec le kilo de la mort : entre le 5ème et 6ème, la traversée du parc de la Briantais (après le premier escalier). Ah,
ce maudit ravitaillement qui se fait désirer après le 6ème kilo ! Le temps a été de la partie : un peu lourd au départ et puis l'arrivée du
soleil à l'approche de la tour Solidor (avant le second escalier).
Du monde à l'arrivée et quelques têtes connues dans la course comme les collègues de souffrance de Courir à Saint-Grégoire, le président JPP
en tête...
Ph. D.
QUE LA nature EST BELLE ...
14 h 30, le speaker donne le départ des 16 km de ce 5éme trail de la vallée du Couesnon.
Sous une grosse chaleur les inscrits à cette épreuve attaquent la 1ére difficulté du parcours, la montée menant du bas du bourg vers la place
de l'église, départ des années précédentes. Ensuite, une descente sur une petite route d'environ 1 km nous améne à un sentier traversant un
champs. Toujours en descendant, nous attaquons à travers bois jusqu'à la rive de cette petite rivière tumultueuse appelée "Le Couesnon".
Longeant cette rive sur quelques km, nous traversons la rivière pour revenir sur nos pas sur la rive opposée et là les dénivelés deviennent
plus importants, les ralentissements se forment, puis entre le 6éme et le 7éme km se pointe le seul ravitaillement du parcours (beaucoup de
coureurs en souffriront).
Puis la course continue sur cette rive durant encore environ 4 km avant de retraverser la riviére pour retour vers notre point de départ et
là, les choses sérieuses commencent. Tout de suite, la cerise sur le gâteau, une montée à pic s'offre à nos jambes et si c'est la plus dure du
parcours, ce n'est pas la derniére. Effectivement la fin de course sauf les 2 derniers km relativement plats fait penser aux montagnes Russes.
On monte, puis on redescent, puis on remonte tout cela sous les encouragements heureusement des randonneurs.
Enfin un parcours superbe à travers la nature mais trés éprouvant à conseiller aux coureurs ayant quelques km et quelques côtes dans les
jambes mais pas aux autres.
Pour cette 5éme édition, les organisateurs ont voulu inverser le sens du parcours pour éviter semble-t'il les bouchons avec les randonneurs
dans la 1ére partie du parcours partis 1/2 heure plus tôt. Pari gagné je pense mais pari rendant le trail beaucoup plus dur et éprouvant.
Petit bémol à cette magnifique épreuve, 1 seul ravitaillement je pense trop tôt au vue des difficultés arrivant ensuite.
Guy B.
PACE COMPOSE ...
Il faut en effet composer. Vrai pour les organisateurs. Vrai aussi pour les coureurs. La raison : Pacé est actuellement un vaste chantier.
Aussi pas question pour Loïc Rapinel et Gaëlle Houitte, les principaux organisateurs d'avoir carte blanche pour faire passer les coureurs à
travers les rues de la commune. Donc, depuis plusieurs années, c'est une nouvelle fois, un nouveau circuit que l'on découvre. A nous coureurs
de composer avec...
Un circuit en tout cas très plat. Pas de difficulté en vue. Les deux portions sont très roulantes. Donc pas de ville, rien que de la campagne.
Avec en prime, au milieu du vert un petit temps frais et un peu de soleil pour terminer la course. Pas désagréable donc... Il était sans doute
difficile de faire autrement mais pas mal de coureurs ont du croiser sur leur route les flèches khénianes... Un petit inconvénient relevé par
certains à l'arrivée.
Toujours est-il que l'association était bien représentée : une quinzaine de "rouge, blanc et noir" était en course ce dimanche matin. Bravo à
toutes et tous.
Ph. D.
L'assoc. est classée seconde : classement effectué en fonction des coureurs les mieux placés à l'arrivée et non en fonction du nombre de
participants. Un beau trophée a récompensé ce classement.
BRAVO à toutes et à tous.
OUI au VAL des LONGCHAMPS !
Ici, à l'inverse de l'image de la bataille menée sur le quartier, il est quand même permis d'avoir une foulée aérienne... En tout cas, on est
fortement encouragé à aller chercher des forces souterraines pour venir à bout de ces presque 10 kms qui serpentent ce quartier vert rennais
prévu pour accueillir dans la décennie à venir le métro.
Du macadam oui, il y en a dans ce val des Longchamps. Surtout cette montée par palliers de la Butte de Coesmes, à escalader deux fois. Mais
surtout -- et c'est le plus agréable -- des sentiers à travers des sous-bois qui reposent bien les jambes. Car ils sont souvent en déclivité
parfois soutenue. On se demande presque si c'est une course sur route ou un semblant de trail. Heureusement que la pluie a épargné les 200
courageux dont 3 représentants de l'association car on aurait droit à patauger dans de la gadoue. Les pluies de la journée et la forte averse
de 19 h -- une heure avant le départ -- n'a heureusement pas eu de conséquence fâcheuse.
Aussi, pour ceux qui avaient choisi de faire une infidélité au marathon du Mont, c'était une belle occasion de célébrer ces retrouvailles avec
cette course dont on peut craindre que ce soit la dernière édition. A l'image de ces mêmes nuages noirs qui planent sur l'avenir du
semi-marathon de Liffré.
Bref, beaucoup de têtes connues ce samedi soir-là qui très majoritairement plébiscitaient cette course au coeur d'un quartier vivant et
agréable de Rennes. Avec à la station départ-arrivée, l'infatigable Jean-Luc Bot...
Ph. D.
Les DIEUX de la METEO AVEC NOUS ...
En l'absence de notre ami Philippe, c'est à moi que revient la charge de modestement le remplacer, pour commenter cette 20ème édition de
Cancale St-Malo.
A l'image du temps qui règne sur l'hexagone depuis plusieurs mois , la météo capricieuse n 'a pas épargné cette épreuve.
Quel soulagement quand le vendredi précédent malgré de gros nuages noirs, la 9ème édition de la ELLE et LUI 35 s'est déroulée sans pluie, mais
en ce dimanche matin une pluie drue et continue s'abat sur Cancale.
2500 coureurs s'entassent dans la providentielle salle omnisport et a dix minutes du départ, miracle : le déluge s'arrête.
Apres un échauffement timide (200 m. pour les plus expérimentés d'entres nous, ils se reconnaitront) le départ est donné, onze coureurs de
l'association sont prêt à en découdre avec cette course qui est revenue à son itinéraire initial après un an de transition.
Semi sélectif connu de tous : la côte Duguesclin juste avant le 9ème kilo, la première difficulté et la côte de Lupin au 13ème, plus les trois
kilomètres du Sillon, la véritable surprise se situe à l'arrivée.
On ne pouvait rêver mieux avec une arrivée face aux portes de St-Malo au pied du château ! le ravitaillement d'arrivée dans la cour intérieure
de la mairie, espace réservé exclusivement aux coureurs.
Sans une vieille et mauvaise blessure qui s'est réveillée, au quinzième kilo, dans le mollet d'Hubert l'obligeant à regagner la ligne
d'arrivée en marchant, tous les vaillants coureurs de " Je cours à Rennes" auraient rejoint la ligne sans encombre.
Après un rafraichissement intra muros direction la Guimorais ou miracle de la météo nous avons troqué nos vêtements de pluie contre shorts et
maillots de bain car soleil et ciel bleu se sont invités au traditionnel pique-nique (arrosé d'un ou deux apéro, je ne sais plus).
Une sieste pour certains, discussions sur la course à pied , bien sûr, pour les autres, le tout dans une bonne humeur générale (un Ronan et un
Patrick des grands jours)
Un dernier pot sur le port de Cancale, histoire de faire durer cette agéeable journée, et hélas l'heure du retour nous rappelle qu'il est
temps d'aller se reposer après une semaine bien remplie.
Vivement la Prochaine ...
Ch. B.
Début du mot
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La traversée de la BAIE de SAINT BRIEUC - Dimanche 29 juin
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Les résultats |
Les MOLLETS dans l'EAU
Cette 3éme édition du trail de la Traversée de la Baie de St-BRIEUC s'annonce bien même si le temps en ce début de matinée n'est pas au beau
fixe.
10 heures, 700 coureurs environ au mieux de leur forme se présentent sur la ligne de départ, 671 franchiront un peu plus tard la ligne
d'arrivée.
C'est parti pour 14 km. Au bout de 300m, un premier virage trés serré à droite occasionne le 1er bouchon et tout de suite, sur environ 2 km
place à la gréve, sable vaseux parsemé de petits cours d'eau permettant le nettoyage des chaussures.
Puis aprés un virage à droite de nouveau et une petite montée nous menant vers la route départementale que nous suivons sur environ 2,5 km,
nous atteignons le 1er ravitaillement.
La suite du parcours emprunte le GR qui longe la baie. Petit sentier agréable mais où il est difficile de doubler.
Au détour d'un virage à gauche, apparaît le 2éme ravitaillement avant d'attaquer les 2,8 Kms de traversée de la baie. 2,8 km de sable vaseux
ondulé et de cours d'eau qui raffraîchissent le haut des mollets lors de leur traversée.
En sortant de la gréve, une petite montée coupe jarrets, puis au détour d'un virage à droite les derniers 200 métres.
Circuit trés agréable malgré le petit bout de route emprunté et sans grosse difficulté avec cette année en prime un temps idéal pour courir.
Pour finir, durant la remise des prix, un apéritif offert par le club organisateur : La Vaillante de St-BRIEUC que nous remercions encore une
fois pour leur invitation à un pique-nique fort convivial et ensoleillé.
A l'année prochaine.
Guy B.
DUR DUR, LA COTE
9 h 30, le starter donnait sous un temps agréable quoiqu'un peu venteux dans certains endroits le départ des 10émes foulées de Chevaigné qui
allaient voir 286 coureurs franchir la ligne d'arrivée.
9 coureurs de Je Cours à Rennes s'étaient aligné sur le 10Km, 3 sur le 5 km et 1 petite coureuse sur le 400 m (Norin, la fille de Sylvie).
Cette année, les organisateurs avaient décidé de modifier le tracé de la course et je pense que cette initiative à ravi tous les concurrents.
En effet, la petite boucle qu'il fallait parcourir auparavent en fin de parcours pour rallier la ligne d'arrivée aprés avoir avaler la côte a
été cette année placée en début de course.
Comme chaque année, le 1er km descendant donc trés roulant a été couvert à vive allure avant d'attaquer les 8 km empruntant les 2 rives du
canal où chacun retrouva son allure naturelle. Puis, quelques 200m aprés le panneau indiquant le 9éme km, la cerise sur le gâteau : la fameuse
montée sur 800 m nous permettant au bout de franchir la ligne d'arrivée.
Bonne journée pour notre association car en plus des places honorables obtenues par Stéphane Gicquel et Ronan, le 2éme Gicquel inscrit sur la
course, je nomme Sylvain termina 2éme à quelques métres seulement du 1er. Nous y avons cru.
Aprés avoir attendu les podiums afin de féliciter Sylvain, notre ami Rémy, le local de l'étape nous a invité à venir boire chez lui le verre
de l'amitié. Merci Rémy.
Bravo aussi à tous et en particulier à Sylvie qui aujourd'hui faisait son 1er 5 km et qui le finissait trés bien en promettant de revenir sur
un prochain parcours.
Guy B.
La Course PLEINE nature
L'an dernier, un violent orage avait éclaté un petit quart d'heure avant le début de la course. Les années se suivent et ne se ressemblent pas
puisque cette année, les coureurs avaient rendez-vous avec le soleil. Les années se ressemblent quand même un peu puisque c'est à nouveau un
couple de mariés qui a libéré à 19h les 300 coureurs.
Au menu du début de soirée : le même parcours que l'an dernier : la descente vers Miniac et ensuite des chemins creux avant de revenir sur la
route. Des routes bordées de haies de blé ou de maïs : une route de campagne balayée par des vents parfois favorables parfois défavorables. Le
soleil est aussi de la partie et les ravitaillements sont les bienvenus. Sur les longues lignes droites du retour, on retrouve une nouvelle
fois les chemins creux pour déboucher sur le bourg qu'il faut escalader pour en terminer. Le prix à payer de la descente du premier kilo ! Au
total un petit moins que les 13 kms annoncés, soit 12kms 700.
Sur le podium, l'ami Jean-Luc Bot pour animer une cérémonie de remise de prix qui aura joué les prolongations. A tel point qu'il a fallu avoir
recours à la lampe électrique pour lire le listing du classement des coureurs. Heureusement, pas d'école le lendemain...
Ph. D.
La course élue par les coureurs
comme la plus conviviale de France !
Vendredi 6 septembre
Les 9 engagés de « Je Cours à RENNES » et les 5 accompagnatrices se retrouvent au point de rendez-vous pour
un départ à 10 heures.
C’est sous une pluie incessante que tout le trajet va s’effectuer.
Nous prenons le bac à ROYAN à 14 h00 pour traverser l’estuaire de la Gironde.
Samedi 6 septembre
Vers 7 h 30, coiffés de bérets marins à pompon rouge, les amoureux de la course de fond quittent le
camping d’Hourtin-Plage dans la bonne humeur pour rejoindre la ligne de départ à PAUILLAC.
La 24
ème édition du « Médoc », placée cette année sous le signe des îles, rassemble 8500 joyeux concurrents d’une
trentaine de nationalités différentes tous déguisés de façon plus ou moins hétéroclite pour une course vraiment pas comme
les autres.
La Bretagne est bien représentée : marins, bigoudènes…une dizaine de drapeaux bretons flottent au vent.
Nous allons sur la ligne de départ avec notre drapeau levé en chantant «
Il était un petit navire…), chanson reprise par
les autres participants et le public.
Pour les compétiteurs, la motivation est forte : le premier se verra remettre l’équivalent de son poids en grands crûs. Tant pis
pour le plus lourd car ce n’est pas lui qui arrivera le premier…
Quelques minutes avant le départ, une petite averse calme momentanément les ardeurs des coureurs.
9 h 30, le départ est donné sous les applaudissements du public et le spectacle de jolies danseuses.
1er kilomètre effectué, 1er embouteillage. Les bonnes résolutions de certains sont déjà oubliées. La bonne
ambiance aidant, tout le monde s’arrête pour la 1
ère dégustation au Km 2. ( Château Lynch-Bages). Nos papilles sont déjà en alerte.
Km 7 : 3
ème dégustation à St-Julien-Beychevelle. Le vin commence à réjouir le cœur. Les participants
chantent de plus en plus fort. Le contraste et le mélange de couleurs de tous les déguisés en plein milieu des vignes sont saisissants.
Km 9 : Nous rencontrons un groupe de filles déguisées en guadeloupéennes sur une piste de danse. Nous rentrons sur la
piste, la danse antillaise se transforme très vite en danse bretonne… ce petit intermède est bien évidemment suivi d’une nouvelle dégustation.
Cela fait plus d’une heure et demie que le départ a été donné. A ce rythme, il va falloir 7 ou 8 heures pour couvrir la distance du marathon.
Nous accélérons l’allure, sachant que chaque foulée sera récompensée par une dégustation de grands crûs toujours propice à de nouvelles
rencontres.
Le marathon passe entre les vignes, emprunte les chemins de graves, se faufile dans les allées des parcs permettant de découvrir la
région. Nous traversons les 4 appellations prestigieuses, Pauillac, St Julien, Haut Médoc, St-Estèphe. Dans chaque propriété, les
barriques sont mises en perce pour le plus grand plaisir des coureurs. Des groupes de musique donnent le rythme de l'évènement.
23 tests oeno-sportifs sont proposés sur le parcours : difficile de résister, les dégustations des grands crûs se font à dose plus
ou moins modérée selon les besoins de chacun.
Km 23, nous arrivons au Château Pontet-Canet, un des plus vastes domaines viticoles du Médoc, qui n’a connu que trois
propriétaires différents en plus de deux cents ans et est resté un domaine familial.
Après le semi, le public se fait de plus en plus nombreux pour nous soutenir en chantant : « Ils ne sont pas fatigués…Ils ne sont
pas fatigués… ». Les jambes se font de plus en plus lourdes, il faut pourtant repartir. La motivation est toujours aussi
forte car d’autres grands crûs nous attendent, Château Lafitte-Rothschild, Château Haut Marbuzet…
Km 32, nous retrouvons nos 5 supportrices dans le parc du Château Phélan-Segur à SAINT- ESTEPHE. Le mur du marathon est passé, leurs
encouragements vont nous aider à parcourir les 10 derniers kms. Le terrain devenant de plus en plus vallonné, les douleurs commencent à
se faire sentir. Heureusement, le vin est un bon remède. Ne dit-on pas qu’il y a un « médoc » pour tout …
Km 37, nous arrivons sur les bords de la Gironde, c’est la dernière ligne droite avant l’arrivée.
Km 39, quelle joie d’arriver à la fameuse dégustation des huîtres avec son vin blanc. Un peu plus loin, c’est la bousculade au
stand entrecôtes. Quel plaisir de s’alimenter sur la fin du parcours (enfin pour ceux qui n’ont pas mal à l’estomac…). Pour ceux qui ont
encore faim, du fromage est proposé au menu.
Quelques centaines de mètres plus loin, c’est un demi de bière pression qui nous rafraîchit avant un dernier arrêt au stand de glaces.
L’estomac bien rempli, nos joyeux marins bretons continuent leur route.
Dans l’avant dernier kilomètre, c’est la séance maquillage : une petite touche de peinture en forme de grappe sur la joue gauche.
L’équipe se retrouve au complet au dernier km pour préparer son arrivée triomphale. Lors du passage sur le tapis rouge, le groupe
reprend en chœur un ultime «
Il était un petit navire … » avec la participation du public.
Nous terminons ce marathon en 5h 55’.
Après une bonne douche réparatrice, nous finissons la journée par un bon repas dans un restaurant à Pauillac en compagnie de nos supportrices.
Nous poursuivons la fête en bordure de la Gironde où la soirée est animée par un grand orchestre dansant. Vers 23 heures, un feu d’artifice
nous permet d’en prendre à nouveau plein les yeux.
Dimanche 7 Septembre
Nous profitons de la journée de dimanche pour récupérer :
Pour certains, la fête se poursuit par la ballade de 9 Kms à travers les vignobles de BLAIGNAN. Les propriétaires se font un plaisir de
faire déguster leur production.
Pour d’autres, la remise en forme passe par une petite sortie en footing à Hourtin-Plage, suivie d’une baignade dans l’océan et à la
piscine.
C’est autour de quelques apéritifs que nous finissons la journée suivie d’un bon repas dans un restaurant du village.
Lundi 8 septembre
Comme toutes les bonnes choses ont une fin, nous reprenons le chemin du retour sous un soleil radieux.
Toute l’équipe est revenue en pleine forme, la preuve que le bon vin ne coupe pas les jambes…
Nous avons passé des moments inoubliables et avons tous envie de revenir.
Christian et Léon
Début du mot
Le PLAT PAYS
Pendant que certains faisaient un semblant de marathon ennivré, arrosé de Médoc, d'autres couraient heureusement sérieusement traversant les
tas de moules d'où s'écoulait un flot de bière sous un temps agréable quoiqu'avec un peu de vent. Parcours très roulant puisque plat de bout
en bout mais ambiance très feutrée par rapport au nombre de spectateurs (Ceci du aux nombreux bradeurs pas toujours contents que les coureurs
viennent les perturber).
G. B.
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Trail de la forêt de COETQUEN - Dimanche 28 septembre
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Les résultats |
PROMENONS-NOUS dans les BOIS...
Matinée très agréable avec une météo idéale, un parcours quasiment plat dans l'ensemble avec de beaux paysages de forêt et des sentiers très
ouverts. La course se déroule à 95% dans la forêt sans monotonie.
Félicitations aux organisateurs de Rance Jogging. (dont notre ami Bertrand). Une date à retenir sur l'agenda !
Sportivement,
Michelle A.
16.790 km par un temps idéal et du soleil sur la pelouse à l'arrivée pour cette 2ème édition.
Très belle course, excellente pour l'entrainement ! A conseiller à ceux qui veulent se faire plaisir en nature.
Patrick G.
CONVIVIALITE et Course à PIED
C'est un beau week-end à Vannes que viennent de passer une douzaine de coureurs de l'Assoc. sous un soleil généreux présent sur ces deux
jours.
Après la récupération des dossards, direction le Camping de La Plage à côté de Sarzeau où Laurent nous avait réservé les mobil-homes ainsi que
la pasta traditionnelle auprès de son frère patron du camping à qui nous adressons un grand merci pour son accueil et son amabilité. Une
balade autour du château de Suscinio achevait de nous mettre en appétit avant de se retrouver à table.
Dimanche matin 9 heures, direction Vannes pour prendre le départ à 10 h. Toujours là Elie, frère de Laurent prend en charge la file de
voitures pour nous conduire au plus près de la zone de départ. Malgré le guide qui ouvre la route, Dédé égare la caravane dans la nature et
cause frayeur ou crise de fou-rire selon les coureurs mais rapidement tout rentre dans l'ordre.
10 heures : le départ après le feu d'artifice et chacun de s'élancer sur le parcours, celui-ci n'a rien de monotone, il y a de superbes points
de vue et des villages animés (Arcal, Conleau) où l'ambiance n'a rien à envier au marathon du Médoc.
Sur le marathon, Hubert en 3 h 11' est satisfait de sa course test, son ancienne blessure ne s'est pas réveillée. Ronan atteint aussi son
objectif le même chrono qu'Amsterdam 3 h 20 ' et pourtant le circuit n'est pas aussi roulant.
Duo de l'Hermine : il s'agit d'effectuer le marathon en deux relais, 19,5 km pour le premier et 22,7 pour le second.
Pour ce duo les équipes ont été modifiées suite aux blessures des premiers inscrits : Guy, Bertrand et enfin Nadia se retrouvent supporters et
photographes.
Les participants retrouvent l'émulation et le stress des courses en relais ! Finalement tout le monde respecte ses engagements, Pascal
confirme son retour et retrouve sa foulée des grands jours.
Une bière pression pour les assoiffés avant de se retrouver attablés à la brasserie Gambetta vers 16 h pour conclure cette journée très
sympathique et qui ne demande qu' à être renouvelée.
Encore merci à Laurent pour ce week-end, merci et aussi BRAVO à nos supportrices et supporters qui n'ont pas ménagé leur peine pour encourager
les coureurs en différents points du parcours.
Dédé B.
Début du mot
NE PAS MARQUER LE PAS
Ouf ! La petite poignée de coureurs de Je Cours à Rennes et les autres compétiteurs ont eu chaud : la course s'est déroulée entre deux
averses. Seul une petite bruine est venue chatouiller les museaux des coureurs au milieu de course (pour les moins fringants) ou aux
deux-tiers de l'épreuve (pour les plus rapides). De gros nuages noirs ont plané sur tout le circuit que les habitués connaissent bien.
Il est plutôt sympa. Après le tour du centre commercial du Gast, direction le parc des Gayeulles (on se croirait sur le 15 de l'ASPPT Rennes)
qui est traversé durant deux bons kilomètres. Au sortir du parc, c'est un long faux plat qui attend les coureurs (vers le km 5) jusqu'au pont
qui surplombe la rocade nord-est avant de profiter d'une belle descente vers le centre Dominique-Savio. Puis retour sur les chemins creux pas
trop boueux lors du passage au ravitaillement. Pas de difficultés particulières à signaler si ce n'est la grimpette (km 7) vers la passerelle
qui enjambe la rocade avant de retrouver le parc des Gayeulles et le macadam final vers la ligne d'arrivée.
Parcours agréable donc pour les coureurs affutés de JCAR ou les autres qui reprenaient la compétition. (Faudrait ne jamais arrêter !). Merci à
Didier Morvan et Mme présents sur le parcours pour prodiguer des encouragements toujours bienvenus.
Ph. D.
ON CHANTE SOUS LA PLUIE...
Avant de chanter, on déchante... Surtout si la veille, vous êtes pris au piège de la souricière du Décathlon de Chantepie pour aller retirer
votre dossard... Il faut compter au moins une bonne heure pour accéder au parking et surtout pour en ressortir. Pas vraiment le bon plan !
Autant faire comme Christiophe et aussi quelques autres fûtés pour s'acquitter des obligations d'avant course juste avant le départ de la
course justement... On y pensera l'année prochaine.
Fin novembre, il ne faut pas s'attendre à des températures caniculaires. On a encore été bien servi cette année. Pour saluer l'envol des
coureurs, un peu de neige fondue pour réveiller les espritsb embrumés. Voilà qui vous ravigotte d'entrée de jeu !
Comme d'habitude, l'association avait répondu en masse : JCAR avait délégué une bonne vingtaine de ses coureurs qui ont connu des fortunes
diverses. Mais c'est le loi du sport ! Parfois injuste quand elle vous oblige de céder le pas dès le premier kilo (n'est-ce-pas Guy ?). La
neige fondue a laissé place à de la bruine par un temps qui devait faire le yoyo entre les 2 et 5 degrés.
Autre invité encore moins désirable : la boue présente surtout au second tour dans la seconde partie de chemin forestier. Attention à ne pas
quitter l'axe central sinon, c'est le risque de la glissade ! Les coureurs ont donc fini les jambes marbrées de boue et les corps pas toujours
bien réchauffés malgré les efforts fournis sur cette épreuve qui vous oblige à forcer dans la sortie du bourg et au début du premier sentier
forestier en légère montée. Finalement, c'est sur le macadam qu'on arrive à s'en tirer le mieux. Surtout la toute fin de course qui vous
permet d'aller en roue libre.
Tout cela méritait bien un peu de réconfort chez Anita et Pascal, les régionaux de l'étape. De quoi vous redonner du punch ! La suite a donné
lieu a un repas (pas très diététique) à la Licorne sur le quartier du Colombier à Rennes. Mais choucroute, bière au long col et glaces géantes
sont toutes bien passées. La course, ça creuse...
Ph. D.
Le SEUL Trail "ELLE et LUI" de FRANCE
Le
trail du porteur d’eau est le seul trail de l’Hexagone qui se dispute en couples. Il n’y a pas de point de
ravitaillement sur le parcours, les participants emportent le nécessaire avec eux. C’est sous un beau soleil et un froid hivernal que
nous prenons le départ de la 3
ème édition sous les couleurs de « Je cours à RENNES ».
C’est une boucle de 15 km 350 en terrain vallonné et boueux que nous devons parcourir avec 126 autres couples.
Le départ est donné au domaine de TIZE. Un premier tour de chauffe autour d’un étang puis c’est la grimpette du Bois de Tizé. Les
coureurs sont rapidement mis dans l’ambiance : pas de chrono en tête, plutôt une course dans la bonne humeur.
Puis c’est le retour vers les étangs de CESSON-SEVIGNE, le long de la Vilaine sur plusieurs kms avant de rentrer dans le parc de la
Justice et de la Monniais. Le parcours au 11è km est très accidenté : descente, passage sous un petit pont, visite de la
grotte de la Vierge, remontée…les jambes commencent à fatiguer.
La boucle continue, le parcours est plus plat jusqu’au 14è km mais il reste à franchir la côte de Tizé, 1 km avant l’arrivée. Nous
franchissons la ligne contents et prêts à recommencer l’année prochaine.
Tous les coureurs sont récompensés par un vin chaud et une galette-saucisse, ce qui rajoute une ambiance festive et sympa à l’épreuve.
Une course en pleine nature très agréable à programmer pour les années 2009 et suivantes…
Christian et Isabelle
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Les 10 km de SAINT BRICE en COGLES - Dimanche 21 décembre
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Les résultats |
L'INCONNU du NORD EXPRESS
Se lancer sur une épreuve dont on ne connaît pas le moindre centimètre, ni le moindre dénivellé (ni même le nombre de tours), c'est un peu se
jeter dans l'inconnu. Finalement, ce n'est pas une mauvaise chose et ça vous donne un coup de fouet d'adrénaline. La dernière épreuve de
l'année (baptisée les Foulées du Père Noël) -- vu la côte qui vous scie les pattes dans la montée du bourg, faut pas que la hotte soit trop
lourde !) se situe donc dans le nord du département, en pays coglais.
C'était la 10ème édition avec 400 coureurs au départ et aux commentaires le légendaire Jean-Luc Botte. La disparition récente de l'ami
Jean-Yves Coeur-Quetain avait donc propulsé Jean-Luc aux manettes. La course ? Trois tours du bourg et que de la relance ! Ça, on ne s'ennuie
pas. Vous courez uniquement sur du macadam. La difficulté du parcours, c'est de grimper trois fois la côte en deux temps qui après une belle
descente (petite récompense après l'effort quand même) vous permet de boucler votre tour. Autrement dit, il faut en garder un peu dans les
talons pour digérer la 3ème grimpette.
A noter que j'ai rarement vu autant de monde sur une course sur route de campagne. Notamment dans le centre bourg : à croire que tout
Saint-Brice est dehors derrière son maire Louis Dubreuil. En tout cas, ça fait du bien de recevoir des encouragements. Belle épreuve donc
qu'on peut faire en express ou non...
Ph. D.