Photos souvenirs | Sur la ROUTE du PLAISIR de SAINT GREGOIRE - Dimanche 17 janvier | Les résultats |
Un TEMPS à COURIR en MARCEL ! Dis, Jean-Pierre (1), tu nous casses un peu les oreilles avec ta musique à fond les ballons au moment du départ. On n’entend même pas le coup de pétard ! Bon tant pis, c’est pas trop grave car on sait qu’on va prendre du plaisir sur tes 10 km. Du plaisir, oui, bien sûr, car le nouveau tracé qui date maintenant d’un an présente moins de difficultés que lors des précédentes éditions. Mais on attrape un peu le tournis. On n’en finit pas de tourner autour des ronds-points : et je te tourne à droite et je te tourne à gauche. On ne sait plus trop où on est. Heureusement qu’il y a toujours du monde devant qu’on peut suivre. Ceux qui aiment la relance sont décidément bien gâtés. Enfin, on va pas trop se plaindre. On a droit à une bonne rasade de canal. Et ça, c’est que du bonheur. En plus, on a eu la chance de bénéficier d’un temps quasiment printanier. Ça change de l’année dernière où il fallait presque la doudoune et les moufles. C’est vrai que pour la semaine prochaine, on prépare déjà les palmes et les tubas pour aller patauger à Betton. Ph. D. (1) Jean-Pierre Pen, l’organisateur des 10 kms de St Grégoire. |
TOUT BETTON COURT - Dimanche 24 janvier | Les résultats |
CANAL PLUS On se dit qu’à un moment ou l’autre, on va souffrir sur cette course disputée par un temps finalement agréable… Pas possible en effet de bénéficier d’une telle descente d’au moins un km vers le canal au moment du départ sans avoir à le payer. Il faudra auparavant parcourir plusieurs kilos sur le chemin de halage avant d’arpenter la bosse qui ponctue le premier tour et qui vous ramène sur le bitume de départ. Nouvelle dégringolade vers le canal pour enchaîner sur de la terre battue. Petite surprise dans le dernier kilomètre et demi. On a l’impression de courir un trail. C’est vrai que ça monte et çà descend. Et surtout, çà tourne beaucoup. Il faut avoir la tête sur les épaules pour ne pas attraper le tournis. Et puis, on s’en doute un peu, il faut donner un coup de rein pour arpenter le chemin qui passe devant la médiathèque et puis encore un autre sur un dernier faux plat. Pas facile le final de Betton ! A l’évidence un parcours plus exigeant que celui du dimanche précédent à Saint-Grégoire. Mais, on ne se plaindra pas des nombreux encouragements reçus le long du parcours et notamment dans la dernière ligne droite. Ph. D. |
10 km de CHASNE sur ILLET - Dimanche 14 Février | Les résultats |
Une PREMIERE REUSSIE ! Est-ce un 9,9 km comme indiqué sur le guide des courses en Bretagne, un 11 km ou en fin de compte un 11,300 km que les 150 coureurs prenant le départ de cette épreuve allaient arpenter ? A l'arrivée, la majorité d'entre eux penchèrent pour la dernière estimation. Ceci dit, nous avons découvert un parcours nature entre chemins et routes très varié et très agréable nous faisant découvrir le pays de CHASNE sur ILLET. Une seule petite difficulté sur ce parcours que nous trouvons rapidement après la ligne de départ et que nous aurons à franchir 2 fois. Autrement circuit de 2 boucles relativement roulant avec relance lorsque l'on retrouve le bitume. Les organisateurs pour cette 1ére édition espéraient entre 150 et 200 coureurs. Pari tenu puisque environ 150 participants franchirent la ligne de départ à 10h30 sous un temps agréable malgré les prévisions pessimistes et neigeuses de la météo. Au milieu de cette masse, 5 courageux représentaient nos couleurs. Une organisation parfaite avec un ravitaillement final (qui pourrait faire rougir certaines épreuves au budget plus fournit) ainsi que de nombreux lots devront donner à cette épreuve un essor qu'elle mérite au vu de cette 1ére édition. A conseiller. G. B. |
10 km de La CHAPELLE aux FILTZMEENS - Dimanche 14 Février | Les résultats |
Une FENETRE à La CHAPELLE A la Chapelle aux Filtzméens, il y a toujours une grande inconnue : quel temps va-t-il faire ? Eh bien, cette année, les coureurs ont bénéficié d’une … fenêtre météo. Un temps vif certes mais du soleil pour les accompagner. On se réjouit d’ailleurs de courir l’après-midi en rase campagne. Car le matin, les routes étaient blanches par endroits. Le parcours ? Pas de changement. Toujours le même quadrilatère autour du village avec le long raidillon au sortir du 1er et du 6ème kilo. Trois raidillons moyens autour du 3ème et 8ème kilo. La fameuse longue descente qui vous amène sur le faux plat qui mène à l’arrivée. Voilà, vous savez tout sur les 2 tours de piste à effectuer. Qu’on peut arpenter en tant que compétition ou comme entrainement du dimanche. A chacun de voir. Ph. D. |
Les 15 km de THORIGNE FOUILLARD - Dimanche 28 février | Les résultats |
La tempête tant redoutée n’a pas eu lieu ou plutôt elle a épargné le pays Rennais. Comme prévu la course prenait le départ pour 15Km, sur un ‘nouveau’ circuit mesuré . Sur les 600 et quelques athlètes au départ, 596 passèrent la ligne dont 3 représentants de « Je Cours à RENNES ». Ballade en forêt mixant le bitume et les chemins, agrémentée de faux plats montant et de portions roulantes. Aux alentours du 11ème KM, un vent fort et de face nous a obligé à ralentir la cadence pendant quelques centaines de mètres. Fin de parcours par un chemin boueux puis retour en ville vers la salle de sport où nous attendait un copieux ravitaillement et une douche bien chaude. Petit bémol : ravitaillement seulement au 6ème Km avec un verre quasiment vide (environ 1 cm !). Hubert |
Le semi de SAINT-GILLES - Samedi 6 mars | Les résultats |
Au BOUT la SOUPE ! Et quelle fait du bien cette soupe une fois franchie la ligne d’arrivée ! Deux assiettées suffisent à peine à vous remettre de ce premier semi de l’année ! Ca vous fait oublier les derniers efforts déployés dans cette saloperie de petite montée du 16ème kilo et la grimpette finale dans le bourg avant de virer à tribord pour en terminer avec les derniers 100 mètres. Mais il faut bien reconnaître que le parcours a de quoi séduire. Une petite boucle dans le cœur de la commune à parcourir une fois et demie et deux grandes boucles à travers la campagne. Il y en a pour tous les goûts : du macadam, du chemin de terre, des passages empierrés… ca monte doucement, çà descend d’une manière un peu plus soutenue. Agréable de longer l’étang de Saint-Gilles même si le temps est un peu frisquet. Mais les galopades sur un semi, çà réchauffe. Merci à Ronan, le directeur technique et sportif pour ses précieux conseils et encouragements à différents endroits du passage des coureurs (lui aussi a du parcourir un semi !). La première plus longue course du département est un bon moyen de s’étalonner. Va falloir faire mieux maintenant ! Ph. D. |
Les 13,6 km de BOURGBARRE - Dimanche 7 mars | Les résultats |
BOURGBARRE la Course POLAIRE ! C'est avec des conditions polaires que 3 coureurs de l'association (Léon, Alain et Christian) prennent le départ de la course de BOURBARRE longue de 13,6 km. La température est de - 3° mais un vent fort et glacial donne une sensation de température sibérienne. Heureusement, le soleil est radieux et réchauffe les guiboles. C'est un parcours totalement nature qui débute par un tour complet de l'étang. Les participants ont plaisir à courir sur les chemins et les sous-bois légèrement vallonnés. Le vent souffle fort en haut de la colline mais bientôt les coureurs sont protégés dans les sous-bois. La plus grosse difficulté se trouve au 9ème km : un bon km de montée et de faux plat à travers chemin et champs de blé, il faut écraser les mottes pour enfin arriver à quitter cet enfer hivernal. Puis c'est le retour vers les plans d'eau et enfin l'arrivée où un bon ravitaillement nous attend. Malheureusement la zone est tellement ventée qu'il est impossible de rester très longtemps. La plupart des coureurs va se rhabiller et revient prendre la collation. Christian |
Photos souvenirs | Le Relais de nuit de MELESSE - Samedi 13 mars | Les résultats |
"les z'amis du bitume"! Et oui, nous étions là ce samedi soir, à participer au relais de Melesse. Je rappelle les noms des z'amis. (Sylvain, Jef, Arnaud, Marcel, Hubert, Alain, et bien sûr Ronan "le cycliste"). Un relais de folie avec en première position Sylvain. Le ton était donné. Des distances n'excédant pas 10 km, accessibles à tous !.. Nous avons fait de notre mieux (merci à toi dédé pour tes encouragements). Jef |
Trail des 3 CHAPELLES - Samedi 20 mars | Les résultats |
De la BOUE à REVENDRE ! La boue est bonne pour la santé, mais celle-ci trop lourde pour les jambes (le trail des 3 chapelles). Un parcours différent chaque année après chaque virage (la surprise). Il faut être prêt physiquement pour affronter la nature. La boue avec laquelle les glissades sont de la partie, les montées terribles, les descentes dangeureuses surtout sur un sol gorgé d'eau. Bref un vrai trail !! nous nous sommes fait plaisir c'est le principal. JEF |
10 km de ROZ-LANDRIEUX - Dimanche 21 mars | Les résultats |
RAIDE le RAIDILLON ! Je ne sais pas si vous êtes comme moi. Mais le plus dur dans un 10 bornes, c’est entre le 8 et le 9ème kilo. On voudrait déjà en finir. Mais on sait qu’on a encore à cravacher pour être dans ses temps. On demanderait bien à jouer les romantiques en suppliant le temps de suspendre son vol. Mais, comme par hasard, c’est souvent dans ce maudit kilo que les aiguilles du chrono s’affolent et que les guibolles donnent de la bande. Bref, on quémanderait bien un peu de répit avant de tout cracher dans le dernier kilo. Et bien, c’est juste à ce point du parcours, au moment où vous attaquez le 8ème km que vous devez monter à l’assaut d’un petit raidillon dont vous aviez déjà fait la connaissance en terminant votre 4ème kilomètre. C’est pas très long, il faut l’avouer, mais cette petite bosse perdue au milieu des polders a le don de casser votre rythme d’autant que vous sortez d’un petit chemin de campagne encaissé et à l’abri d’un vent qui n’a pas fait trop de dégât ce dimanche matin-là. Il faut dire que les coureurs ont bénéficié d’une température plutôt clémente : un peu de fraicheur mâtinée d’un soleil quasi printanier. D’ailleurs, il ne fallait pas trop traîner en route pour ne pas à avoir à subir les premières chaleurs de cette fin d’hiver. En conclusion, une belle petite course de village au balisage et kilométrage impeccables. Tout comme la restauration finale : un véritable banquet dans une salle un peu bruyante, il faut bien le dire. Une course animée par Dédé Delacroix aux commandes dimanche prochain de l’ex-Tour de Rennes amputé de 5 km et de la côte de l’Herronière, ouf ! Dans la course de Roz-Landrieux, on retrouvait l’autre speaker-coureur, Jean-Luc Botte, toujours aussi affûté. Ph. D. |
10 km de RENNES - Dimanche 28 mars | Les résultats |
PETIT SUPPLICE sur St-SULPICE Auparavant, c’était un moment de répit sur l’ancien 15 km de ce Tour de Rennes. Vous abordiez le 9ème kilo et vous pouviez relâcher muscles et tension sur cette assez longue descente de Saint-Sulpice-la-Forêt qui vous conduisait tout droit vers la route de Fougères. Changement de programme cette année ! Ce que vous descendiez, il faut maintenant le monter. Une première fois au km 4 (çà s’avale en relative douceur) et une seconde fois au km 8 (et là, c’est un peu plus compliqué à digérer). Ce faux plat est en fait la seule petite difficulté de ce nouveau parcours de 2 boucles autour du parc des Gayeulles quasiment identiques si on excepte le décroché par un chemin de terre dans ce même parc. Du macadam en majorité donc sous les semelles foulé par un temps relativement clément. Pas de pluie (ouf !) et un petit vent assez peu contrariant. De belles conditions de course pour cette première qui se termine toujours sur la piste d’athlétisme Robert-Launay (en réfection et au sol un peu collant) et à laquelle a participé une petite phalange de JCAR : Hubert, Léon, Alain, Dédé et… |
10 km de CHAVAGNE - Dimanche 4 avril | Les résultats |
(EN)VOLEE de CLOCHES de PAQUES Après un faux départ, c’est par une volée de cloches qu’ont été accueillis les coureurs de ce 10 km qui a l’avantage de ne présenter aucune difficulté majeure. Nous en étions alors aux premiers 100 mètres d’une première boucle qui se résume à faire le tour du centre bourg. Première envolée avant d’entamer la première boucle qui vous conduit à la campagne. La seconde et dernière grande boucle réserve davantage de sentiers en terre battue notamment le long de plans d’eau et au milieu d’une futaie. Ma foi très agréable d’autant que le fond de l’air un peu vif au départ de course a laissé assez rapidement place à une douceur printanière. Bref, des conditions idéales pour tous ceux qui avaient décidé de se défouler en ce dimanche pascal sous les encouragements de Laurent. Parmi eux, Eléonore, Gérard, Jacques, Dédé, Ronan, Olivier et Ph. Qui se sont tous retrouvés dans le garage de Mamy Odette pour se requinquer après l’effort... |
10 km de La CHAPELLE CHAUSSEE - Dimanche 11 avril | Les résultats |
Que de nature ! 10 heures, un coup de feu et les 148 coureurs inscrits à la Quasimodo franchissent la ligne de départ sous un temps plutôt frisquet avec un petit vent que les coureurs auront de face dans le premier kilomètre et qu'ils retrouveront à chaque tour. Peu de coureurs représentent nos couleurs au sein de ce peloton qui finira à 147 car nous ne sommes que 2. Les organisateurs sont contents car le record de participation est battu. Il faudra parcourir 3 boucles pour parcourir les 9,8 km et franchir la ligne d'arrivée. 1 petite boucle d'environ 2 km et 2 autres boucles pratiquement identiques d'environ 3,9 km. Parcours très, très agréable avec 70% sur chemins de campagne et le reste sur bitume. Un petit faux plat montant au 4,5 km que nous retrouverons au dernier tour au 8,5 km fait mal aux jarrets. 1 ravitaillement sur le parcours que nous trouverons 2 fois, environ au 3éme km et au 7éme km fait du bien aux coureurs. A l'arrivée, dans la salle des sports, un ravitaillement copieux avec pour ceux qui le désire dégustation d'huitres et de galettes. Une course à faire car sympa, très nature et sans grandes difficultés, enfin bref, comme on les aime et à promouvoir. |
10 km de SAINT BENOIT des ONDES - Dimanche 25 avril | Les résultats |
PLAT mais pas MORNE A Saint-Benoît, il faut d’abord prendre son mal en patience. C’est vrai que la longue file d’attente devant la Maison des Loisirs qui fait face à la baie pouvait faire dresser les cheveux sur la tête des coureurs un peu « à la bourre » pour retirer leurs dossards. Mais l’organisation en butte à des problèmes informatiques a eu la bonne idée de faire repousser d’un quart d’heure le départ de la course. Une épreuve marquée par sa « platitude ». C’est à l’évidence le 10 km le plus plat du calendrier des courses d’Ille et Vilaine. Ce n’est pas pour autant qu’il manque d’intérêt. Bien au contraire même si les amateurs de relances seront frustrés. Pas la moindre petite bosse ou dénivelé pour remettre le charbon dans la machine… C’est comme çà : ici, c’est le pays des polders et l’altitude est proche du niveau de la mer. La course qui part et arrive en plein centre bourg est composé de 3 circuits : un moyen de moins de 3 kms et deux autres d’un peu plus de 3 km. Un petit vent de face (pas désagréable au demeurant) en sortant du bourg lors des deux plus larges boucles a constitué la plus « grosse » difficulté de ce dimanche matin. Pas question donc de chercher d’excuses dans les contre-performances. Bien fléché et kilométré, le « circuit des records » a été commenté avec son brio coutumier par l’ami Dédé Delacroix qui n’a pas manqué de faire de la pub pour le « ELLE et LUI 35 » de JE COURS A RENNES du 11 juin prochain. A l’arrivée, outre la rose pour les femmes, c’est un véritable festin qui attendait les coureurs dont deux de l’association. Là aussi, c’est du jamais vu… Saint-Benoît avait sans doute multiplié cakes, yaourts, fruits, coca et Orangina… |
10 km d'ACIGNE - Dimanche 25 avril | Les résultats |
CARTON PLEIN sous le SOLEIL au 10 km d'ACIGNE Les organisateurs de cette 22éme épreuve peuvent être contents car le nombre d'inscrites a atteint, voire dépassé les 700 féminines. Mais avant de voir toutes ces féminines sur la ligne de départ à 16h pour parcourir les 2 boucles, 1h30 avant ce sont les hommes qui ouvrent le bal. Et ça part vite car la course commence par une longue descente dans le bourg avant de trouver les chemins un peu ombragés de la campagne environnante. Plusieurs difficultés tout au long de ce parcours avec en particulier la montée en sortie du 2éme et du 7éme km, puis la fameuse montée traversant le bourg pour nous emmener au 4éme km et enfin celle du dernier km nous amenant sur la ligne d'arrivée. Tout cela à faire sous un soleil qui tape sur la tête. Plusieurs points d'épongeage tout au long du parcours et la lance des pompiers entre le 8éme et le 9éme km aident les coureurs à endurer cette chaleur. Petit bémol, le ravitaillement sur la course mal placé selon les dire des coureurs. En effet, au 2éme tour, il paraît loin. 1 seul coureur de l'asso sur les 2 épreuves. Cela fait peu même si comme dit Dédé, 100 pour 100 de réussite pour l'Asso puisque finissant 3éme V3, me voilà appelé sur le podium (pour une fois, une course qui récompense les 3 premiers de chaque catégorie, c'est si rare qu'il faut le souligner) ce qui permit à Jean-Luc BOT de faire un peu de pub pour la ELLE et LUI 35. Merci aux membres de l'asso présents sur le parcours Cathy, Nadia, Christophe et leurs enfants qui m'ont aidé de leurs encouragements avant de distribuer les prospectus pour la ELLE et LUI 35. Plus tard, arriva Dédé, Ronan, Hubert, Eric, Michelle et Patrick pour encourager les féminines. Nous avons trouvé en la personne d'Etienne BRETAIRE, un fameux distributeur de prospectus. G. B. |
Course du MUGUET - Samedi 1 mai | Les résultats |
Un ROQUET et une COTE Le 1er mai, c’est tout ou rien : un soleil à faire assécher le Meu ou des pluies à le faire déborder. Eh bien, cette année, on a eu droit à un peu de tout. D’abord quelques gouttes bien appréciées en quittant Montfort, un soleil mitigé sur la route vers Iffendic et un déluge à l’arrivée (en tout cas à la mienne). Petite nouveauté : le parcours a connu des changements. Plus question de partir de l’abbaye de Montfort mais de l’église. C’est à dire qu’avant de mettre le cap sur Iffendic, il faut effectuer une petite boucle qui vous oblige à regrimper vers l’église. Portion de parcours grimpant qui vous attend bien évidemment à l’arrivée jugée entre mairie et centre culturel. Il faut ensuite en sortant de Montfort se laisser porter sur le long ruban d’asphalte qui relie les deux communes avec une première difficulté au 5ème (ardue), puis au 6ème (plus négociable) et enfin au 10ème. Auparavant, il y a l’escalade du roquet d’Iffendic, ce petit Ventoux qui vous arrache le mollet et vous coupe le souffle. Heureusement qu’on a le temps de récupérer sur la seconde moitié d’une épreuve pas avare en ravitaillements. La petite surprise a été l’irruption d’une pluie battante qui a noyé la fin de course et obligé le speaker Jean-Luc Bot (pourtant pas poule mouillée) à chercher un refuge pour la traditionnelle proclamation des résultats. |
Trail de la VALLEE du COUESNON - Samedi 8 mai | Les résultats |
ENFIN un VRAI Trail Après Erquy du week end dernier certains d'entre nous avaient des fourmis dans les jambes. Le trail de la Vallée du Couesnon tombait à pic. Trois distances étaient proposées un 10,9 km, un 16 km ou 33 km. Nous étions présents sur ces deux premières. Sur le 10,9 km, Guy nous a une fois de plus décroché la première place en V3. De plus Eléonore nous décroche la 1ère place en V2 et pour finir à noter la performance de notre jeune Olivier qui va nous donner du fil à retordre. Pour ce qui concerne le 16 km nous étions 2 à enfin !!!! A participer à un vrai trail avec un parcourt superbe qui longe le Couesnon. Une épreuve à noter. J.-F. B. |
Semi HUELGOAT-CARHAIX - Dimanche 16 mai | Les résultats |
Voilà un semi qui ne laisse pas indifférent, puisque c'est une course en ligne : départ Huelgoat arrivée Carhaix. La course est un condensé de Saint Pol-Morlaix ; de Cancale-Saint Malo et d'un esprit trail avec un zeste de verdure. Le parcours est varié : les 7 premiers km se passent en légère descente ; les 7 suivants en légère montée mais en empruntant la voie verte (ancienne voie de chemin de fer du centre Bretagne) puis pendant 3 km du 14ème au 17ème, c'est un panaché de montagne russe : ça monte et bien sûr ça descend ensuite. On file sur Carhaix en pente douce sur 3 km et on termine dans la vallée de l'Hyères sur 1 km tout en sous-bois pour une arrivée au camping municipal de Carhaix en pleine nature. En résumé : un semi bien organisé pour un somme modique de 5€ qui demande à être vu et surtout fait... R.C |
Foulées d'ILLE et DONAC à TINTENIAC - Dimanche 30 mai | Les résultats |
La FETE de l'AMER Est-ce que ce dimanche je tractais une caravane sur les 14,7 km de ces foulées ? Y a-t-il urgence à perdre 10 kilos ? (Réponse : OUI !) Est-ce que la digestion des moules sauce normande de la veille au soir est en cause ? Toujours est-il que ce parcours a davantage ressemblé à un chemin de croix qu’à une voie lactée. D’abord, ça vous fout en rogne qu’on vous oblige à vous garer (salle des sports) à plus d’un kilomètre du lieu de remise de dossards (collège St Joseph). Beaucoup de réflexions ont d’ailleurs été adressées aux préposés aux dossards qui n’y sont pas forcément pour quelque chose. Toujours est-il que pour la prochaine édition, arrivez au moins une heure avant le coup de pétard ! Que le temps au départ ait été un peu lourd, là, les organisateurs n’y sont vraiment pour rien. En revanche, les indications de kilométrages sont plus que rock’n roll. Quand à petite vitesse, vous effectuez les 2 premiers kilos en moins de 8’, vous vous dites que les organisateurs n’ont pas vraiment le compas dans l’œil. Encore le cas au 14ème kilo, où il ne vous reste normalement que 700 mètres à parcourir. Or, vous vous apercevez vite que le dernier kilo de course fait près du double !!! Dur, dur pour un final, fatal à beaucoup de coureurs. En fait, il n’y a pas que la conclusion de ardu. Quand vous êtes sur le canal, tout va bien : c’est plat de chez plat sur le chemin de halage. Dès que vous quittez les abords de l’eau, c’est raidillons, bosses et compagnie. Et çà fait mal sur des chemins qui sont tour au tour du macadam, des gravillons, des pelouses, et ce p… de chemin de terre entre le 12ème et 13ème kilo qui est une invitation permanente à vous tordre les chevilles. Là où on éprouve la solitude du coureur de fond… Bref, pas du gâteau ces foulées qui ressemblent par moment à un trail. Le positif, c’est le nombre important de ravitaillements et la gentillesse des spectateurs et indicateurs de course. Il fallait bien terminer sur une note positive et non pas d’amertume. Ph. D. |
Foulées JACQUOLANDINES - Vendredi 4 juin | Les résultats |
A SAINT JACQUES de la LAN..GUE PENDANTE ! Soit les organisateurs n’ont pas lu les journaux, écouté la radio ou regardé la télé. Ou tendu l’oreille aux conversations de bistrot ou aux discussions au bureau : mais parmi les coureurs qui ont pris part aux 10 kms, tous savaient que la journée du vendredi 4 juin allait atteindre des records de chaleur et que la soirée s’annonçait bouillante elle aussi ! Dans ces conditions, on peut s’étonner que les ravitaillements (avec un seul pauvre bénévole au km 5 !) et les épongeages (dont celui du 8ème kilo complètement à sec !) n’aient pas été plus nombreux. A Saint-Jacques, ce soir-là, le principe de précaution a complètement volé en éclats. Et que dire du parcours : des longues avenues sans âme entre deux rangées d’immeubles ! On en vient à regretter le départ et l’arrivée sur la piste d’athlétisme du stade Allende et les allées et venues dans le petit chemin de terre ombragé ! Un circuit donc plus neutre, sans beaucoup de charme. Une course urbaine autour du béton avec une moyenne et une grande boucle. Et comme difficulté, le même long faux plat du 4ème et du 10ème kilo. L’an prochain, les organisateurs ne devront pas oublier de demander aux coureurs de s’équiper en eau et donc de baisser d’au moins un euro une course dont l’engagement se situe dans la très haute moyenne. Dommage de subir tant de désagréments pour une 15ème édition ! Sylvain Léon et Pascal rencontrés à l’arrivée (enfin moi, longtemps après eux !) ne pensaient pas autrement … Ph. D. PS. Félicitations à Ronan et à Alain supporters et distributeurs de bulletins pour la course ELLE et LUI 35 du 11 juin prochain. Et merci à Carole pour la suggestion du titre du compte-rendu de la course de Saint Jacques. |
Trail des EBIHENS - Dimanche 6 juin | Les résultats |
Encore un trail qui demande à être connu par son coté nature, du sable, de la vase, des rochers, de l'eau et des chemins en sous
bois. Sur les 20,5K seulement deux kilometres de route de campagne (entre le 13 et le 15) histoire de reprendre un peu de vitesse. Organisation impeccable et même le temps était avec nous un départ à 14° sous le soleil pour une arrivée encore sous le soleil mais là il faisait un peu plus chaud 20° mais pas de quoi se plaindre. Voilà à noter sur vos tablettes pour ceux qui veulent ne pas se faire de course sur route. Ronan |
Photos souvenirs | Semi CANCALE-SAINT MALO - Dimanche 13 juin | Les résultats |
A l'ASSAUT de la CITE CORSAIRE ! En ce 13 Juin de l'An 2010, une poignée d'environ 3700 flibustiers sous un temps clément s'élancent à 8h30 de CANCALE à l'abordage de la vieille cité Corsaire St MALO. 1h10 plus tard, sous les cris et les bravos des badots se trouvant là, les portes de la vieille cité cèdent sous le premier coup de boutoir, suivit d'un deuxième, puis... Parmi ces flibustiers, 10 emmenés par le jeune et fougueux capitaine Olivier portent les couleurs de la tanière "JE COURS A RENNES". Ils se battent bien et ne sont pas les derniers à pénétrer dans la cité envahie. Après la mise à sac des greniers de ravitaillement de la cité, quelques uns des 10 compères accompagnés de 2 badots ramassés au passage, prennent la direction de la taverne LECHAUX pour l'envahir. Pour calmer tout ce petit monde afin que rien ne soit cassé, la tenancière de cette taverne réputée aidée de 3 jeunes damoiselles servit un breuvage appelé "KIR". Une fois bien abreuvé tous partent festoyer sur la plage de la GUIMORAIS où va se terminer cette rude journée d'actions. Merci à la propriétaire de la taverne LECHAUX et à ses 3 damoiselles qui par leur courage et leur gentillesse sauvèrent une journée qui aurait pu mal finir. Bises à elles quatre. Guy B. Un bien beau temps pour les coureurs de ce semi dont une flottée de maillots noirs de Je Cours à Rennes. Ah ! Ça fait plaisir à voir !… Beau temps parce que couvert. Même si au km 3, le soleil a fait son apparition au moment de virer à bâbord sur la route de la pointe du Grouin. Mais le soleil a eu la bonne idée de se remettre dans sa coquille (normal à Cancale !). Tant mieux ! Il faut dire aussi que le départ matinal (c’est vrai qu’il faut se lever de très bonne heure) a permis d’éviter une insolation. Le parcours ? Toujours le même. On pourrait le faire les yeux fermés. On connaît les 3 zones de souffrance : la côte Duguesclin au km 9, celle du Lupin au kms 13 et dans une moindre mesure le raidillon du Minihic alors qu’il ne reste plus que 4 gros kilos à avaler. Dur aussi le passage sur la digue : on voit d’assez loin le clocher de la cathédrale de Saint-Malo. Et c’est comme pour le marathon du Mont Saint-Michel : la flèche de l’archange fait du surplace (à moins que ce ne soit le coureur ?) Que dire de plus d’une course qui ne mégote pas en ravitaillements et en épongeages. Merci à Guy pour ses photos (au fait, merci Guy de ne plus me prendre qu’au départ et pas dans les derniers mètres de course !). A Carole pour sa patience à attendre et à féliciter les coureurs de l’association sur la ligne d’arrivée. Merci aux deux speakers Jean-Luc et Dédé de faire la pub pour JCAR. Et à Léon qui m’a accompagné sur 13 kms et à qui j’ai laissé un bon de sortie dans la côte du Lupin. Un dernier mot : je n’écrirais plus que le maillot le plus moche offert à l’arrivée d’une course est celui de ce semi-marathon. De ce côté-là, les organisateurs ont fait des efforts. Ph. D. |
Les Foulées VERTES du BLOSNE - Vendredi 18 juin | Les résultats |
Au BLOSNE : ON PASSE au VERT Ceux qui s’entraînent sur les bords de la Vilaine, le long du canal Ille et Rance, autour des étangs d’Apigné ou dans les parcs de Bréquigny, des Gayeulles… le savent déjà : Rennes est une ville à la campagne. Mais de nombreux coureurs ont certainement été étonnés de constater que le quartier du Blosne, ce ne sont pas seulement des tours et des grands immeubles sans beaucoup de charme mais aussi des espaces où la verdure a toute sa place. La première édition de ces foulées en a fourni la preuve. Puisque béton et macadam ont souvent laissé place à de la terre battue et des passages enherbés (sympa la traversée du parc des Hautes Ourmes ou encore le chemin qui longe la rocade sud) qu’on ne s’attendait pas forcément à trouver. 200 coureurs (dont 2 de Je Cours à Rennes) avaient tenu à être présent pour parcourir les 2 boucles de 5 kilos chacune d’une épreuve urbaine très bien organisée et à la date bien choisie (vive le vendredi soir !). Côté ravitaillements, rien à dire. Côté marquage du kilométrage et signalisation du parcours au sol, il y a certainement des progrès à faire. Mais les organisateurs en sont conscients. Attention aussi au passage des deux tunnels. Surtout le premier : il faut jouer les équilibristes pour y pénétrer en son milieu (sous peine de se fracasser la tête), savoir courir dans le noir et éviter les trous au sol. C’est une course qui permet beaucoup de relances et qui a évité le piège de faire enfiler aux coureurs de longs kms d’avenues rectilignes. Jean-Luc Bot avait choisi le podium et Dédé Delacroix avait chaussé les runnings. A noter que deux élus rennais participaient à cette course de quartier : Sébastien Sémeril, adjoint aux sports et Frédéric Bourcier, adjoint à l’urbanisme. A quand Daniel Delaveau ? Ph. D. |
Photos souvenirs | Les 10 km de l'ECHAPPEE NATURE - Dimanche 27 juin | Les résultats |
Ouf, tout rentre dans l’ordre ! Après les nombreux cafouillages de l’an dernier, l’Echappée des Fougeretz a su rectifier le
tir. Effectif à l’identique de l’an dernier (199 à l’arrivée du 10km) mais belle représentation de JE COURS A RENNES avec 11 coureurs présents sur l’Echappée Nature (Jean-François était venu accompagné de sa fille). Et en plus, le photographe n’avait pas pris son dimanche. Merci Guy pour le sympathique reportage. Niveau météo, c’était raisonnablement chaud mais un ravitaillement tous les 2,5 km permet de passer plus facilement l’épreuve. Sans oublier l’arrosage des 3 et 8ème km. Restait juste à couvrir ce parcours nature relativement bien ombragé mais qui nécessite quelques relances et des jambes pour passer les petites grimpettes qui nous sont proposées. Comme souvent, Pascal en tête et les autres suivant de plus ou moins loin, tout le monde franchi la ligne avec satisfaction (et avec la fameuse barquette de tomates chapelloises). Podium loupé pour Marie qui manque la première place V2F de 5 secondes mais podium réussi pour l’association qui remporte le challenge du nombre. Et l’info du jour : Haile Gebreselassie ayant préféré parrainer le futur marathon de Rennes à l’Echappée Nature, cette édition était sans doute la dernière à cette date. Al. T. |
Photos souvenirs | Les Foulées de CHEVAIGNE - Dimanche 4 juillet | Les résultats |
Un LIEVRE nommé ALAIN Drôle de menu : à Chevaigné, on commence par le dessert et on finit par le plat de résistance ! Expliquons-nous : après en avoir fini avec une petite boucle (celle par qui naguère on finissait le parcours), on pique droit sur le canal. Une descente de près de 800 mètres qui donne des vertiges au chrono de votre premier kilo. Seulement voilà, cette belle dégringolade se transforme en coriace raidillon au moment de terminer votre 10 kms. Juste retour des choses, me direz-vous. Le reste : c’est du plat de chez plat sur les deux côtés du chemin de halage : de la terre battue, du terrain gravillonnée et même de l’asphalte. Bonne nouvelle : le chemin du retour se fait à l’ombre. Pas un mal car le soleil commence à se faire sentir au bout d’une demi-heure de course dont le départ est donné à 9h30. Deux coureurs de JCAR avaient répondu présent. Si Alain a cédé à mi-course, il a eu la bonne idée de se transformer en lièvre sur deux kms et demi du canal et surtout pour tracter son petit camarade jusque sous l’arche d’arrivée, tout là-haut, là-haut. Merci à lui et à Rémi, le régional de l’étape qui n’a pas manqué d’encourager le duo. Ph. D. |
Les Foulées COMBOURGEOISES - Dimanche 11 juillet | Les résultats |
SYLVAIN, VICE-ROI de COMBOURG Et pourtant au moment du départ, le coureur de JCAR n’avait pas énormément d’ambition. L’appétit est sans doute venu en courant car Sylvain s’est retrouvé sur la deuxième marche du podium. Bien joué ! Il faut dire que les conditions climatiques n’étaient pourtant pas des meilleures. Toute la course a du subir une trouée de soleil alors que le temps est resté couvert avant et… après l’épreuve. Pas de chance pour ceux qui n’aiment pas trop la chaleur ! Et même ceux qui n’ont pas l’habitude de s’arrêter aux ravitaillements sur un 10 kms ont du prendre un verre d’eau à la volée pour ne pas se déshydrater. Le parcours ? Deux petites boucles relativement roulantes dans le centre bourg et deux plus grandes autour de l’étang avec à chaque fois un raidillon qui vous attend à la sortie. Cette course a la particularité de faire passer les coureurs 4 fois sur la ligne. Vous pouvez vous imaginer que Jean-Luc Bot, particulièrement en forme, s’en est donné à cœur joie… Ph. D. |
Courir à PLEUMELEUC - Mercredi 14 juillet | Les résultats |
DORMIR, DEFILER ou... COURIR Chacun avait le choix le jour de la fête nationale : faire la grasse matinée, regarder ou participer au défilé du 14 juillet. Ou bien courir. Deux de JCAR avaient donc fait le dernier choix en participant à la traditionnelle course de Pleumeleuc. L’une sur le 5,6 et l’autre sur le 9,9. Une deuxième édition, version matinale. Les coureurs ont été gâtés : un temps couvert et même quelques goutes de pluie pour rafraîchir les machines qui ont tendance à la surchauffe à la mi-course. Temps idéal autrement dit pour parcourir la petite boucle dans le centre bourg et les deux grandes qui vous conduisent le long de la Venoise. Une petite descente pas désagréable du tout pour y arriver, un parcours sur terre battue tordu à souhait (que des zig et des zag) et une remontée (raidillon et faux plat) vers le bourg. Avec arrivée sur l’herbe qui borde le plan d’eau communal dans le flot de paroles de Dédé Delacroix. Pas de surprise donc si ce n’est une participation en hausse après un départ retardé de 10 minutes. L’envolée de pigeons et le partage du pleu ont ponctué ce rendez-vous sportif et champêtre. Ph. D. |
Trail des RENARDS de SAINT LEONARD - Dimanche 18 juillet | Les résultats |
MARCHE ou COURIR, IL FAUT CHOISIR ! A Saint-Léonard, sur la commune d’Epiniac, le dimanche c’est marché. Un rendez-vous à l’accent anglais prononcé car beaucoup de Britanniques, en vacances au domaine des Ormes, vont y faire leurs emplettes. Les coureurs avaient, eux, décidé de filer à l’anglaise pour se mesurer, les premiers, sur un presque 12 kilos et les seconds sur un quasi 24. Deux coureurs de JCAR avaient choisi la première option. Un trail cent pour cent nature que cette première édition qui a connu quelques couacs. Certains participants ont parcouru plus d’un km supplémentaire. Je m’en suis tiré avec seulement 50 m de trop. Ouf ! Au menu : chemins creux le plus souvent ombragés, sol inégal aux nombreux pièges qui menacent les chevilles d’entorses, un peu d’asphalte et de parcours gravillonnés. De tout en fait sans oublier une petite montée à grimper presque à 4 pattes… Joli parcours au demeurant avec deux ravitaillements. Heureusement, avec un départ donné dès 9h15 (belle initiative) le soleil n’a pas eu le temps de taper. Il a sans doute davantage gêné les concurrents du 24 kilos. Jean-Luc Bot a du travailler doublement en ce dimanche campagnard. Deux courses à driver et deux arrivées à commenter. Le « Mangeas de la course à pied » n’était pas vraiment au chômage ! Ph. D. |
Photos souvenirs | Foulées de la VOIE VERTE - Dimanche 25 juillet | Les résultats |
NANAS : 4 GARS : 2 A l’évidence, les filles s’étaient davantage mobilisées que les garçons pour cette deuxième édition des 10,6 kms de Plouasne, une petite commune costarmoricaine proche de Saint-Pern et Bécherel. Françoise, Eléonore – toutes deux avec d’excellents résultats au final, Cathy et Carole ont accompagné Hubert et Ph. D. dans cette course mitraillée par le photographe Guy qui avait du, malheureusement pour lui, déclarer forfait. Cette brochette s’est donc défoulée dans ces foulées pas commodes du tout. Après un petit bout d’asphalte dans le centre bourg, il faut arpenter l’ancienne voie de chemin de fer, un ruban de terre battue entouré de verdure. Une espèce de faux plat qui fait déjà mal aux jambes. Après un répit dans la descente vers l’étang, on bifurque sur un raidillon et on enquille sur un chemin cabossé : des gravillons et des creux et bosses qui sont autant de pièges pour les chevilles. Après un bref retour à l’asphalte, c’est une descente casse-cou qui vous est proposée dans un boyau de chemin creux avant d’en terminer avec le premier tour. Et la même chose vous attend pour le second. Une petite pluie fine plutôt bienvenue est venue rafraîchir les organismes qui ont du surmonter la moiteur du début de course. Bref, une course agréable dans l’ensemble qui s’est achevée dans la salle des fêtes. A l’évidence, avec sa sono pourrie, Jean-Luc Bot, le speaker du jour, a du déployer davantage d’efforts pour se faire entendre que les coureurs de JCAR pour s’exprimer tout au long de cette course nature. Ph. D. |
Marathon de SAN FRANCISCO - Samedi 31 juillet | Les résultats |
Il fallait se coucher de bonne heure la veille pour être en forme ce matin du dimanche 25 juillet 2010 car le départ du marathon de
San Francisco était à 5h30 du mat, et oui vous ne rêvez pas, c'est très très tôt mais l'avantage c'est que, après une ptite sieste
réparatrice, la journée est ensuite bien longue pour visiter la ville.... Le départ s'effectue le long de l'embarcadère face à la San Francisco Bay pour se diriger vers le Golden Gate, parcours plat jusqu'au pont sauf deux raidillons qui vous mettent dans l'ambiance. Pont que l'on traverse entièrement sur 4 miles, on file ensuite sur le Golden Gate park avec une belle descente qui me faisait penser à Saint Pol Morlaix mais il ne fallait surtout pas se lacher car on était qu'au 12ème miles. La traversée du park sur 7 miles est sublime, surtout à l'aube, avec les écureuils, les renards et plein d'autres animaux américains. A la sortie du park, le marathon de San Francisco commence vraiment, on se souvient tous des vieilles séries télé où l'on voyait le dénivellé des rues, les courses poursuites de voitures qui s'envolaient dans les airs, Steve Mac Queen dans Bullit et bien entre le 19 et le 23 miles ce ne fut que ça, des montées et des descentes, donc les gibolles en ont pris un sacré coup. Les trois derniers miles sont plat jusqu'à l'arrivée. L'organisation est impeccable, les ravitaillements sont plus que suffisants, le temps était frais, environ 15°, mais par contre très peu de supporters car beaucoup de gens dormaient encore et oui vu l'heure du départ c'était un peu normal. Voilà un bref résumé mais je le conseillerai à celui qui veut vraiment changer d'air. Ronan |
Le 16ème Défi du JERZUAL de DINAN - Samedi 18 septembre | Les résultats |
A 18 heures, près de 1 050 coureurs s’élancent pour le Défi du Jerzual. Après la plane allée sableuse qui longe les remparts, c’est la route bitumée qui plonge vers l’abbaye de Léhon. Chacun s’en donne à cœur joie pour pulvériser son record personnel du km. Nous longeons ensuite la Rance par un petit sentier très sympa mais piègeux avec ces trous et racines qui dépassent. Première petite montée pour passer sous le pont de Dinan. Et nous attaquons la rue pavée du Jerzual et ses passages entre 10 & 18 % de dénivelé. Entre le passage de la porte et la place des Cordeliers, je peux vous assurer que ça grimpe….les yeux plongés vers le pavé plutôt que vers les jolies maisons à pans de bois…. Et c’est dans cette partie, que, des milliers de spectateurs et nos amis Françoise et Bertrand créent une ambiance inoubliable digne du passage du Tour de France au sommet d’un col hors catégorie. Il faut poursuivre son effort sur du plat pavé pour rejoindre la ligne de départ et repartir pour un second tour. Bravo à Sylvain qui se classe dans le top 10. Léon |
Photos souvenirs | BELLE ILE en Trail - Samedi 18 septembre | Les résultats |
Le Trail du PONANT 45km Depuis quelques mois déjà nous avions décidé de découvrir BELLE-ILE EN MER d'une façon sportive. Le trail du Ponant la course idéale !!! (Ronan en accompagnateur) Pascal et moi étions prêts. 10h départ du PALAIS direction LOCMARIA l'un des deux ravitaillements au km 17 Un périple superbe avec quelques montées et descentes. Tout est réuni pour se fatiguer les jambes. Ouf le ravitaillement !!! Celui-ci riche en tout, on recharge les batteries et on repart sur le même chemin direction BANGOR (second ravitail) au km 38. Un magnifique parcours avec de plus en plus de fortes montées et decentes périlleuses entre petites criques sauvages et plages au sable fin. L'appareil photo était le bienvenu pour immortaliser ce moment magique. Les jambes se font de plus en plus lourdes, la fatigue s'installe ( BANGOR est proche ) le dernier ravitaillement celui-ci où on prend du solide pour terminer les derniers kilomètres qui paraissent longs trop longs pourtant beaucoup moins difficiles que les autres. Le finish est là ! par un petit tunnel qui débouche à la porte Vauban. Dernier effort en descente, la foule est là! La délivrance avec la fierté d'avoir fini. Merci à nos plus fidèle supporters restés sur le continent qui nous ont encouragés tout au long du parcours! A noter la performance de Pascal qui se glisse à la 19ème place. De retour sur QUIBERON nous avons partagé un excellent repas pour oublier les souffrances. Rendez vous dans 2 ans.... jef |
Photos souvenirs | Trail de COETQUEN - Dimanche 26 septembre | Les résultats |
10 heures, ce dimanche 26 Septembre, environ 560 coureurs s'alignent sous l'arche de départ pour parcourir les 16,5 km les séparant
de l'arche d'arrivée visible un peu plus loin sur leur gauche. Parmis eux, 5 adhérents de Je cours à Rennes, 3 filles:
Françoise Lefeuvre, Eléonore et Cathy et 2 gars: Olivier et Alain. Avant le départ une petite pensée pour l'équipe alignée sur le SEMNON qui œuvre déjà depuis 1 heure. Un temps mitigé ou le soleil joue avec les nuages mais agréable pour courrir. La bonne humeur est au rendez-vous et les participants index sur leur chrono attendent avec impatience que le Maire de Saint-Solen veuille bien abaisser le drapeau donnant l'ordre de départ. Et c'est parti pour une découverte de la nature autour de St SOLEN. La course finie, un pique-nique est prévu mais vu que le soleil n'a pas gagné son combat sur les nuages, ce dernier est annulé et aprés avoir pris un verre de l'amitié offert par les organisateurs, le retour sur RENNES se précise. C'était compté sans Françoise qui nous a gentiment proposée de venir faire le pique-nique à l'abri dans la taniére de Bertrand, je cite "LES BREHANNIERES". Et c'est vers 16heures que nous reprenons la route de RENNES. Une course agréable, avec une organisation parfaite à inscrire au programme de Je Cours à Rennes. G. B. |
TOUT RENNES COURT 10 km - Dimanche 10 octobre 201 |
Les résultats |
CHANGEMENTS sans REVOLUTION Pas de véritable chamboulement mais un tracé légèrement différent de celui des autres années. Avec notamment une arrivée Esplanade Général de Gaulle. Ce qui implique la disparition des deux grimpettes pavées et éprouvantes de fin de course vers l’Hôtel de Ville et le palais du Parlement de Bretagne. Le seul secteur pavé avec en prime une petite montée demeure celui de la rue de la Monnaie à l’approche du dernier kilo. Parmi les autres changements : une plus longue partie de quais à arpenter, ce qui évite l’ancien détour par la rue de Paris. Cette année, on a eu l’impression d’ailleurs partagée par d’autres coureurs que le public semblait plus présent. Notamment dans l’enfilade des quais. Ce qui est toujours réconfortant surtout à l’approche du 8ème kilo. Il faut aussi avouer qu’après la perspective des quais, il faut quand même beaucoup tourner en fin de course : place de Bretagne vers boulevard de la Liberté, ensuite rue d’Isly et enfin cours des Alliés. Ce qui en fait rappelle les précédentes arrivées Place de la Mairie. Heureusement, et là, personne ne s’en est plaint, les coureurs ont pu bénéficier d’un temps idéal : une température véritablement printanière a baigné toutes les épreuves de la journée. L’arrivée sur l’ancien Champ de Mars permet aussi aux coureurs d’avoir un peu plus d’espace. On se souvient encore des arrivées étouffantes sur une Place de la Mairie encombrée de spectateurs et dont il fallait s’extirper avec difficulté. Tout Rennes court et son final sur la plus grande place rennaise constitue un bon galop d’essai pour le futur éco-marathon de Rennes Métropole du 26 juin prochain. Ph. D. |
Photos souvenirs | 32ème marathon ASIA EURO d'ISTANBUL - Dimanche 17 octobre | Les résultats |
L'INTERCONTINENTALE La Course au PAYS des MOSQUEES Jeudi 14 Octobre, 06 h30, aéroport de Nantes, les 15 coureurs et 6 accompagnateurs de l’asso « Je cours à Rennes » dont Asya ( 2 ans 1⁄2 ) sont ponctuels au départ pour Istanbul. Le vol se passe bien. Malheureusement, la valise de Dédé contenant entre autres ( la tenue sport, le cardio, la trousse de maquillage d'Evelyne …..) est absente et n’arrivera que le Lundi.. Un car nous emmène dans le quartier Beyazit au Grand Savur Hotel. Vendredi 15 : Il pleut depuis 2 jours sur Istanbul. Les marchands de parapluie font des affaires. Nous négocions le parapluie à 4 au lieu de 5 YTL ( La Livre Turque ) Attente de près de 2 heures quartier Sultanahmet sur l’ancien hippodrome romain – la plus ancienne arène sportive du monde - à deux pas de l’obélisque de Théodose et de la colonne de Constantin pour la navette Marathon. Celle-ci va nous emmener au parc exposition pour le retrait des dossards au fond de la ria de la Corne d’Or, dans le quartier d’Eyup. Une Pasta party nous permet de faire le plein de sucres lents. Le groupe brave la pluie en traversant le cimetière d’Eyup qui s’étend à flanc de colline pour atteindre le café Pierre Loti. Chacun d’entre nous prend plaisir à déguster un thé ( pomme ou nature ) dans la salle à manger turque, décorée de souvenirs de Pierre Loti écrivain français ( 1850 – 1923 ). Samedi 16 : Découverte libre de la ville historique. Pour certains, Mosquée Bleue, unique avec ses six minarets et sa décoration de faïences d’Iznik ; Palais de Topkapi ( ancienne résidence des sultans ) avec ses costumes impériaux, sa collection de porcelaine et son célèbre trésor…. Pour d’autres, la basilique Sainte Sophie, le grand bazar et ses milliers de boutiques (4000) ou le bazar égyptien avec ses épices, ses sacs de graines et de poudre colorées aux parfums de vanille, de cannelle et de cumin… Pour Dédé, achat de chaussures neuves…. Dimanche 17 : Le Jour J tant attendu. Petit déjeuner matinal et transfert des 15 sportifs au départ du Marathon et 15 km sur le coté asiatique. Chacun s’affaire à ses derniers préparatifs. Nos 4 féminines et Olivier rejoignent la partie Gauche pour le 15 km. Les 10 autres coureurs se rangent sur la partie droite pour le mythique 32 ème Marathon Asia-Europe. 09h00. Un départ commun est donné pour plus de 5 000 concurrents à une centaine de mètres du pont du Bosphore coté Asie sous un ciel des plus cléments. Nous traversons le pont du Bosphore ( 1 500 m ) pour rejoindre l’Europe. Le parcours, même si le dénivelé total est négatif ( - 40 m ), quoique assez roulant , n’est pas des plus faciles, avec quelques descentes cassantes et quelques faux plats dont le final. Nous traversons de nombreux quartiers ( Besiktas, Ortakoy, Beyoglu et son pont de Galata avec ses pêcheurs à la ligne). Nous faisons un aller et retour sur une partie de la Corne d’Or puis enchaînons par un nouveau aller retour le long de la mer de Marmara. Nous terminons en passant vers la pointe du sérail entre la mer de Marmara et les remparts pour rejoindre l’arrivée située devant « la Mosquée Bleue » à proximité de la place du Sultan Ahmet sous un chaud soleil. Le Kényan Vincent Kiplagat remporte le marathon en s’imposant en 2 h 10 min 39 sec. Chez les femmes, l’Ethiopienne Ashu Kasim s’impose en 2 h 27 min 25 sec. Et la communauté française de « Je cours à Rennes » dans tout ça ? Nos 4 féminines ( Eléonore, Nadia, Michelle et Françoise ) et Olivier ( handicapé par une douleur au genou ) ont des performances très honorables à l’épreuve du 15 km. L’épreuve terminée, ces cinq rejoignent les « accompagnatrices supporters ( Evelyne, Maria , Anita, Dominique, Laure et Asya ) à 200 mètres de la ligne d’arrivée pour encourager les marathoniens dans leurs dernières foulées et immortaliser l’instant. Ces derniers en ont gardé sous la semelle et se présentent un à un, souriants et heureux d’arriver. Certains ont opté pour une course plus lente de guerriers Massaï, pieds rasants… Ils ont tous fait le plein d’images fortes de cette ville qui marquent les esprits. Chaque participant a été récompensé par un t. shirt et une médaille finisher. Bravo à Pascal et Hubert qui rentrent dans le TOP 70. Après une photo souvenir nous rentrons à l’hôtel pour une douche réparatrice. Après un apéritif géant…, nous nous retrouvons au restaurant pour un diner festif. Chacun refait sa course. Les crampes, douleurs et autres…sont déjà oubliées… Lundi , Mardi , Mercredi, Poursuite de la découverte de Istanbul Visite des nombreux monuments qui témoignent de la richesse de son histoire : la Byzance des Grecs, la Constantinople de l’Empire Romain, la conquête Ottomane, ne sont jamais loin…. Istanbul rime bien souvent avec foule… Istanbul est à la fois un miroir de la Turquie et une exception culturelle. Le mode de vie européen est dominant pour bon nombre. Les petits métiers de rue abondent : cireurs de chaussures, portefaix, vendeurs de jus de grenade, marchands et colporteurs...L’appel à la prière, les sirènes des bateaux rythment la vie de tous les jours. La découverte d’Istanbul n’aurait pas été complète sans une croisière sur le Bosphore. Aussi, avec la complicité de deux Turquo-Lyonnais, nous louons pour la journée un bateau pour le groupe « Je cours à Rennes ». Nous avons pu admirer le charme du rivage avec ses villages de pêcheurs et ses élégants yalis ottomans, luxueuses résidences en bois et quelques fortifications. Jeudi 21 Octobre : Départ à 2 h du matin pour l’aéroport. Derniers regards sur la ville pour adminer les énormes dômes et minarets qui pointent vers le ciel… Arrivée à Nantes. Chacun retrouve sa valise et se salue pour un « A bientôt … » Fin d’un excellent séjour ayant permis sport, histoire et plongée dans un monde ou s’est mêler l’Europe et l’Asie. Merci à Dédé, Patrick et Christophe pour l’organisation de ce déplacement et à Hubert pour la planification impeccable des visites. L. M. |
Foulées de NOYAL CHATILLON - Dimanche 24 octobre | Les résultats |
Sur les MEANDRES de la SEICHE 5 minutes pour accomplir les vingt derniers mètres de course ! Frustrant, irritant, rageant même. Faute d’anticipation, les responsables ont du contenir les coureurs sur une longe file d’attente avant de franchir la ligne d’arrivée. Autant dire que les temps de course sont complètement fantaisistes pour une grande majorité de coureurs. Un final à vous faire regretter cette épreuve pourtant très agréable disputée au départ par un temps frisquet mais qui s’est vite radouci. Au menu : deux boucles quasiment similaires qui vous emmènent le long de la Seiche. Une bonne partie du tracé longe en effet la rivière : des sentiers de terre absolument plats et agréables à parcourir. La seule difficulté consiste en la montée finale. Juste avant le tourne à droite : là où les coureurs ont eu la désagréable surprise de se voir bloqués et de devoir patienter à la queue leu leu pendant une petite éternité. J’espère que cette 30ème édition servira de leçon aux organisateurs. Sinon, il est fort à parier que les coureurs ne remettront plus les pieds à Noyal-Chatillon. La bouteille de cidre offerte à l’arrivée ne leur fera pas oublier l’amateurisme de l’organisation… Alain qui a participé avec moi à cette course devrait partager le même sentiment… Ph. D. |
Foulées de MAUREPAS - Samedi 20 novembre | Les résultats |
7-8 : C'est LÀ QU'ON SOUFFRE ! Ah ! On l’aime bien ce parcours urbain-campagnard ! C’est l’avis de nombreux coureurs qui se donnent rendez-vous dans ce quartier rennais ce samedi après-midi de novembre toujours un peu frisquet. On le connaît par cœur. Le petit tour dans Maurepas avec une belle descente et une petite montée (qu’on retrouvera dans le dernier kilo), les 3 km qui vous mènent vers le parc des Gayeulles qu’on traverse de long en large avant de déboucher sur la route de Saint-Sulpice. La montée du pont qui enjambe la rocade nord et la belle descente avant un tourne-à-gauche le long de Dominique Savio. Avec le retour de la terre battue et de petits chemins. Et cette fameuse grimpette le long des marronniers entre le 7 et 8ème km qui vous fait déboucher à nouveau dans les Gayeules après avoir surplombé la rocade. Après on laisse dérouler jusqu’à l’arrivée. Avec à la clé la petite surprise du jour : le dernier kilo qui fait plus que ses 1000 mètres réglementaires aux dires de nombreux spécialistes de la course à pied. Je Cours à Rennes était une nouvelle fois bien représenté dans cette épreuve avec notamment deux anciens présidents toujours aussi affûtés. Ph. D. |
Foulées du ROC à LOUVIGNE - Samedi 11 décembre | Les résultats |
UN PEU ROC'N ROLL Départ Villamée. Arrivée Louvigné du Désert. Entre les deux communes du nord-est de l’Ille et Vilaine, un long ruban de terre battue qui supportait naguère la voie ferrée de la ligne SNCF Fougères-Vire. Pas question de se perdre donc. Il suffit de suivre un boyau de 3,5 m de large encadré d’arbres et de végétation. Mais pas question de croire que le ruban est plat. En plus, il faut savoir qu’avant d’atteindre le désormais sentier pédestre, il faut grimper la petite côte de sortie de Villamée qu’on attaque d’entrée de jeu. Deux cents mètres seulement après le départ, il faut en effet s’activer pour venir à bout du premier dénivelé qui peut couper les pattes ou la respiration. Heureusement, on a le temps de se refaire une santé sur le bitume. Au bout de 2,5 kms, après un tourne à gauche, c’est le début du sentier. Un peu vicieux. On ne s’en rend pas forcément compte au début : mais c’est un petit faux plat qui vous mène jusqu’à mi-course. Ensuite, c’est plus agréable car on a l’impression de dérouler dans une petite pente. Reste quand même qu’il faut en garder sous la semelle car, même si le final a changé cette année, il faut souffrir dans la montée de Louvigné avant de se laisser aller sur 300 mètres de descente qui vous conduisent à la ligne d’arrivée que vous découvrez dans les tout derniers 50 mètres (même si on entend la voix de Jean-Luc Bot bien avant). Une précision : chaque km du parcours est indiqué. Cette épreuve (qui ressemble en partie à celle de Plouasne), malgré un petit temps frisquet mais au final pas désagréable, séduit pas mal de monde. Et on peut le comprendre même si les organisateurs doivent mettre en place des navettes pour conduire les coureurs de Louvigné jusque sur la ligne de départ. Ph. D. |