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Courir à SAINT GREGOIRE - Dimanche 16 janvier
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PREMIER et PREMIÈRE de CORDÉE

Et c’est parti !… Pour la majorité des coureurs, Saint-Grégoire donne le signal de départ de la saison des courses sur route. Le rituel est désormais bien rodé. Ce sont les femmes qui partent les premières et les hommes suivent.

Trois femmes de JCAR avaient bravé la petite froidure de mi-janvier pour parcourir les 7,5 km du circuit. Le trio s’est bien comporté. Les hommes étaient un peu plus nombreux à prendre le départ de 11h15 (forcément un horaire un peu tardif. Tant pis pour l’apéro qui attendra !).

On retrouvait le circuit de l’an passé qui fait une plus grande place au canal. Et ce n’est pas plus mal (au moins, c’est plat !). C’est un parcours qui n’offre pas de très grosses difficultés même s’il faut toujours donner un coup de rein à la sortie du canal pour boucler le premier tour ou rejoindre la ligne d’arrivée sur laquelle officiaient le toujours pétillant Jean-Luc Bot et son compère Jacky Sourget, le speaker du Stade Rennais, de Rennes Volley 35 et du club de hand de Cesson.

Dans 15 jours, on retrouvera le canal mais cette fois-ci du côté de Betton.

Ph. D.

TOUT BETTON COURT - Dimanche 30 janvier
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BOUCHON sur BETTON

On a beau faire plus d’un kilo de descente avant d’atteindre le canal, il n’empêche qu’il faut un peu jouer des coudes quand on commence à fouler les bords de l’Ille-et-Rance. Vrai aussi quand on entame la dernière boucle. Pour cause d’étroitesse du boyau, il n’est pas facile de dépasser ceux qui commencent à traîner la patte dans les derniers kilos. Il faut donc mieux se placer dans le peloton de tête pour être moins ennuyé dans la course.

D’ailleurs pour les prochaines éditions, ne serait-il pas judicieux de prévoir un parcours sur macadam un peu plus long afin de permettre un certain écrémage et ainsi rendre plus fluide la « circulation » au moment d’aborder le chemin de halage ?

Le piège de cette course ? : partir à fond les ballons dans ce premier kilo tout en douceur et se retrouver un peu court un peu plus loin. Car il faut savoir en mettre de côté sur le final : un terminal tout en virages et en côtes : celle de la médiathèque suivie de la grimpette vers la ligne d’arrivée. Heureusement qu’à ce moment-là, les corps sont plus chauds.

Car au départ, il ne faisait vraiment pas gras quand Jean-Luc Bot, de sa voix de stentor, a libéré les coureurs pour le second 10 kms de l’année. Une course à laquelle les licenciés de JCAR, femmes et hommes ont répondu une nouvelle fois présent.

Ph. D.

SAINT VALENTIN à CHASNE sur ILLET - Dimanche 13 février
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SOLO, DUO ou.. TRIO

Une course qu’on peut faire seul ou en couple. Je Cours A Rennes avait choisi de la faire à …trois puisqu’au dernier moment Ronan a du déclarer forfait (problème d’inscription par internet et faute de certificat médical). Il y avait donc Alain, Rémi et Ph. D. dans cette course de 11 km qui a démarré sous un crachin plutôt frisquet. Raison de plus pour ne pas perdre de temps en chemin.

A propos de chemin justement, on en a eu pour tous les goûts : du macadam et de la terre battue parsemés de bouses de vache (eh oui, on est à la campagne !) chemins creux avec des passages limite boueux, surtout lors de la seconde boucle. Un parcours pas souvent plat, sujet donc à des relances à répétition. Mais, ma foi, plutôt agréable surtout le dernier kilo qui vous fait descendre vers Chasné.

Une organisation parfaite avec un départ sous une arche auprès de laquelle Jean-Luc Bot a officié malgré une sono qui crachotait. Comme le temps d’ailleurs… A ne pas faire sortir un amoureux dehors…

Ph. D.

15 km de THORIGNE FOUILLARD - Dimanche 27 février
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PROMENONS-NOUS dans les BOIS...

… Voir si les records peuvent tomber… Beaucoup de coureurs de Je Cours A Rennes sur la ligne de départ en ce dimanche matin un peu frisquet.

Un petit vent frais souvent de face (lors des premiers kilos) a engourdi le peloton qui a du effectuer un tour en centre bourg avant de s’attaquer aux longues allées bitumées qui transpercent la forêt de Rennes. Au rendez-vous, pas que du plat : la preuve à l’attaque du 6ème km à la sortie de la première pause ravitaillement et surtout au 9,5 kilo : un faux-plat qui n’en finit pas et qui fait mal aux jambes. Heureusement, elles peuvent se libérer un peu plus tard avec le retour de la terre battue et la descente dans les deux derniers km vers la ligne d’arrivée. C’est bon pour le moral ce finish en pente douce.

Ph. D.

Semi de Saint GILLES - Samedi 5 mars
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Du TOUT TERRAIN

En effet, on a eu droit à tout : des routes avec macadam et bitume en grande majorité, mais aussi des chemins creux de terre battue, des sentiers avec gros et petits gravillons… Des petites descentes rafraîchissantes mais aussi des faux plat surtout en fin de première grande boucle et bien sûr rebelote dans les derniers longs 500 mètres…

Plus roulant que l’an dernier ? On demande à voir… En tout cas, on a eu droit à un temps idéal : sec et ensoleillé. Personne de ce côté-là n’y retrouvera à redire.

En plus, il y a pas mal de monde près de la ligne d’arrivée (au fait, merci à Eléonore pour tes encouragements). Ce qui est toujours une source supplémentaire de motivation. Bref, un bon cru pour ce premier semi de l’année qu’on digère d’autant mieux grâce à une bonne soupe chaude servie dans la salle des sports qui permet de mieux recevoir les coureurs que l’ancienne salle du centre bourg.

Ph. D.

Foulées des CHAMPS GERAUX - Dimanche 13 mars
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EVAPORATION de KILOMETRES !

Le premier exploit, c’est de trouver les Champs-Géraux ! On a beau savoir qu’un des hommes les plus riches de France et patron du Stade rennais y est né, ce n’est pas pour autant que ça vous facilite la tâche. (Merci le GPS !).

Le second exploit, c’est de comprendre (en fait au bout du 2ème kilomètre) que vous n’êtes pas en train de pulvériser tous vos records de vitesse mais que vous avez affaire à une indication de kilométrage complètement fantaisiste. (Dis donc Bertrand, vous aviez un peu trop fêté la 9ème édition la veille au soir ?). Et c’est environ à 3 km de l’arrivée que vous finissez par comprendre qu’il ne s’agit pas d’un 14, 9 comme annoncé par les organisateurs mais en fait d’un 13, 5 ! En consultant votre temps final, ça vous rend donc tout de suite beaucoup plus modeste.

A part ça, la course se compose d’un petite virée en centre bourg et de deux grandes boucles : une descente vers les étangs sur un circuit heureusement pas trop boueux malgré la pluie de la nuit précédente et la petite bruine qui a eu la politesse de tirer sa révérence au coup de pétard du départ. Vous avez ensuite droit à une remontée sur macadam, une autre grimpette dans un chemin de terre, rebelote sur le bitume et enfin après un passage devant le podium de Jean-Luc Bot un faux-plat avant de virer à bâbord et de rouler sur un chemin de campagne entouré de champs et de prairies. Et un finish en pente douce (pas désagréable du tout) vers la ligne d’arrivée franchie par 4 représentants de JCAR dont 2 (Christophe et Alain) avaient participé la veille au relais de Melesse (quelle santé !).

Christophe a fait cavalier seul et longtemps Alain, Léon et Ph. D. ont fait course ensemble.

Ph. D.

Foulées de ROZ LANDRIEUX - Dimanche 20 mars
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CHAMEAU de Course

Pas de changement cette année. Le circuit n’a pas bougé d’un iota. Avant de partir, on sait déjà qu’il faudra tirer sur les bras et faire tricoter les jambes un peu plus vite que d’habitude dans les deux difficultés qui vous attendent avant le 5ème et après le 8ème kilo.

De quoi s’agit-il ? De deux bosses nerveuses qu’il faut franchir avant de retrouver un terrain un peu plus comestible malgré le vent de face qui balayait champs et prairies nus. Il faut le savoir : ce sont les deux seules difficultés de ce parcours qui se divise entre une moyenne boucle et deux plus grandes. Une course où on part très vite en raison de la déclivité qui vous attend dès le premier kilo.

Il ne faisait pas vraiment chaud au moment du départ. Heureusement, au bout de 20 minutes, le soleil a fait une timide apparition et n’a pas quitté les coureurs jusqu’à la fin. De bonnes conditions de course au final et qui a bénéficié des commentaires toujours éclairés de Dédé Delacroix qu’on va retrouver dimanche prochain pour le 10 km de l’ASPTT.

Ph. D.

10 km de l'ASPTT - Dimanche 27 mars
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COMME à la POSTE :
PETITE ou GRANDE VITESSE


« Elle est dure, elle est dure ! » : c’est ce qu’on pouvait entendre à l’arrivée autour des tables dressées dans la salle des sports à l’heure de reprendre des forces (même si sans petite cuillère, il n’est pas facile d’avaler un yaourt sauf à le gober).

« Elle est dure, elle est dure ! » : c’est ce qu’on pouvait encore entendre sur le long chemin du retour au moment d’aller récupérer sa voiture garée face à la piscine ou à la patinoire… Il est vrai que du 7ème au 9ème kilo, le chemin de bitume ne fait que monter. Et généralement, ce sont deux kilos qui ne sont pas les moins faciles à appréhender. La côte de St Sulpice, sorte de long faux-plat déjà goûté lors du premier tour fait mal dans les mollets lors du second passage.

Cette année, les coureurs avaient droit à un nouveau tracé ; une moyenne et une grande boucle autour du parc des Gayeulles. A ce propos, ne faudrait-il pas mieux inverser l’ordre ? Commencer par la grande boucle et finir par la moyenne ?

Suggestion gratuite formulée à Dédé Delacroix aux commandes de cette épreuve qui s’est déroulée entre deux averses et par un temps clément.

Ph. D.

Corrida de Saint JOUAN des GUERETS - Dimanche 10 avril
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QUI PERD SON SOUFFLE LE PREMIER ?

C’est en effet la question ! A vous de choisir : le coureur qui doit avaler ses 10 km avec à son menu une petite boucle à l’intérieur du bourg du Pays malouin et trois autres plus grandes qui contournent le centre du village ? Ou le speaker (en l’occurrence Jean-Luc Bot) qui voit passer devant son podium pas moins de 5 fois de suite les coureurs et qui à chaque fois « bat de la goule » pour tenir informé son auditoire ?

Toujours est-il que les conditions atmosphériques étaient idéales quand le peloton s’est élancé à 9h30 ce dimanche matin d’avril. Soufflait alors un vent léger juste avant que le soleil ne fasse son apparition. Il fallait donc mieux en finir rapidement avant qu’il ne brille davantage et émousse les énergies matinales et dominicales.

Pas grand chose à dire de ce circuit plat dans l’ensemble à l’exception peut-être de la petite montée le long du terrain de foot juste avant de déboucher sur les hauteurs qui vous permettent sur votre gauche de jouir d’un joli panorama sur la Rance. Mais pas question de faire du tourisme car on ne chôme pas vraiment sur cette course qui grâce à son profilé permet de battre vos records.

Dans 15 jours, on pourra d’ailleurs comparer son temps sur l’épreuve de Saint-Benoît des Ondes dont le parcours est aussi plat que la grève du Mont Saint-Michel. Bref, une belle 15ème corrida qui a attiré davantage de monde selon les organisateurs qui avaient préparé un copieux buffet d’arrivée.

Ph. D.

Semi de LIFFRE - Dimanche 17 avril
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Le PLAISIR de COURIR

Du monde pour le deuxième semi-marathon d’Ille et Vilaine, après celui de Saint-Gilles. Il faut dire que le temps a été de la partie. Des conditions vraiment idéales : un petit soleil et par moment un petit vent de face desséchant.

De quoi faire une agréable balade le long de la forêt qu’il faut longer pendant quelques kms. Pas de sentier pédestre à se mettre sous la semelle : il n’y a que du macadam sur la moyenne boucle de 5 kilos et les deux autres de 8. Un parcours sans de trop grosses difficultés mis à part la longue ligne droite sans doute un peu monotone qui réserve une petite montée. Bien agréable en tout cas d’en finir sur la cendrée de la piste d’athlétisme.

Quelques représentants de JCAR étaient présents sur la ligne de départ. Avec chacun des ambitions différentes. Pour ma part, il est bien agréable de faire 15 kms sans éprouver la moindre fatigue et d’accélérer pour se faire mal dans les 6 derniers kilos. Belle expérience peu vécue. On retrouve ainsi le plaisir de courir…

Ph. D.

10 km de SAINT BENOIT des ONDES - Dimanche 24 avril
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COMME SON NOM L'INDIQUE

Sur « le circuit des records », c’est fait pour battre des records… Même si celui de l’épreuve n’a pas été battu, certains en tout cas peuvent être contents de leur matinée … bénédictine.

Il ne faisait pourtant pas bien chaud au moment du départ. Une petite brume, un ciel voilé et un petit vent frais : des conditions météo qui contrastaient d’avec les journées estivales des deux semaines précédentes. Impression de fraicheur vite dissipée au bout du premier tour quand le soleil a fait son apparition.

Il ne restait plus qu’à effectuer deux autres tours un peu plus longs pour en terminer avec une course qui est certainement la plus plate de toutes les épreuves du département d’Ille et Vilaine. Pas la moindre petite bosse ou léger dénivelé. On court sur macadam au niveau de la mer.

L’infatigable Dédé Delacroix, déjà aperçu au semi de Liffré, était au micro et n’a pas manqué de saluer l’association JCAR aux trois passages des coureurs. Il faut une fois de plus féliciter l’organisation de cette manifestation sportive avec des bénévoles qui rivalisent de gentillesse et d’amabilité.

Un ravitaillement est offert à l’arrivée bien sûr mais aussi au départ. Un ravitaillement qui n’a rien de spartiate même s’il est préparé par des… Bénédictins (1) !

Ph. D.
(1) nom donné aux habitants de St Benoît des Ondes.

10 km CORA PACE - Dimanche 15 mai
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Des CADORS et des CADDIES

Loïc Rapinel, le pape de Pacé en Courant aime bien aligner les rapides sur sa course. Et il a bien raison ! Les cadors, ça donne de la notoriété à l’épreuve et ça motive le reste de la troupe. A défaut donc de se retrouver dans les cadors, les anonymes se regroupent sur les parkings habituellement réservés aux caddies.

Il y a en effet 3 bons km (départ et arrivée) de zone commerciale à traverser avec un dernier kilo qui n’en finit pas de jouer à cache-cache avec les allées de stationnement. Pas très fun… Heureusement l’échappée en campagne fait un peu oublier le bitume lisse des grands magasins pacéens.

Même si on vous annonce un « parcours entièrement plat », il faut savoir qu’il y a en prime quelques petits faux-plats heureusement assez digestes pour les mollets. En fait, c’est le vent qui a été le plus désagréable invité de cette matinée dominicale. Dans le nez dans les premiers hectos et qu’on retrouve par ci par là dans la course et surtout en fin d’épreuve.

A cette 14ème édition ont participé de nombreux coureurs de JCAR : Arnaud, Gilbert, Léon, Alain, Laurent et Eléonore. Merci à Ronan et Dédé pour leurs encouragements et à Rémi, le préposé aux prospectus pour la prochaine Elle et Lui. Une course qui a bien sûr été annoncée par Jean-Luc, préposé, lui, au micro.

Ph. D.

La 10 km de SAINT MALO - Vendredi 27 mai
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PLAT MALOUIN, HAUT et BAS SERVANNAIS

Beau succès de cette première édition de la 10 K de Saint-Malo, prélude au marathon de la baie du Mont Saint-Michel. Pour une première, c’est une réussite. Une vraie belle course entre Saint-Malo et Saint-Servan. Rien à dire. Seul petit bémol, l’attente un peu longuette pour accéder au ravitaillement final et à la récupération de ses effets personnels. Sinon, tout est parfait. La patte de Denis Craveia, le grand prêtre du marathon s’est fait sentir.

D’abord, un beau succès d’affluence pour cette première. Ensuite, une organisation sans faille. Un départ devant le Palais du Grand Large de St Malo avant d’embrayer sur le Sillon puis de longer les remparts. Ensuite, le franchissement des écluses et cap sur les Bas-Sablons. C’est au sortir de cette courbe qui lèche la mer (un souvenir pour les habitués de la Passagère) que les difficultés commencent : la montée vers la cité d’Aleth. Petit moment de répit avec la descente vers Solidor. Mais il faut ensuite arpenter les petites ruelles de la vieille ville de St Servan avant d’attaquer la rue escarpée Jeanne Jugan. On souffre dans le 5ème et le 9ème km. Heureusement qu’il y a la longue et précieuse descente de la rue Ville-Pépin vers la place Bouvet pour se refaire la cerise…

Vraiment que du bonheur que cette épreuve commentée par nos deux compères Dédé Delacroix et Jean-Luc Bot très en verve. A noter que les organisateurs aidés par les commerçants de Saint-Servan ne se sont pas moqués des coureurs : un tee-shirt de qualité et une médaille de la 10 K ! De quoi faire rougir nombre d’organisateurs de 10 kms ou de semi (on pense à Liffré, à son prix d’engagement prohibitif et à son « peyot » délivré en « cadeau »).

Vraiment, à l’arrivée de cette course, on en oublie les efforts déployés et le vent contraire qui vous force à puiser dans vos réserves. Un quasi sans  faute. En tous cas, un exemple de 10 km !

Ph. D.

Foulées de Dol - Dimanche 5 juin 2011
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Une PREMIERE REUSSIE

Dormir ou courir, il faut choisir… Mais quand on a pris la peine  de s’inscrire, on a quelques scrupules à laisser tomber. Dans ces conditions, il faut bien 5 bons km (sur les 11) pour commencer à se réveiller pour entrer dans la course et oublier la lourdeur de ses jambes…

Dommage car le paysage parcouru est plutôt agréable et diversifié. D’abord l’eau avec l’étang de Carfantin situé à la sortie de Dol où des amateurs de pêche étaient déjà à l’ouvrage. Ensuite les vieilles rues de Dol autour de la cathédrale et le long des douves. Puis à nouveau l’eau dans un paysage marécageux. Ensuite la pleine campagne qui avait retrouvé de la verdeur avec la pluie tombée quelques heures plus tôt. Puis des chemins creux le long de la voie ferrée Rennes-Saint-Malo et de champs cultivés. Et pour terminer le macadam qui vous réserve dans les derniers 500 mètres une belle descente vers la ligne d’arrivée.

De quoi retrouver du tonus avant le franchissement de l’arche gonflable devant le micro de Dédé Delacroix qui a évité de « chambrer » le représentant de JCAR (merci à lui !)… Vraie belle course avec des organisateurs aussi sympathiques que le tracé de cette première qui ressemble plus à un trail qu’à une course sur route. En plus, un petit air frais qui contrastait du temps ensoleillé de la veille a rendu encore plus agréable cette balade nature matinale et dominicale.

Ph. D.

Foulées vertes du BLOSNE - Vendredi 17 juin Les résultats

VERT comme le MARATHON à VENIR

Ouf ! Les coureurs sont passés entre les gouttes et ont donc évité d’être confronté aux fortes rafales de vent qui avaient balayé Rennes en début de soirée. Même si parfois, au détour de la course, il a fallu cravacher (ou se mettre à la cape derrière un plus grand coureur) pour éviter les vents contraires.

Vers 20h15, les coureurs se sont élancés pour 2 tours de 5 kilos à travers les rues, allées de pierre et de terre, chemins verts et bitume du quartier sud-est de Rennes. Vous avez en effet de tout sous les pieds. Et même droit de passer sous un tunnel (le plus étroit a été supprimé après la première édition de l’an dernier). Le parcours haché ne présente pas de difficulté particulière. Le seul inconvénient (et c’est ce qui explique en partie les temps des coureurs) est qu’il faut souvent tourner à droite ou à gauche. Donc être à la relance assez souvent. Mais c’est une épreuve de quartier très sympathique et qui a l’avantage d’être programmé un vendredi soir.

Jean-Luc Bot, aux commandes du micro, a pu déployer sa verve habituelle alors que son collègue Dédé Delacroix s’était élancé sur le 5 kilos en moins de 20 minutes. Bravo à Pascal dont le retour sur les courses lui a valu de monter sur le podium après un joli temps réalisé chez les V1. Pour beaucoup d’engagés, le Blosne s’est révélé une bonne préparation pour le marathon vert du 26 juin prochain.

Ph. D.

Le marathon VERT de RENNES - Dimanche 26 juin
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L'ENFER VERT

Il y a quelques années, durant certaines chaudes étapes du Tour de France, c’était la chasse à la canette. Et bien, durant le marathon vert, on a assisté au même phénomène. D’abord il a fallu dénicher sur le parcours la moindre trace d’ombre (plutôt rare) ; ensuite, saisir les gobelets d’eau lors des ravitaillements mais aussi lors des épongeages (les organisateurs avaient eu la sage idée de prévoir des distributions d’eau lors de ces haltes intermédiaires). Sans oublier les brumisateurs ou jets d’eau rafraichissant des corps échauffés par les kilomètres de course et le soleil estival.

Pas de chance en effet, ce dimanche coïncidait avec l’un des plus forts pics de chaleur de la semaine. On s’en est d’ailleurs rendu compte assez vite, environ à l’heure de course. Ces températures élevées n’ont vraiment pas facilité les conditions de course. Mais ce n’était peut-être rien face aux difficultés que les coureurs ont découvert au fil du parcours.

A chaque entrée de ville (La Chapelle des Fougeretz et Pacé notamment), il fallait tricoter des mollets pour gravir les faux plats et côtes. Et que dire de Betton avec le secteur « alpestre » de Maison Blanche. Vous croyiez en avoir finir avec une montée qu’une autre se dessinait sous vos pieds. Puis une autre… Une véritable litanie interminable. Des grimpettes à répétition qui ont eu rapidement raison des coureurs même un peu confirmés. Et ils étaient nombreux les marathoniens à marcher pour passer l’obstacle…

Même Cesson a réservé quelques petites et mauvaises surprises du côté du lycée St Etienne. Heureusement la suite était plus agréable avec une longue descente suivie de l’interminable ligne droite vers les quais de Rennes. On a même eu droit à des traversées de tunnel avec en prime un petit raidillon pour pimenter la fin de course.

Beaucoup de coureurs ont trouvé le parcours vraiment difficile. Vrai que la chaleur y était pour beaucoup (en 2012, le dimanche 11 novembre devrait réserver une température plus propice), mais le parcours ardu autour du 30ème kilo en a découragé plus d’un.

Aux organisateurs de revoir leur copie sur ce secteur. Sinon, la seconde édition risque bien d’être boudée par ceux qui se sont lancés sur la première. A noter toutefois la parfaite organisation de ce marathon et l’extrême cordialité des bénévoles. A l’image de l’animation menée de voix de maître par les deux compères, Jean-Luc et Dédé.

Ph. D.

PS : Et grand merci à Ronan qui m'a permis de passer sous la barre des 4 heures.
Photos souvenirs Le semi CANCALE-SAINT MALO - Dimanche 26 juin
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CANICULE MALOUINE

En ce dernier dimanche du mois de juin, alors que quelques coureurs de l'asso (Sylvain, Pascal,Gilbert, Philippe et Françoise Lefeuvre) prenaient dès 8h00 le départ du marathon vert pour arpenter les routes de la campagne rennaise, un autre groupe (Eric, Alain,Laurent, Rémy, Jacques et Eléonore) se dirigeait vers Cancale pour courir le semi.

C'est sous une très forte chaleur qui causa de nombreuses hécatombes et donna beaucoup de travail aux sauveteurs que nos 6 vaillants coureurs rallièrent la ligne d'arrivée sous les applaudissements et les cris des accompagnateurs venus les encourager dans le dernier kilomètre.

Après un bon ravitaillement, le petit groupe se dirigea vers la terrasse d'un café afin de se rafraichir un peu plus. Là, chaque coureur nous raconta les difficultés rencontrées à cause de cette forte chaleur.

Puis direction Cancale pour un premier arrêt "pique-nique" à l'ombre de grands arbres dans une prairie. Pique-nique copieux et bien arrosé, organisé par les accompagnateurs du groupe. Le deuxième arrêt nous amena sur une plage où tout le monde se mit à l'eau (de mer bien entendu !!!!) avant de faire une petite sieste réparatrice.

En un mot, une journée fort agréable et très conviviale dans la lignée de celle passée une semaine plutôt au niveau des 11 écluses d'Hédé.

Guy

Course nature de CHEVAIGNE - Dimanche 3 juillet
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8 et 13 km

4 coureurs de l'association au départ de la course nature de CHEVAIGNE. Eléonore et Alain pour la course de 8 km, Rémi et Christian pour les 13 km.

Le départ est donné sur le chemin de halage à côté de l'ancienne scierie. 2 km de chauffe le long du canal avant la 1ère grimpette sur un sentier ombragé. Arrivé en haut, le chemin se trouve à découvert. Nous avons le choix de courir en apnée ou d'avaler la poussière. Un 1er ravitaillement en eau a été prévu pour avaler les derniers grains avant de descendre vers le canal.

Les coureurs des 8 km se séparent pour se diriger vers l'arrivée, la course continue pour les autres. 1 bon km de plat sur le canal puis nous prenons à droite la petite passerelle sur l'Illet. Un 2è ravitaillement est prévu avant de traverser la voie ferrée et d'attaquer la 2è grosse difficulté entre le 8è et 10è km : 2 bons km de montée. Nous passons ensuite à côté du bourg de CHEVAIGNE. Et là c'est un véritable régal puisque nous n'avons plus qu'à nous laisser porter pour redescendre jusqu'au canal.

Nous pensions en avoir bientôt fini mais c'était sans compter sur une mauvaise évaluation de la distance: 14 km 100 sur GPS au lieu des 13 km prévus. Erreur excusée, le parcours est très agréable et le ravitaillement à l'arrivée sous le hangar de la scierie a été très apprécié, des petites crêpes avaient même été prévues

Christian.

Course à PLEUMELEUC - Jeudi 14 juillet
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DEFILE au PAS... de Course

Certains défilent au pas sur la plus belle avenue du monde. Le club des 5 de Je cours à Rennes (Eléonore sur 5, Hubert, Guy, Alain et Ph. sur 10) avaient choisi le pas de course sur un des plus jolis parcours pédestres d’Ille et Vilaine et qui fêtait ce jour-là son 30ème anniversaire.

Un parcours philosophique où on apprend que… tout se paye. Bien sûr, on s’amuse à parcourir un petit tour de bourg avant de carrément prendre son pied en dévalant le macadam qui mène au sentier pédestre tortueux qui longe la Vaunoise. Mais si on reste sur le petit nuage passé à dérouler dans la descente, le retour vers le centre bourg vous fait rapidement revenir les pieds… sur terre.

Car au détour du sentier, pas moins de trois faux plats vous ramènent à la dure réalité. On déchante vite et on perd trop vite le bénéfice engrangé un peu plus tôt. Ca grimpe dru en effet pour remonter vers l’étang des Forges où est située la ligne d’arrivée et qu’il faudra franchir deux fois pour en terminer avec ce parcours d’un peu moins de 10 kilos. Il fallait d’ailleurs en finir le plus rapidement possible pour éviter la grosse chaleur qui pointait trop rapidement le bout de son nez. A ce petit jeu, Hubert s’est montré le plus rapide et derrière le trio un bout de temps soudé lors du premier tour a fait ce qu’il a pu sous les flashes de l’appareil photo de Dédé.

Au micro, un ancien vainqueur de cette course, l’ami Jean-Luc toujours aussi inspiré dans ses commentaires et juché sur une tribune… républicaine où avaient pris place bon nombre d’élus politiques du secteur, conseiller régional, général et maire.

Ph. D.

Foulées de SAINT-SYMPHORIEN - Samedi 30 juillet
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A SAINT-SYM, LE SOLEIL VOUS REND ZINZIN !

Au lieu de distribuer les casquettes à l’arrivée de ce 10,5 km, les organisateurs auraient mieux fait de les remettre sur la ligne de départ. Car ce samedi-là, à 16h30, le soleil tapait déjà fort. Et pour les coureurs, les choses ne sont pas arrangées au fil des trois boucles à parcourir. Notamment durant la dernière où le ravitaillement en eau a fait défaut condamnant au régime sec des coureurs qui tiraient la langue.

Mais, pas question d’accabler les organisateurs de cette épreuve à laquelle participaient une petite centaine de courageux. Une épreuve qui fleure bon (en fait, pas toujours !) la campagne et composée de trois boucles de 3,5 km chacune sur un tracé situé au sud de la commune. Pas de très grosses difficultés à l’exception d’un faux plat sur un chemin en terre empoussiéré et une dernière bosse coriace sur macadam avant de dégringoler vers la ligne d’arrivée où officiait Jean-Luc Bot qui avait pris soin de se munir de casquette.

Et difficulté supplémentaire : il était très difficile de trouver de l’ombre pour échapper aux rayons d’un soleil de plus en plus ardent au fil des kilomètres. Dans ces conditions, pas question de penser à un quelconque record. Pour les coureurs moyens, les seules satisfactions étaient d’éviter de se mettre dans le rouge et de ne pas se faire rejoindre par les Sébastien Descormiers et consorts avant soi-même d’en avoir terminé avec son second tour. On a les satisfactions qu’on peut…

Ph. D.

Marathon de Saint ANDRE des EAUX - Dimanche 7 août
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Et de 31... MARATHONS à St ANDRE des EAUX (22)

Départ à 8 h 00, autant dire que pour participer à ce marathon il faut se lever de bonne heure surtout si quelques 45 km doivent être parcourus pour arriver sur les lieux.

En ce 1er dimanche du mois d'Août, après 1 minute de silence à la mémoire de la disparition d'un organisateur, les 158 inscrits à ce 31éme marathon ainsi que les 35 coureurs participant au "duo" s'élancent sous un temps propice à ce genre d'épreuve. Au micro toujours l'infatigable Jean-Luc BOT.

Les marathoniens doivent effectuer 2 boucles, la première d'une distance de 22,6 km et la seconde de 19,6 km. Quand au "Duo", les 22,6 pour le premier coureur et les 19,6 pour le 2éme.

Originalité des cette course, les coureurs peuvent être assistés d'un accompagnateur vélo qu'ils récupèrent au 4éme km.

Si le circuit serpentant dans la campagne entourant Saint André Des Eaux est agréable avec de nombreux ravitaillements très fournis, il n'en reste pas moins difficile car vallonné avec une série de petites côtes "casse pattes" entre le km: 4,5 et le km: 7 puis plus loin vers le km: 12 une longue montée de 2,5 km. Difficultés que l'on retrouve bien sur à la seconde boucle entre les km: 26 et 29 et vers le km: 33.

Si le soleil donne juste ce qu'il faut en chaleur, quelques fortes rafales de vent de face viennent perturber le rythme des coureurs.

Parmi ces 158 courageux de ce dimanche matin, 2 coureurs portent les couleurs de JCAR: Pascal PAY accompagné par Bernard, un collègue de travail et un habitué bénévole de la ELLE et LUI 35, qui termine son marathon à la 32éme place en 3h 16mn 30s et Gilbert BREGAINT qui lui, le veinard est accompagné par 2 cyclistes, Cathy et Guy et qui termine son marathon à la 98éme place en 4 h 02mn 10s.

Des temps plus qu'honorables quand on pense que ces 2 coureurs ont encore dans les jambes les 42,195 km du Marathon Vert de Rennes couru il y a seulement quelques semaines (le 27 juin pour rappel).

Avant de se quitter et de retrouver Rennes, Bertrand le local du coin nous invite à venir boire chez lui le verre de l'amitié. Merci à lui.

Guy B.

Semi-marathon DOL-COMBOURG - Dimanche 21 août Les résultats

APRÈS LE MARATHON, UN SEMI VERT

Quand on arrive vers le 16ème km et qu’une légitime petite fatigue se fait ressentir, vous avez envie de prendre un immense rabot et d’aplanir ce semi qui n’en finit pas de monter et de descendre. D’ailleurs, au départ de la course, Jean-Luc Bot prend de belles précautions oratoires pour vous prévenir que la course est… assez difficile.

Certains peuvent aisément traduire par très difficile. Même si on a l’impression de croiser les mêmes concurrents d’une année sur l’autre et qui savent bien à quoi s’en tenir. Mais ce que craignaient surtout ces mêmes coureurs, c’est le soleil. Celui-là même qui rappelait quelques souvenirs cuisants à beaucoup lors du récent marathon vert. Et bien, il a eu la délicate attention de n’apparaître qu’après plus deux heures de course. Autrement dit, sans gêner la majorité des participants qui ont eu cependant à affronter une atmosphère orageuse. Celle qui vous fait suer davantage et vous oblige à vous hydrater régulièrement. A tel point que le petit vent frais même de face en fait était le bienvenu.

Quant au parcours qui vous fait traverser Baguer-Morvan et Bonnemain, rien que de la montée parfois ardue (notamment autour du 7ème kilo)  et des descentes dont deux sur la fin de parcours qui sont un peu abruptes. Le parcours est résolument champêtre de la sortie de Dol (où a lieu le départ) jusqu’à l’entrée de Combourg. Comprenez qu’il y a plus de vaches à voir passer les coureurs que de spectateurs. Même si ces derniers n’ont jamais ménagé leurs encouragements.

Ph. D.

Foulées TREMBLAISIENNES - Dimanche 28 août
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TREMBLAY? MEME PAS PEUR !

Quand on arrive pour la première fois sur une épreuve, on peut légitimement éprouver quelque appréhension. Surtout que la course se présente sous la forme de 4 boucles de 2,5 km. Une première pour le seul représentant de Je Cours A Rennes dont la seule crainte était d’éviter de se faire avaler trop tôt. Mais il n’avait pas bouclé son deuxième tour que le futur vainqueur lui passait sous le nez : quand un TGV double un TER…

Qu’importe ! C’est un parcours au profil de « tôle ondulée » comme le soulignait Jean-Luc Bot dont l’organe puissant s’est fait entendre tout au long du parcours.

Au menu : deux faux plats qui au fur et à mesure des kilos finissent par rendre les jambes lourdes. Mais il y a aussi une belle ligne droite en pente douce qui soulage et qui vous mène sous l’arche d’arrivée. Heureusement, les coureurs n’ont pas trop souffert de la chaleur. Juste une atmosphère un peu lourde mais finalement pas trop handicapante.

Bref, Tremblay et ses 10 km ne vous font pas trop… trembler.

Ph. D.

Le MARATHON de la VIE - Dimanche 18 septembre
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"Des km qui aident à sauver"

La 8éme édition s'élance dés 9 h depuis le centre Eugène Marquis du CHR pour parcourir les 45,3 km ralliant Piré Sur Seiche.

Plus de 1200 inscrits sur ce parcours que l'on peut faire seul ou en équipe de 2,3 ou 4 coureurs.

Pas de chrono, pas de tirage au sort et encore moins de récompenses au bout. La seule satisfaction est de faire cela pour aider les malades.

J.C.A.R. a réussi grâce à Françoise LECHAUX à composer une équipe de 4 coureurs.

**Françoise qui sera alignée sur la 1ère étape de 8 km, du CHR à St Jacques de la Lande, verdoyante comme toutes les autres étapes d'ailleurs, roulante et sans grande difficulté mais bridée et ralentie pour des raisons de sécurité sur les 2 premiers km.

**Gilbert prendra le 2éme relais sur l'étape la plus longue 14,4 km de St Jacques de la Lande à St Erblon avec en prime la montée et la descente des 35 marches de la passerelle P.S.A traversant la route de Nantes.

** Guy sera sur le 3éme relais, étape de 13.5 km, de loin la plus difficile car très vallonnée entre St Erblon et Amanlis.

** Cathy finira ce relais par une étape de 9,4 km Amanlis - Piré Sur Seiche assez plate excepté une bonne montée 4 km avant l'arrivée.

C'est la logistique fixée pour l'équipe quand vers 7 h ce matin, la sonnerie du téléphone se fait entendre. A l'autre bout du fil, notre ami Gilbert malade, ayant passé une très mauvaise nuit déclare forfait pour la course, n'étant pas en forme pour prendre le départ. Aussi notre quatuor se change en trio et l'ordre des relais est bouleversé.
Françoise s'aligne sur le 1er relais, Cathy prend le 2éme relais et votre serviteur le 3éme et dans la foulée le 4ème relais.

Ces 45,3 km parcourus beaucoup sur chemin, un peu sur bitume nous font découvrir de beaux paysages. Une excellente ambiance tout le long de la course accompagne les coureurs et pour finir une magnifique salle est mise à disposition des coureurs pour continuer ce périple devant un casse-croute que chacun a prévu et qui peut-être très sympathique. Une expérience à renouveler l'année prochaine avec plus d'équipes de J.C.A.R. pour une bonne cause.

G. B.

Foulées CHARTRAINES - Dimanche 18 septembre
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A CHARTRES FAUT CARBURER

Dans la capitale de l’automobile, mieux vaut partir au quart de tour si on veut réussit un bon chrono. Pas question de lambiner en route. Sur une route toute plate et toute verte. C’est en effet l’image de marque de ce 10 kilos qui séduit les grosses comme les petites cylindrées. Chacun en fait y retrouve son compte.

A Je Cours à Rennes, Hubert a su faire vrombir le moteur, Alain et Philippe ont essayé d’embrayer sur le même rythme. Dédé et Laurent ont eux aussi appuyé sur le champignon. Sur la ligne de départ, il y avait en effet 5 représentants de l’association.

Ceux qui redécouvraient Chartres sont restés séduits par le parcours toujours aussi attrayant : de la route mais aussi beaucoup de sentiers de terre battue dans le parc de loisirs. Même si courir un 10 km n’est pas forcément une partie de plaisir.

Un temps idéal (un peu de fraicheur mêlée à de larges plages ensoleillées) a présidé à cette course commentée par l’inusable Jean-Luc Bot. D’autant plus inoxydable que sa nuit avait été très courte.

Nos représentants qui sont restés jusqu’à l’apéro étaient tous satisfaits de leur course. On a même vu Hubert monter sur le podium. Merci aussi à Gaëlle Houitte pour nous avoir livré son secret pour perdre du poids : courir à jeun le matin et ne pas hésiter à aller puiser dans ses réserves.

Quant à la blague du jour, elle émane du président qui se fera une joie de vous la raconter lors de l’assemblée générale de ce vendredi.

Ph. D.

Le DEFI du JERZUAL - Samedi 24 septembre
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La Course PIEGEUSE

C’est fou comme un visage amoché, ça fait rire les filles ! N’est-ce-pas Gaëlle Houitte et Marie-Hélène Ohier !

Mais commençons par le début. Savez-vous quelle est la plus grosse difficulté de ce Jerzual ? Trouver une place pour garer sa voiture ou escalader la côte mythique ? Eviter les pièges en forme de cailloux et de racines apparents sur le chemin de halage ou dévaler la descente vertigineuse de Léhon aujourd’hui « agrémentée » de chicanes tous les 50 mètres ? Ne cherchez pas : trouver à Dinan un emplacement pour sa voiture relève de l’exploit sauf à arriver trois heures avant le début de la course.

Quand au chemin de halage, il a été une fois de plus fatal au représentant de Je Cours à Rennes : il s’est retrouvé sans trop savoir comment le nez par terre sur les bords de Rance. Cette fois-ci dès le premier tour (la fois dernière, c’était lors du second passage). La tête en sang, la main gauche et les côtes endolories n’ont pas empêché le coureur de terminer sa course avant un bref passage chez les secouristes.

Et cette course ? La présence de plus d’un millier de coureurs ne facilite pas un départ rapide. Sauf à truster les premières places. D’autant que les 500 premiers mètres s’effectuent dans un nuage de poussière. Ensuite, il y a la terrible descente vers le château et l’abbaye de Léhon, le chemin de halage rempli de traitrises (voir plus haut), la petite grimpette vers le viaduc, puis l’escalade du Jerzual pour finir par le martèlement désagréable des pas sur les pavés disjoints de la ville haute… Et c’est reparti pour un second tour…

La montée du Jerzual, c’est un peu l’Alpe d’Huez avec les spectateurs qui constituent une véritable haie d’honneur (merci une fois de plus à Bertrand, posté après la porte du Gouverneur, pour ses encouragements). Mais il faut aussi jouer des coudes pour doubler des coureurs qui se mettent d’un coup à stopper leur progression et à marcher. Il faut dire que les 18% de montée contraignent bien souvent à piocher.

On retrouve en fait son rythme de croisière dans le plat des douves du château quand la voix de Jean-Luc Bot (compatissant, lui, à la vue du coureur ensanglanté) se fait à nouveau attendre.  La ligne d’arrivée n’est alors plus très loin.

Promis, juré, pour ma troisième participation, je reste debout de bout en bout. Tant pis si je ne fais plus rire les filles…

Ph. D.

PS : sans rancune, Gaëlle et Marie-Hélène…

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Trail MUCO 10 km VITRE - Samedi 1 octobre
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A BOUT de SOUFFLE !

Plus jamais ça… C’est vrai qu’au départ, on ne se figure pas ce qui vous attend. Ça roule tranquille le long du barrage de Haute-Vilaine. Vous avez même le temps de jeter un œil sur cette petite mer intérieure où les gens du coin viennent se reposer sur ses berges voire même se baigner…

Mais, ça se corse assez rapidement en abordant les sous-bois où une grimpette d’au moins 500 mètres vous attend avec l’obligation de passer sous un arbre qui vous barre la route et au-dessus d’un autre… Pour un peu, le Jerzual, c’est de la rigolade…

Un peu de répit dans la descente. Mais vous retrouvez vite des sous-bois où vous devez absolument avoir le nez devant vos semelles pour éviter la chute. A un moment, vous passez de l’autre côté de la rive où il faut aussi se montrer vigilant pour ne pas se casser le nez. Et ensuite, c’est la galère : des montées à travers des champs aux herbes folles, on grimpe sur des chemins de fermes. Et çà monte. Et çà n’en suffit pas de monter. Vous croyez en avoir terminé quand vous remettez le cap vers la ligne de départ (qui est aussi celle de l’arrivée) et alors, c’est une montée nerveuse qui vous attend encore.

Un véritable calvaire avec en prime les 30 degrés de chaleur qui vous assomment. Vous n’avez qu’une seule envie : en finir une bonne fois pour toutes. Bon, d’accord, on court pour la bonne cause. Mais de l’aveu de tous les coureurs, c’est vraiment une épreuve que ce trail… Alors, peu importe le temps. Il faut en finir et se jeter sur la table d’arrivée pour se désaltérer. Ouf !

On va réfléchir une année pour remettre ça… Même de l’avis des organisateurs, le trail 20 bornes est plus facile. C’est dire…

Ph. D.

Marathon de JERSEY - Dimanche 2 octobre
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26 MILLES et 385 YARDS d'EFFORT et de PLAISIR



Vendredi 30 septembre, 8h00 une partie de l'équipe (7 personnes) en partance pour le marathon de Jersey quitte le port de St Malo.

1h15 plus tard, arrivée sur le sol de Jersey, direction l'hôtel pour prendre livraison de nos quartiers et se mettre en tenue estivale car dehors ça chauffe.

Départ vers le centre ville pour récupérer tous les dossards, puis tourisme oblige, découverte de la ville et de ses rues piétonnes durant l'après-midi.

20h00 arrivée de Laurent qui n'a pas pu prendre le départ du matin.

Après une première nuit à l'hôtel, petit déjeuner à l'Anglaise en attendant le second groupe(9 personnes) qui doit arriver en ce début de matinée.

Après les retrouvailles, direction la ville et son centre. En milieu d'après-midi, excursion en bus "décapoté" pour découvrir la région Sud-Ouest de l'ile. Le beau temps est toujours de la partie (26 à 29°) pour ce 2éme jour. Le dîner d'avant marathon est pris en terrasse et mis à part les 3 marathoniens, chacun se fait plaisir, les pâtes ne sont pas obligatoires; une chanteuse à la belle voix mais avec une sono sur-dimensionnée nous lance des clins d'oeils qui en ravissent plus d'un.

Dimanche, le grand jour. Nos 3 marathoniens et nos 2 équipes de 5 relayeurs sont prêts. Petit déjeûner tôt, entre 6h00 et 7h00 puis 8h00 direction la ligne de départ car dès 8h30, les relayeurs 2 et 3 doivent prendre le bus qui va les conduire à leur lieu de départ.

9h00, départ du marathon sous les cris et les applaudissements des spectateurs. Un peu plus de 500 coureurs au départ, seuls 352 d'entre-eux relieront la ligne d'arrivée. Dur Dur !!!!
9h30, le départ du marathon relais est donné. Cathy et Françoise s'élancent vers leur destination. Au bout de leur 4,800 km, les attendent Laurent et Rémy.

10h00, les relayeurs (4 et5) montent dans les bus qui vont les déposer à leur point de départ. Et c'est parti pour les courses.

Pendant ce temps nos quatre charmantes accompagnatrices, Monique, Dominique, Momo et Evelyne patientent sur la ligne d'arrivée prêtes à flasher nos coureurs.

13h00, tous nos coureurs sont arrivés, alors une "pinte" de bière, une douche et un bon repas pour retaper tout le monde.

Le temps passe vite et c'est déjà l'heure de penser au retour pour ceux qui rentrent ce dimanche soir. Alors un dernier au revoir à l'embarquement et ceux qui restent un peu triste de les voir partir reprennent le chemin de l'hôtel pour prendre un repos bien mérité.

Lundi, alors que certains ont repris leur activité sur le continent, nous autres les veinards lézardont au soleil, après un petit déjeuner tardif et copieux, direction le centre ville car ces dames ont envie de faire quelques achats pendant lesquels, nous les hommes flânons le long des rues.

12h00 , direction la gare routière pour prendre un bus qui nous fait découvrir toute la côte Sud-Est de l'île de : "Jersey à Mont Orgueil" et sa forteresse où nous passons l'après-midi.

17h00 , il faut penser au retour, alors après être aller chercher nos affaires à l'hôtel, direction le port où nous embarquons à 20h00, (8h00PM) heure de Jersey.

Nous venons de passer un superbe W-E "normal ou prolongé" sur cette île ensoleillée quoiqu'on en dise.

Merci JERSEY de nous avoir si chaudement accueillie et à bientôt.

Guy


Relais 2
 
Le bel esprit d’équipe de certains coureurs de JCAR fait que les relayeurs 2 et 3 ne sont pas seuls à prendre la direction de Weighbridge Place.

Départ de l’hôtel à 8h00 pour prendre la navette à 8h20 à côté de Steam Clock  (L’horloge à vapeur)

Laurent et Rémy prennent la direction de Waterworks Valley, Hubert et Eric la direction de St Ouen’s Village.
Un air frais nous attend dans la zone de relais très ombragée.

1h15 à attendre avant de passer aux choses sérieuses mais le temps passe vite en compagnie des 4 équipes du Conseil Général d’Ille et Vilaine. La Bretagne à la conquête de Jersey.

Les premiers marathoniens ne tardent pas à passer avec Bernard en 3ème position, Gilbert et Christian sont un peu plus loin.

Une ambiance de fête car tout le monde est sur le bord de la route à les applaudir. Vivat les Bretons!

Les champions passés, un petit échauffement avec Laurent et une charmante Bretonne avant de rejoindre les couloirs de départ.

Comme prévu, Cathy arrive première au passage du témoin dans le duel des 2 équipes de JCAR, et j’encourage par une petite tape amicale mon adversaire Laurent très motivé.

Il reste encore énormément de coureurs dans les starting-blocks quand Françoise arrive 3 minutes plus tard.
Bravo les filles. C’est bien parti pour faire une bonne place et il me reste à confirmer.

C’est parti pour 6 miles. Et oui! nous sommes à Jersey et je vous laisse faire la conversion.

Un démarrage et un début de course en côte sur cette petite route à lacets nommée “Le chemin des moulins”. Paysage magnifique.

La deuxième partie du parcours est moins difficile, mais la route étant plus dégagée, le soleil me fait rappeler que c’est une période très chaude.

Les véhicules sont de plus en plus nombreux. Impossible de couper les virages car la circulation n’est pas interrompu. St Ouen’s Village ne doit plus être très loin.

Environ 49 minutes aprés mon départ, et 3 minutes après Laurent, je passe le témoin à Eric. A son tour de garder le tempo.

Après avoir rejoint mon adversaire (ni perdant,ni gagnant) au ravitaillement et récupérer la médaille et le tee-shirt dans des bacs, retour illico presto au Finish pour applaudir Bernard à l’arrivée.
Une bonne douche,une bonne bière, un bon apéro et un bon resto vont finir cette agréable journée.
 
Rémy

Relais 4:

Depuis 10h20, Eléonore, Guy (relayeurs 4) et Alain, Dédé (relayeurs 5) sont sur place au point de départ du relais 4 qui se trouve à environ 300 mètres du départ du relais 5. Les premiers marathoniens ne tardent pas à passer avec en 6éme place Bernard. Un peu plus tard, Christian puis Gilbert. Nous les encourageons de toutes nos forces et nos cris.Ils sont entre le 25 et le 26éme km et paraissent bien dans leur allure. En un mot, tout baigne.

Il va être 11h30, Eléonore et moi gagnons nos box de départ car notre tour ne vas pas tarder à arriver. En effet vers 11h40, le speaker annonce: One, One, Three, Zéro et Hubert apparait, Eléonore prend le témoin et c'est partit pour elle, 7,200 km à parcourir avant de passer le témoin à son relais 5: Alain.

Environs 4 mn plus tard, la même voix du speaker retenti: One, One, Three, One, c'est pour moi, Eric arrive, mais que se passe t'il, il ne s'arrête pas, il continue. Ouf un commissaire l'arrête et le dirige vers le départ du relais. Je lui prends le témoin et à mon tour d'aller de le remettre à Dédé 7,20 km plus loin.

Une première moitié de circuit agréable sur un chemin souple bordé d'arbres et avec les encouragements des spectateurs. Aucune difficulté, ça déroule.

Ravitaillement à mi-course et là les choses commencent à se corser. On attaque la montée, régulière mais longue puisque nous l'avons jusqu'à l'arrivée 3,5 km plus loin. En plus nous courons sur la route ou les trottoirs quand il y en a. Les voitures nous frôlent car la circulation n'est pas arrêtée. Merci les gaz d'échappement.

Dans leur box de départ au relais 5, Alain et Dédé sont prêts et nous attendent. J'arrive, je vois Dédé, je lui passe le témoin et c'est parti pour lui. Peu de temps après, Eléonore arrive et passe le témoin à Alain qui s'élance aux trousses de Dédé. Ils ont 9,200 km à faire avant de voir la ligne d'arrivée.

Quand à Eléonore et moi, nous retrouvons Hubert et Eric qui nous attendent.

Une voix retentit: "il y a des douches" aussi avant de reprendre le bus qui doit nous ramener vers St-Hélier nous prenons une bonne douche.....bien froide mais qui nous fait beaucoup de bien.

Guy


Relais 5

C'est parti pour 9,2 km avec une motivation plus forte qu'à l'accoutumée puisque cette épreuve est un relais où chacun se fait fort de donner le maximum afin de favoriser son équipe. Sitôt le relais passé je reprends le circuit de la course et là, surprise, le tracé nous fait prendre un chemin ombragé et légèrement descendant et cela pendant 3 bons kilomètres, que du bonheur.

Un vrai plaisir ce tronçon ombragé, le terrain descendant permet au chrono de voir les km passer à une vitesse que je n'avais pas vu depuis longtemps, mais bien sûr avant de passer la ligne d'arrivée il restait à traverser la baie de St-Aubin à St-Hélier, un beau croissant de 6 km avec la mer sur la droite, une vraie carte postale sous les yeux au débouché du chemin. Mais là bien sûr le chrono à chuter le parcours a fini de descendre, et le soleil est de plus en plus généreux.

Et là le coureur doit redoubler d'efforts, l'arrivée bien que visible ne se laisse pas approcher, le soleil vous fait cligner les yeux et la mer vous invite à y piquer une tête pour se rafraîchir, je me dis que c'est un coup monté par l'équipe adverse pour me faire ralentir, mais je les ai reconnu et je me concentre sur mon parcours, c'est sûr ils ne vont pas me ralentir comme ça! Fin du parcours les jambes commencent à traîner, la voix du speaker se fait entendre, les applaudissements puis des encouragements cadencés "dédé, dédé" repris par tout le monde, non non je ne rêve pas, me redonnent un coup de fouet pour terminer en beauté. Merci à tous, on a fait une belle course.

Dédé.

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Photos souvenirs TOUT RENNES COURT (S'MI) - Dimanche 9 octobre
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Un Semi BIEN PLANTE

Faut bien le reconnaître : le plus difficile dans ce s’mi, c’est de faire le pied de grue dans le sas avant le coup de pétard. Et si vous avez la malchance de vous y rendre seulement un quart d’heure avant l’envol, vous êtes condamné à partir avec plusieurs minutes de retard et surtout à piétiner et devoir slalomer entre les coureurs durant au moins deux bons kilomètres pour vous mettre dans votre rythme. Bonjour ensuite pour rattraper le temps perdu !

Bref, pas de surprise sur ce parcours urbain qui ne présente pas de grosses difficultés à l’exception de la montée pavée de la rue de la Monnaie (moins ardue toutefois que celle de la mairie et du Parlement des années passées). La satisfaction, c’est le public plutôt assez présent sur le parcours, et notamment sur le final.

Merci donc aux très nombreux encouragements des coureurs de la JCAR. Ca fait du bien à l’heure où les jambes commencent à devenir un peu lourdes. Autre élément qui a facilité la course : le temps. Idéal pour une pareille épreuve située à un moment du calendrier où tout est possible.

Ph. D.

Trail de la COTE d'EMERAUDE à ROCHEBONNE - Samedi 15 octobre
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BEAU TEMPS, BELLE MER

Un trail, c’est toujours piégeux. Surtout en bordure de mer. Il faut faire attention à ne pas trop s’enliser sur le sable mou, redoubler de vigilance sur des secteurs recouverts d’algues glissantes et faire preuve d’anticipation pour ne pas se tordre les chevilles sur des sentiers pierreux. Une fois énumérés ces pièges, il faut courir.

Au programme : 5 bons kms de plage au sable dur, mouillé et sec ; le reste (un peu plus de 6) sur du bitume et surtout un chemin de douanier souvent étroit et escarpé. Notamment sur la pointe de la Varde où il faut donner un bon coup de rein pour escalader la partie finale.

Pour ce premier trail, les organisateurs dont le speaker Dédé Delacroix ont été gâtés (cette fois-ci, son homologue Jean-Luc Bot faisait partie du peloton). Il faisait un temps superbe. Un peu trop même car il a fallu parcourir le dernier kilo avec le soleil dans les yeux.

Belle réussite donc que cette organisation malouine qui proposait un trail long et un court. On en redemande…

Ph. D.

Trail du CHATEAU de BŒUVRES - Samedi 29 octobre
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OU la CHASSE au CASTOR !

Pas facile à trouver le château de Bœuvres car situé en pleine campagne à quelques kilomètres de MESSAC. Heureusement les organisateurs ont bien fléché la route. Alors pour commencer, un peu d'histoire.

Le château de Bœuvres est la plus ancienne Seigneurerie de Messac. Son nom vient de Beuvron, Biévre qui au Moyen-Age désignait le Castor. Actuellement, le château est transformé en Maison Familiale Rurale où les jeunes étudient pour passer soit un BEP, soit un BAC Pro "Aux Travaux Paysagers" en alternance.

14h30, un peu plus de 440 coureurs s'élancent pour parcourir l'unique boucle de 13 km.

Ça commence bien, dès le départ ça monte dur et ça part vite et ce pour 2 bons km. Puis un faux plat montant (bien sûr) à travers bois qui nous mène jusqu'au 5éme km et au point culminant de la course. Un superbe panorama s'offre alors à nos yeux avec en contre-bas un méandre de la Vilaine. A partir de là, nous abordons une descente rapide et pentue vers la vallée de la Vilaine où au 7éme km nous attend le ravitaillement.

La 2éme partie du parcours est plus roulante, quelques petites montées, du plat et des descentes sont au menu.

Une dernière difficulté à 600 m de la ligne d'arrivée, un petit raidillon de 100 m qui fait beaucoup de mal aux jambes et à l'organisme. Enfin une longue descente nous amène à la dernière ligne droite annonçant l'arrivée.

Ouf ! 1h24mn plus tard, nos 4 mousquetaires de J.C.R sont arrivés, mais l'épreuve n'est pas finie car maintenant il faut courir après le poste de secours car Rémy a voulu en courant terrasser le chemin et malheureusement il a rencontré un caillou qui n'a pas voulu se laisser faire. Au résultat, après diagnostic médical, une petite entorse cheville droite nécessitant un passage en pharmacie pour l'achat d'une orthèse et de quelques antalgiques. Un peu de repos sera nécessaire pour que tout rentre dans l'ordre. On s'en tire bien.

Dans l'ensemble une superbe course empruntant les petits chemins de randonnées en sous bois. Peu de bitume au programme et toujours notre speaker favori, Jean-Luc BOT qui comme à l'accoutumée n'a pas hésité à parler de la "ELLE et LUI 35". A refaire.

G. B.

Foulées MAUREPASIENNES - Samedi 19 novembre
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Une ARMADA à MAUREPAS

5, 10, 15… Il y avait bien longtemps qu’on avait vu autant de coureurs de JCAR s’aligner sur une course sur route. Une véritable marée noire sur ces autres foulées vertes rennaises et maurepasiennes que finalement on aime bien et pour lesquelles on revient chaque année.

Surtout qu’il s’agissait de la 10ème édition. Sûr, comme le soulignait, Dédé Delacroix qu’on ne vient pas ici pour faire une perf mais pour prendre plaisir à traverser le parc des Gayeulles surtout quand il n’est pas trop humide comme c’était le cas ce samedi après-midi-là. Sympa aussi le chemin la route forestière le long du centre Dominique Savio qui rappellera à certains (en tout cas à moi) des souvenirs vieux de plus… d’un demi-siècle !…

Peut-être moins sympa la grimpette entre le 7 et 8ème kilo le long d’un étroit sentier pédestre bordé de marronniers. Mais qu’il est agréable de dévaler la sortie du parc quand on sent déjà l’odeur de l’écurie. Pas pour dire que c’est là que nous attend un « vieux cheval » pour nous encourager dans les derniers mètres.

Merci en tout cas à Jean-Luc ! Bravo donc à tous les adhérents de Je Cours A Rennes et merci pour les encouragements qu’ils viennent des spectateurs et notamment d’Yves Préault, le « maire de Maurepas » ou de Sébastien Sémeril, l’adjoint aux sports qui avait préféré cette fois-ci se trouver dans le public plutôt qu’au milieu des coureurs dans lesquels on reconnaissait Gilles Suignard, le secrétaire général de la Ville de Rennes.

Une course très municipale donc auquel Je Cours A Rennes est fidèle comme elle le sera en juin prochain pour les foulées vertes du Blosne, une semaine avant notre grand rendez-vous d’Elle et Lui sur les bords des étangs d’Apigné.

Ph. D.

Foulées de CHANTEPIE - Dimanche 27 novembre
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FAIRE le TROTTOIR

C’est fou le nombre de fois que vous êtes obligé de faire un effort pour enjamber une bordure de trottoir. Pas forcément pour gratter un mètre ou deux pour vous dégager de la masse de coureurs juste après le départ. Mais à chaque fois que vous vous engagez sur un chemin creux ou un passage vert, il faut donner un coup de rein pour vous mettre d’aplomb.

Et diable qu’il faut encore beaucoup tourner sur ce circuit qui a quand même l’avantage d’emprunter des endroits agréables : le long d’une prairie où vous pouvez apercevoir en pleine ville des… vaches ou sur des petits sentiers abrités même s’ils montent un peu comme au km 7.

Bref, plutôt agréable avec en prime un temps printanier au beau milieu de l’automne.

Une fois de plus, l’association était bien représentée sur une des dernières courses urbaines de l’année qui a connu un beau succès. On a pu apercevoir aux abords de l’arrivée, outre notre speaker Jean-Luc, la famille Delacroix dont Christine, notre entraineur, qui n’a pas ménagé ses encouragements pour nous faire avaler les trente derniers mètres de course.

Ph. D.

Semi nature de PACE - Dimanche 11 décembre
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FROID et BROUILLARD

Première sortie de l’année où il a fallu se couvrir les bras ! C’est vrai qu’à 11 heures, au moment du départ, il ne faisait pas gras au fin fond de la prairie de laquelle 450 coureurs se sont élancés.

Ne me demandez pas quelle route on emprunte ensuite pour effectuer les 21,100 km de la course. Je sais seulement qu’on part de Pacé et qu’on arrive à Pacé. Après, c’est une longue litanie de petits sentiers, de portions de macadam. Des tours et des détours sur un sol dur, humide, boueux et glissant par endroits.

Pas de difficulté particulière sur le parcours relativement plat de bout en bout. On a un peu de mal à se réchauffer car au détour d’un chemin, on se coltine un vent frais qui n’arrive pas à dissiper les nappes de brouillard.

Bref, un temps de « cross » pour un semi agréable au final. Bon travail de l’ami Loïc Rapinel.

Quant à Jean-Luc Bot, il s’est montré aussi à l’aise dans ses commentaires au micro que lors de ses interventions devant les caméras de TVR qui retransmettait en direct le dernier grand rendez-vous de courses à pied d’Ille et Vilaine.

Ph. D.

Corrida de GUIGNEN - Dimanche 18 décembre
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RISQUE de VERGLAS !

Drôle de sensation quand par endroits, vos appuis vous échappent ! La cause : quelques résidus de plaques de verglas faisaient encore de la résistance quand les coureurs se sont élancés à 10 h sous l’arche Sobhi pour ce faux-vrai 10 kms. Résultat : il fallait mieux redoubler de prudence sur les parties de macadam du centre bourg. Sinon, gare à la chute. Surtout dans la descente vers les parties les plus basses de cette corrida.

Au menu : une première boucle de près de 2 kilos et demi et deux autres d’un peu plus de 3 kilos et demi. Avec en prime à chaque fois, la petite grimpette (3 fois de suite) vers l’église du village. Le moins sympa : la mini boucle de lotissements. Le plus sympa, même si ça tourne un peu, les sentiers de la base de loisirs. Pas trop boueux et plutôt plaisant à arpenter.

Un pâle soleil a eu la courtoisie de rendre visite aux coureurs un peu frigorifiés au moment du départ de cette course renaissante. Sans doute le dernier rendez-vous de l’année pour beaucoup de coureurs.

Ph. D.