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10 km de SAINT GREGOIRE - Dimanche 15 janvier
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Pour BIEN DEBUTER l'ANNEE...

La température clémente de la semaine passée avait laissé subitement place à un temps froid et sec. Aussi, sur un 10 bornes, on a tout juste le temps de se réchauffer avant de franchir la ligne d’arrivée. Suffit pour cela de remplacer le marcel par des manches longues…

Pas de surprise : les habitués retrouvaient le parcours traditionnel avec ses nombreux virages dans le centre-ville lors de la première boucle et le déroulé toujours aussi agréable le long du canal. Pas de grosses difficultés si ce n’est les deux petites grimpettes après le tunnel dont celle du 8,5 kilos, au moment où les jambes sont un peu plus lourdes (maudits réveillons !).

Comme les participants sont toujours très nombreux, il faut faire attention à la chute et aux coups de coude. Idem sur le chemin de halage, où il faut mieux prendre ses distances. C’est vrai qu’on perd un peu de temps. Au départ pour s’extirper du peloton toujours bien groupé. Et sur les bords du canal où il faut donner un coup de rein pour dépasser ceux qui vous précèdent.

Mais la course est toujours aussi attrayante avec beaucoup de spectateurs aux abords de l’arrivée sonorisée par notre ami Jean-Luc qui n’a pas perdu ni sa voix ni son humour en ce début d’année 2012. Ca promet pour la suite…

Quant à l’organisation, Jean-Pierre Pen et ses bénévoles sont toujours au top. Les coureurs de JCAR n’ont pas boudé cette première, tant chez les femmes que chez les hommes. Tant mieux !


TOUT BETTON COURT - Dimanche 29 janvier
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Les PIEGES de BETTON

Il existe plusieurs pièges dans lesquels il faut surtout éviter de tomber. Le premier, c’est de s’enflammer dans le premier kilomètre de course qui descend en pente douce vers le canal. Passer sous la barre des 4 au kilo, c’est pour beaucoup de coureurs « moyens » se mettre tout de suite en danger. Et il ne faut pas attendre bien longtemps pour s’en apercevoir.

L’autre piège, c’est de se retrouver coincé derrière un groupe sur le chemin de halage et devoir entreprendre des dépassements périlleux pour s’extirper. C’est pourquoi, cette course n’est pas simple : elle demande pas mal de dosage. Courir assez vite dans le premier kilo sans se mettre dans le rouge pour se retrouver plus à l’aise sur les bords du canal.

Bref, une course toute en subtilité. Il faut aussi savoir (mais les habitués ne se font pas prendre à ce dernier piège) que les derniers 500 mètres de course obligent à tirer pour les bras pour s’affranchir de la montée de la médiathèque et du dernier raidillon sur macadam.

Ce dimanche matin, il faisait un peu frais mais heureusement le long du canal, le soleil a réussi à réchauffer les jambes des plus frigorifiés.

Ph. D.


10 km de la SAINT VALENTIN - Dimanche 12 février
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Une SAINT VALENTIN FRILEUSE, mais ce n'était que la course

Il faut être courageux ce dimanche matin pour enfiler sa tenue de course quand le thermomètre affiche -6° à Rennes à 8h30 et rallier CHASNE S/ILLET où se déroule la 3éme édition de la course de la St Valentin.

Pourtant environ 200 coureurs dont une quarantaine de couples ont relevés le défi et c'est à 10h30 au pied du podium où trône l'infatigable Jean-Luc BOT que le départ est donné.

2 boucles pour un parcours de 10,5 km sans grande difficulté. 60% de chemins et 40% de bitume. Pour une fois, je pense que la majorité des coureurs aurait préféré que ce soit l'inverse.

Si le parcours est agréable en empruntant ces chemins, aujourd'hui pas question de faire une performance. Une température basse et un sol extrêmement gelé malgré le soleil qui montre le bout de son nez le rend très difficile. Les chevilles souffrent, elles partent dans tous les sens sur ce sol déformé et gelé et il faut toujours avoir les yeux rivés aux sol pour éviter la blessure. On attend avec impatience et soulagement de retrouver une partie de bitume pour se relâcher.

Tout le monde a été sage et pas de bobos à l'arrivée.

Comme d'habitude, JE COURS A RENNES qui alignait 4 courageux représentants a été plusieurs fois citée avec sa course ELLE et LUI 35 et cerise sur le gâteau, notre Président a pu faire au micro une petite présentation de notre épreuve lors de la remise des prix.

ELLE et LUI 35 oblige, surtout le jour de la course de la St Valentin.


12,9 km de la CUG'ANIM à CUGUEN - Dimanche 19 février
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La Course aux RAIDILLONS

Pour reprendre l’expression culinaire d’un coureur familier des épreuves pédestres (il se reconnaîtra), on en a au hors d’œuvre, en plat de résistance et au dessert. Quoi ? Mais du raidillon, pardi !

Ça commence avant le premier kilo et ca revient à plusieurs reprises en fin de boucle. Et la boucle, il faut se la coltiner 3 fois ! A l’évidence, ce sont les derniers coupe-pattes qui sont les plus difficiles à digérer. D’autant qu’un méchant vent de face vous oblige à courber l’échine et à tirer sur les bras pour garder le rythme. Pas du gâteau que cette première édition de Cuguen ! Ce qui n’a pas empêché d’attirer pas mal de monde sur le macadam de ce petit pays.

D’ailleurs, les coureurs de « Je Cours A Rennes » avaient répondu présent. En plus, ils étaient déjà en jambes lors de la course Elle et Lui (n’est-ce-pas, Alain et Patrice ?). Bravo à eux d’avoir ensuite embrayé dans la foulée sur les 12,9. Et encore bravo à Olivier, le lévrier et à Rachel, la gazelle qui ont porté haut les couleurs de l’association dans la fraîcheur matinale de cette épreuve dominical.

Une belle course, en fait : on a pu savourer le calme au milieu des prairies et des bosquets au seul rythme du martellement des semelles sur le macadam. L’agréable plongée vers le plan d’eau avec au loin les pales des éoliennes de Treméheuc…

Bref, joli dépaysement que cette course animée de main de maître par Dédé Delacroix dont la voix s’entendait dans toute la campagne romantique de ce pays de Combourg.

Ph. D.


15 km de THORIGNE FOUILLARD - Dimanche 26 février
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LA FORET C'EST PAS QUE DU PLAT !

Pas question d’en faire tout un plat… mais courir en forêt cache au coin du bois de petites surprises qui font parfois mal aux jambes. En fait, les difficultés commencent assez vite. Dès les premiers cents mètres, il faut affronter une petite montée dans le tour de chauffe qui vous conduit à faire le tour du bourg. Ensuite, c’est au 3ème kilo qu’il faut mouliner des jambes pour digérer un faux-plat long comme un jour sans pain. Ensuite, on a droit à un peu de répit avant de mettre le cap sur Mi-Forêt. Juste avant, mine de rien, le chemin bitumé monte un tantinet avant le virage qui débouche sur une nouvelle longue ligne droite.

Heureusement agrémentée d’une petite descente autour du 8ème kilo. Mais les choses sérieuses se situent entre le 9 et 10ème kilo : avec un premier raidillon suivi d’un second beaucoup plus violent. Dernières difficultés avant de retrouver l’interminable chemin de terre qui conduit vers le bourg et les deux derniers kilos de descente vers la ligne d’arrivée.

Eléonore et Françoise avaient choisi les hors d’œuvre de ce 15 km sur lesquels se retrouvaient Alain, Didier, Rémi et Ph. D. Après avoir bénéficié d’une petite fraîcheur pas désagréable, les coureurs ont eu droit à l’apparition du soleil en seconde moitié de course.

Des conditions ma foi idéales pour cette épreuve commentée par l’ami Jean-Luc et récompensée par un tee-shirt aussi réussi que celui de la 10 K de St Malo et qui rend encore plus ringard celui qui attend les participants du semi Cancale-St-Malo.

Ph. D.


Semi de SAINT GILLES - Dimanche 4 mars
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Un CALVAIRE au DESSERT

On aime bien cette épreuve parce que c’est le premier semi de l’année en Ille et Vilaine. Qu’il rassemble beaucoup de coureurs (plus d’un millier). Et qu’on a envie de se jauger après les 10 km du début de l’année et le tout récent 15 bornes de Thorigné. Même si on sait que Saint-Gilles n’est pas un des semis les plus faciles. En tout cas plus exigeant que celui de Liffré du printemps prochain.

Heureusement, les conditions météo étaient parfaites : un soleil voilé qui se laissait par moment découvrir au bon vouloir des nuages eux mêmes poussés par un vent par moment désagréable. Seul petit bémol de cet après-midi où le public vient toujours nombreux.

Les 4 coureurs de JCAR (Rachel, 1ère Espoir et qui a faussé compagnie en fin de course à Dédé Delacroix, Eric qui étrennait son nouveau maillot, Patrice et Ph. D.) avaient aussi leurs supporters avec Cathy, le photographe Guy et la coach Christine qui n’ont pas ménagé leurs encouragements. Merci à eux.

Le menu : une petite virée en centre-bourg d’un peu moins de 2 kilos suivie de deux boucles d’un peu moins de 10 bornes à travers la campagne saint-gilloise : bitume sur les routes départementales, terre battue le long du plan d’eau et sur des sentiers dont certaines portions pentues et « racineuses ». Avec à la clé les difficultés au 10ème et 20ème km : la montée vers le bourg et les deux derniers faux plats qui font vraiment mal aux jambes dans les tout derniers 500 mètres. Il faut vraiment s’arracher pour en finir.

On a beau être encouragé de la voix par Jean-Luc Bot, (qui a bien du mérite dans sa petite camionnette excentrée à commenter la course !), il faut tirer sur les bras pour en finir. Et Dieu que la soupe chaude à l’arrivée fait du bien quand on en a un peu « soupé » d’avoir avalé tant de km !

Ph. D.


Foulées de ROZ-LANDRIEUX - Dimanche 18 mars
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LA B... RESPECTUEUSE

Putain de bosse ! Et il faut se la faire à deux reprises ! La première fois lors de la deuxième boucle (avant le 5ème kilo) et la seconde fois dans le dernier tour, en début de 8ème kilo. Ce roquet coupe-pattes, vif et nerveux, est en fait la principale difficulté (à l’exception du faux-plat du premier tour) de ce circuit champêtre, en plein coeur des marais de Dol.

Bonne nouvelle : pour une fois, le vent n’était pas de la partie. Au moment du départ (10h), le brouillard s’était même levé et le temps un peu radouci.

Bref, de très bonnes conditions de course pour un peloton fort de plus de 300 coureurs qui ont échappé aux gouttes de pluie annoncées par la météo.

Leur effort a été accompagné par les commentaires de l’infatigable Dédé Delacroix (qui a eu raison au final d’une sono récalcitrante). Le coach Christine était également là et pas avare de ses encouragements. Beaucoup de coureurs avaient tenu à être présent à ces 10 km de Roz-Landrieux dont on dit qu’ils pourraient être les derniers. A suivre…

Ph. D.


10 km ASPTT RENNES - Dimanche 25 mars
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Les PREMIERES CHALEURS

Au bout de 5 km, alors que la sueur commence à vous dégouliner sur le visage et le corps, c’est là qu’on se dit qu’on aurait du préférer le marcel au tee-shirt. Trop tard bien évidemment pour changer de costume !

Il a fait en effet un peu chaud dimanche matin quand il a fallu se lancer sur ce 10 kilo rennais. Pour un peu, on aurait aimé courir à l’heure où les filles ont débuté leurs 5 km. Mais pas question de bouder le plaisir de revoir le soleil sur les courses. Il faudra s’y habituer comme à chaque arrivée de printemps.

Changement d’habitude en tout cas avant le départ puisqu’une minute de silence a été observée en mémoire des deux drames qui ont secoué la France et plus particulièrement Montauban et Toulouse.

Le parcours ? Pas de surprise : le même que l’an dernier. Une boucle de 4,5 et une seconde de 5,5. On dévale le premier kilo (tout en pestant contre certains participant(e)s qui n’ont vraiment rien à faire en se positionnant aussi haut sur la ligne de départ) avant d’attaquer le petit faux-plat du rond point des Gayeulles. Les choses se corsent vers le milieu du 3ème kilo avec une montée qui fait un peu mal aux jambes et qu’on retrouvera lors du second passage. A part cela, rien de bien méchant avec toujours l’agréable sensation de fouler la terre battue de l’anneau du stade Robert-Launay.

Le peloton des Je Cours A Rennes était bien étoffé ce dimanche matin malgré le changement d’heure. On en félicitera d’autant plus les filles qui sont partis une heure avant les gars.

Ph. D.


Foulées de CHAVAGNE - Dimanche 1 avril
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Ça SOUFFLE dans les RAMEAUX

En ce dimanche des rameaux, un vent de face a un peu handicapé les coureurs sur la longue ligne droite qui mène vers l’entrée de Chavagne, dans le 4ème et le 9ème kilo. C’était finalement la seule difficulté de ce parcours (une petite boucle dans le centre-bourg et deux autres plus longues en campagne) très roulant qui mélange macadam et terre battue le long des étangs.

Les coureurs ont moins souffert de la chaleur qui s’était abattue sur les 10 km de l’ASPTT le dimanche précédent. C’était vraiment un temps idéal pour courir et battre ses propres records.

L’association était bien représentée tant chez les hommes que les femmes. Sur le bord du circuit, Guy n’a pas ménagé ses encouragements notamment quand il a fallu se coltiner la dernière petite grimpette avant de franchir la ligne d’arrivée toujours bien animée par notre ami Jean-Luc.

Ph. D.


Corrida de SAINT JOUAN des GUERETS - Dimanche 8 avril
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La RANCE FORTE !

Faut être costaud dans la tête pour ce 10 bornes qui vous oblige à effectuer une petite boucle d’un kilo dans le centre bourg et trois autres de 3 kilos chacune. (Faut plutôt savoir compter pour ne pas en faire une de plus !).

Autrement dit, ça revient vite… à vous donner le tournis. Comme le petit faux-plat à se coltiner 3 fois à la sortie du bourg. Vous avez à peine le temps de jeter un œil sur les eaux calmes de la Rance qui, il est vrai, ce dimanche matin-là était un peu dans la brume qu’il faut embrayer sur la suite du parcours.

Heureusement, les coureurs qui s’étaient élancé dès 9h30 ont bénéficié d’une température idéale. Bien sûr, un peu frisquette au moment du départ mais très convenable durant le restant d’une course où le petit jeu consiste à ne pas se faire rattraper par les premiers avant d’en avoir fini avec votre avant-dernière grande boucle. Tant pis pour le seul représentant de JCAR qui a pu voir terminer au grand galop le trio de tête. Impressionnantes les foulées !

La particularité de cette course, c’est qu’elle tourne beaucoup mais qui, hormis la petite grimpette ne présente pas de très grosses difficultés. L’ami Jean-Luc était au commandement : il a eu du boulot car il a vu de son perchoir passer 5 fois les coureurs sous son nez. Mais ce n’était quand même pas lui le plus fatigué à la fin de la matinée…

Ph. D.


Semi de LIFFRE - Dimanche 15 avril
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On COMMENCE par la FIN !

C’est sans doute le seul petit regret de ce semi couru par une température idéale. Bien sûr un peu frisquette (9°) au moment du départ mais fort agréable quand le corps commence à gagner en chaleur.

Pourquoi ce titre ? Parce que c’est sur le tartan de la belle piste d’athlétisme qu’on démarre ce semi. Alors qu’auparavant, c’est sur cette même agréable surface qu’on le terminait… Alors, nouveau parcours plus roulant ? Sans doute si on fait abstraction de la « montagne » du 15ème kilo. Ah ! On peut faire la malin devant Marie-Hélène Ohier à dévaler à toutes jambes le macadam en pente douce autour du 14ème kilo, mais au détour du chemin, c’est un faux (très faux en vérité) plat qui vous attend ! Et là, il faut tirer sur les bras pour s’en… tirer.

Certains pourtant le savent, car on retrouve là une partie du tracé du 15 km de Thorigné… En effet, après une insipide première boucle de 3 km dans un lotissement sans beaucoup de charme, les coureurs en ont effectué une deuxième de 7 avant le dernier grand tour qui vous conduit vers Mi-Forêt. C’était la nouveauté du jour. Un parcours plus vert donc et dans l’ensemble pas désagréable malgré les 4 bons derniers kilos passés à lutter contre un vent de face (Ah ! les précieuses secondes de perdues !) Pas évident quand votre dose d’énergie est au niveau de la jauge.

Sur le parcours, il y avait deux TGV (Eric et Hubert) et un TER (Ph.) mais satisfaits au final de leur temps respectif… Sur la ligne d’arrivée, la coach Christine a adressé ses félicitations au trio pendant que Dédé s’époumonait au micro.

Dernier détail : contrairement à l’an dernier, les organisateurs ont fait un effort cette fois-ci pour offrir un tee-shirt technique (de couleur noire) à la hauteur de leur compétition. Le plus laid dans la catégorie des semis restant loin devant celui de Cancale-St Malo… On verra si ça change cette année…

Ph. D.

PS. Une idée : pourquoi ne pas faire un palmarès des plus beaux tee-shirts ? Pour 2012, et pour l’instant, la palme revient à celui des 15 km de Thorigné-Fouillard.


Foulées EVRANNAISES - Vendredi 20 avril
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En COTES d'ARMOR, pas de COTE !

C’est en effet un parcours tout ce qui a de plus plat. Même si lors de la troisième boucle, on sent bien sûr dans les jambes un léger dénivelé par ci par là. Mais d’une manière générale, il y a du Saint Benoît des Ondes dans cette épreuve de 10,650 km très exactement.

Trois boucles donc qui vous conduisent à parcourir la campagne entre Dinan et Bécherel sur quasiment uniquement du macadam, hormis une petite partie gravillonnée et en pente douce.

Les coureurs ont eu la chance de passer à travers les gouttes car au coup de sifflet de Jean-Luc Bot (son compère Dédé Delacroix était dans la course malgré une contracture à la cuisse) un épais nuage noir recouvrait la ligne de départ. Et la violente averse a arrosé ceux qui avaient la malchance de ne pas en avoir terminé avant l’heure de course.

Mais c’était ma foi fort agréable de se dégourdir les jambes à la fraîche ce vendredi soir-là. Comme en ont fait l’expérience deux coureurs de Je Cours A Rennes.

Ph. D.


Foulées BENEDICTINES - Dimanche 29 avril
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A SAINT-BENOIT des ONDEES !

Et encore, on est passé près du pire. Le ciel a sorti ses vannes une fois que la majorité des coureurs eût franchi la ligne d’arrivée.

La course ? Il faut faire preuve de bravitude sur platitude. On connaît en effet tous son profil : la plus plate du département. A chacun de faire ses relances au cœur de polders aussi plats que la Hollande pour activer la manœuvre. Sinon, on ronronne, les minutes passent et vous vous trouvez grosjean comme devant pour faire exploser votre chrono. Et en plus, c’est vous qui explosez !

Ce dimanche-là, les records n’étaient pas de la partie. Il faut dire que le vent a joué un sale tour. Les rafales sournoises que vous vous payez de face à la fin des deux grandes boucles. Et surtout lors de la dernière quand vos jambes commencent à s’enfoncer dans le macadam. Avec en plus l’obligation de redoubler d’attention dans le chemin de terre devant l’église rendu glissant à force de passages.

Quatre coureurs de JCAR avaient fait le déplacement sur les bords de la baie du Mont Saint-Michel : Lucille, Olivier, Alain et Ph. Chacun (plus ou moins) satisfait de son temps devant les yeux et les encouragements du duo Delacroix.

Ph. D.


Trail La PASSAGERE - Dimanche 6 mai
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La PASSAGERE de la PLUIE

Un crachin tenace a accompagné le millier de coureurs entre Dinard et Saint-Malo via La Richardais. Autrement dit, pas question de profiter du paysage… bouché de bout en bout sur les 14 km des bords de Rance.

On connaît le principe de ce trail : pas question de trainer durant les presque 5 premiers km pour ne pas se retrouver piégé à attendre au pied des marches du parc de la Briantais. Heureusement que les premiers kilos sont très roulants. En fait, on descend des hauteurs de Dinard pour se retrouver au niveau de l’eau. Le passage du barrage constituant une longue ligne rectiligne qui ne présente pas de problème particulier.

Mais on sait tous que c’est après que les difficultés commencent. Après avoir repris son souffle en grimpant au pas les marches de l’étroit sentier, il faut se coltiner la Briantais. Ce sont les premiers contreforts de cette course qui connaît ensuite deux grimpettes sévères : la montée du cimetière du Rosais et l’escalade de la rue des Fours-à-Chaux, un boyau qui fait vraiment mal aux jambes.

Heureusement, la suite est plus plaisante : le passage dans le parc des Corbières avec son sentier étroit et piégeux en raison des racines apparentes, la descente vers Solidor même s’il faut encore souffrir en ahanant sur les marches qui conduisent à la Cité d’Aleth. Après avoir avalé deux petites bosses, c’est roue libre jusque dans l’enceinte de la Timac après un déroulé sur la digue des Bas-Sablons.

Seule contrariété : un vent de face qu’il faut combattre dans les dernières minutes d’effort avant d’entendre résonner la voix de Jean-Luc Bot, aux commandes du podium d’arrivée. A ce petit jeu, Didier, néophyte sur la course, s’en est bien tiré. Son expérience sur la Lande et Bruyère de la semaine précédente lui a certainement été profitable.

Belle course donc même si l’attente dans le parking de la Timac sur la zone industrielle de Dinard est plus que spartiate. Une malheureuse petite tente était proposée aux coureurs entassés comme des sardines pour patienter et s’abriter de la pluie. On pouvait espérer un peu mieux des organisateurs…

Ph. D.


La 10 km de SAINT MALO - Vendredi 11 mai
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SAINTE-CROIX, QUEL CALVAIRE !

Ces 10 km sont un peu les prémices du marathon du Mont Saint-Michel. Une mise en jambes dont c’était cette année la deuxième édition. Une belle course de ville (une corrida, en fait) qui se déroule un vendredi soir à la fraiche.

Et avec du vent. On s’en rend vite compte quand on quitte l’abri du Palais du Grand Large pour se retrouver sur le Sillon, le zef dans le nez. Heureusement, après le passage des écluses, les coureurs se retrouvent relativement à couvert le long de la digue des Bas Sablons et en entrant dans le vieux Saint-Servan, vers la cité d’Aleth. C’est d’ailleurs là que les difficultés commencent avec un faux plat en trois temps rue de la Cité.

On n’est pas au bout de ses peines quand il faut ensuite dans l’anse de Solidor remonter l’étroit boyau de la rue de l’Etoupe avant de se farcir la « Jeanne Jugan », la rue qui longe l’église Ste-Croix. Heureusement, on se dit qu’on va se refaire la cerise en dévalant la pente des rues Ville-Pépin et Clemenceau avant de se relancer dans une dernière boucle.

C’est une course nerveuse qui a la particularité d’attirer pas mal de spectateurs. Et c’est vrai qu’ils ne ménagent pas leurs encouragements comme l’ami Jean-Luc Bot sur son podium de la place Bouvet.

Vraiment, une belle épreuve dont on ne se lasse pas. En tout cas, ça change des courses sur routes de campagne où on se sent parfois seul au milieu des champs de maïs et de colza…

Ph. D.


La 10 km de DOMLOUP - Jeudi 17 mai
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Par RIMON et par VAUX

Retrouvailles (en tout cas pour moi) sur les 10 de Domloup ! Et surprise ! Depuis l’an dernier, le parcours a changé ! Il faut maintenant mettre le cap sur la zone industrielle avant et après s’être retrouvé les longs des bords du Rimon toujours aussi sinueux et piégeux.

Le ciel était bien noir au moment du départ de la course. Heureusement, les coureurs n’ont pas eu à souffrir de conditions trop difficiles. Seul un vent de face au retour du lieu-dit des Noës a obligé à tirer sur les bras. Le parcours est fait de montées, de faux plats, mais aussi, heureusement, de descentes qui vous permettent de  vous refaire la cerise. Beaucoup de macadam, mais aussi de chemins de terre dans ce parcours vert toujours aussi agréable.

L’ami Jean-Luc officiait ce jeudi de l’Ascension avec le talent et la verve qu’on lui connaît. Sur ce parcours, il ne faut surtout pas se positionner trop loin de la ligne de départ. Car, ensuite, sur un étroit boyau de chemin de terre, il est souvent difficile de doubler sans laisser un peu de gomme. Mais, on en apprend tous les jours…

Merci en tout cas aux encouragements du président présent le long du parcours.

Ph. D.


Foulées BRETEILLAISES - Dimanche 20 mai
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Le CHALLENGE des 3 BOUCLES

En fonction de son niveau, on se fixe les challenges que l’on peut. Sur un parcours comme celui de Breteil composé de 3 boucles, comme celui de Saint-Jouan ou de Tremblay, par exemple, le coureur moyen n’a souvent qu’une seule ambition en tête : éviter de se faire doubler avant la fin de son 2ème tour par les coureurs-TGV qui eux en terminent. Parfois, on réussit, parfois, on échoue…

Ce dimanche matin, ce devait être jour de chance… Pour en revenir à cette 9ème édition de ces 10 km (une première pour moi – et oui, ça arrive !--), on peut dire qu’elle n’est pas de tout repos. Deux difficultés : on tourne et vire pas mal dans les lotissements et on doit se coltiner 3 grimpettes à la sortie d’un chemin de terre montant. A part ça, rien de compliqué même s’il fallait faire attention à certaines portions de chemin un peu “gadouilleux”.

Très belle organisation en tout cas avec la voix de Jean-Luc que l’on entend une bonne partie du parcours et qu’on découvre sur le podium final au détour d’un dernier petit raidillon. Malgré la pluie qui est tombée au lever du jour, au moment du départ (9h30), les coureurs n’ont pas eu à se protéger de la bruine sur un circuit qui fait la parité entre route et chemin.

Un bon petit temps en fait même s’il fallait penser à se couvrir lors du ravitaillement copieux. Le tee-shirt manches longues de Breteil n’était pas de trop. Dans le peloton, on a revu Roger (un retour après 7 mois d’arrêt) et Samuel toujours vaillant.

Au bout du couloir d’arrivée, Dédé n’a pas manqué de faire de la propagande (c’est vrai qu’il y avait aussi pas mal de politiques en ces temps de Législatives) pour la Elle et Lui 35 qui approche à grands pas.

Ph. D.


DEFoulées de MINIAC MORVAN - Samedi 26 mai
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DROLE de PREMIERE

Je vais vous raconter une histoire qu'il ne faudra pas bien évidemment colporter. Et pour cela, je vous fais confiance... La veille d'une course, il faut se montrer sage et éviter de banqueter. Style, 5 ou 6 verres de planteur suivies d'un plateau pantagruélique de fruits de mer. Bien arrosé en plus... Mais, difficile parfois de résister à la tentation...

Bref, revenons à la course de 10,200 km disputée par une fin d'après-midi de samedi orageuse. Heureusement, malgré un ciel chargé et qui se noircissait à vue d'oeil, que la pluie ne se soit pas invitée à cette course assez rugueuse.

Peu de macadam, c'est vrai mais beaucoup de chemins de terre. Souvent défoncés et traîtres parce que recouverts d'herbe pas très rase et qui vous empêchait de savoir où vous mettiez les pieds. Autrement dit, une course à disputer avec prudence pour éviter de se tordre les chevilles à chaque foulée.

Première victime de l'épreuve, Sylvain qui a souffert d'une contracture et a du abandonner. Arnaud lui a terminé l'épreuve comme Ph. qui s'est retrouvé par le plus grand des hasards sur... le podium en tant que premier V3. Une grande première qui sera surtout marquée par un grand ratage. En effet, au moment d'enfiler ses chaussettes, le coureur s'est aperçu qu'il avait oublié ses... chaussures !

Que faire ? Plus le temps de faire machine arrière pour les récupérer. Il a fallu confesser tête basse cette erreur à Christine et c'est grâce à l'annonce-micro de Dédé qu'il a pu récupérer une paire de chaussures (un peu trop courtes) d'un autre coureur. Bilan : un trophée mais deux ongles de doigts de pied qui vont bientôt tomber... Mais, ça valait bien un podium ! Surtout le premier au bout de 20 ans de courses...

Ph. D.

Moralité : ayez toujours dans la voiture un certificat médical et une... paire de chaussures.


Les Foulées DINARDAISES - Lundi 28 mai
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PAS des VACANCES !

Moins de deux jours après Miniac, cap sur Dinard. Après la campagne, le bord de mer. Et ne croyez pas que la côte d'Emeraude soit plate comme un oeuf. Non ! Dès les premiers cents mètres de cette course de 11km, il faut se coltiner la première difficulté. Une longue montée le long des cinémas. Il faut ensuite franchir un bout de la plage de Port-Blanc (heureusement pas trop long) sur du sable mou avant de s'enfiler des chemins de terre.

Cette course de ville est constituée d'une seule grande boucle qui vous fait revenir au point de départ. On retiendra la chaleur qui commençait à se faire sentir, ce coup de cul qu'il faut donner juste après le 8ème kilo (vous avez un mur en face de vous !) et surtout la très longue montée après le km 10 qui vous fait sortir du chemin douanier.

C'est interminable et on commence à en avoir bien les bottes, surtout quand on est formaté sur un 10 bornes... Heureusement, la fin de course est très roulante avec une dégringolade devant le Palais des Arts et le casino avant de retrouver sur l'esplanade de la plage de l'Ecluse.

Les coureurs ont souffert de la chaleur malgré un départ assez tôt (9h30) et par manque de ravitaillement. Il y a une trop longue distance entre l'avant dernier et le dernier poste de ravitaillement. C'est à revoir pour l'an prochain. Manque aussi une zone de vestiaires. Deux petits défauts qu'il faudrait quand même corriger pour l'an prochain. Car cette course est plaisante mais reste quand même relativement ardue.

Marcel et Patrice (deux autres régionaux) qui participaient à cette 3ème édition de ces foulées dinardaises doivent également partager cette impression.

Ph. D.

Photos souvenirs Semi CANCALE-SAINT MALO - Dimanche 3 juin
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9, 13, 17 Le TIERCE de la DOULEUR

La canicule de l'an dernier avait laissé place à un temps couvert, un tantinet orageux mais au final très supportable. Pour ceux qui aiment, bien sûr. Seul inconvénient (mais on ne peut pas tout avoir) : le vent. Surtout gênant à la tourne à gauche devant la pointe du Grouin et sur le front de mer lors du final interminable sur la digue de Rochebonne.

Les habitués de ce semi en connaissent toutes les embûches. Au nombre de trois. Au K9, le premier juge de paix : la Duguesclin. Là où pour la première fois, il faut tirer sur les bras. Et attention au faux plat qui suit juste après avoir viré à gauche vers Saint-Coulomb. Deuxième "raidard" comme disent les cyclistes : la côte du Lupin. C'est au K13. Placée à un moment où les muscles commencent à souffrir. Heureusement qu'elle est suivie, après un ravitaillement, par une belle descente et une belle vue sur la mer. Jamais deux, sans trois : il est assez court mais sévère quand même le roquet de Minihic, situé à 4 km de l'arrivée. Dernier coup de rein avant de dévaler vers l'intra-muros après le long défilé de la digue.

Une délégation de JCAR avait fait le déplacement pour se défouler les jambes et profiter d'une après-midi de détente. Le temps aussi pour Guy de faire son... marathon photographique.

Ph. D.


Foulées du BLOSNE - Vendredi 8 juin
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DE PLUS EN PLUS VERTES

Ceux qui ont participé aux deux premières éditions s'en sont peut-être rendus compte. Mais les foulées vertes du quartier sud de Rennes deviennent de plus en plus... vertes. Sauf erreur ou oubli d'une année sur l'autre, il me semble bien qu'on foule davantage de pelouse quand on longe la rocade sud. Pas désagréable, ma foi car on peut aussi profiter d'un étroit boyau de terre pour doper sa foulée. En tout cas, ça change du macadam relativement bien présent sur cette course nocturne de début de week-end.

Le temps était idéal même si dans le chemin de terre bordé de chênes, il fallait tirer un peu plus fort sur les bras et les jambes pour contrer un petit vent contraire.

On a vu Dédé (aux cheveux courts) revenu de blessure s'aligner sur son traditionnel 5 kilos alors qu'Eric (qui décidément truste toutes les courses depuis un moment), Patrice, Léon se retrouvaient sur le 10. Courses commentées par l'ami Jean-Luc entourés d'élus rennais.

Ce soir-là, au Blosne, le rose se mariait au vert...

Ph. D.


10 km de CORA PACE - Dimanche 17 juin
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D'un PARKING à l'AUTRE

Pacé, on aime ou on n'aime pas. On aime parce que le parcours ne présente aucune difficulté. On n'aime pas car il est réservé aux pistards qui raffolent de ses longues lignes droites, une fois sorti de la zone des caddies. Et c'est souvent dans ces courses "linéaires" qu'on s'aperçoit qu'on aimerait bien avoir quelques petites relances pour doper sa mécanique.

Bref, ce matin-là, on hésitait sur la tenue à enfiler : le "marcel" en raison des belles éclaircies probables, le tee-shirt pour se protéger d'ondées menaçantes. Finalement, on a eu droit à davantage de soleil surtout dans la dernière partie de course à l'évidence la plus éprouvante. 

Pas facile le 7ème kilo (au moment où se fait entendre la voix de Jean-Luc, le speaker qui s'époumone déjà sur les premières arrivées) avec sa légère montée et surtout avec le vent dans le nez. Un vent qui était assez facilement "déjouable" jusque là. A ce petit jeu, Eric (la gazelle, version masculine, qui bat son "record du monde personnel" sur le 10 bornes) s'en est très bien tiré alors que Marcel semblait un peu éprouvé à l'arrivée.

Ph. D.


Foulées DOLOISES - Dimanche 24 juin
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Le CRACHIN comme ACCOMPAGNATEUR

Finalement, l'été, la Bretagne, c'est bien. Il pleut... C'est parfait pour les coureurs qui craignent la chaleur. Ils n'ont donc pas à chercher d'excuse en cas de contre performance. C'est pas comme l'équipe de France de foot...

Ainsi donc, pour être complètement synchrone avec l'été breton, les Foulées doloises de ce dimanche matin ont été accompagnées d'un gentil petit crachin qui a bien rafraîchi les coureurs. Pour un peu, pas besoin de s'arrêter aux ravitaillements dans cette course à la distance bâtarde : 10 kilos 800.

C'était la deuxième édition. Un petit changement par rapport à l'an dernier : le départ avait lieu près de l'Odyssée et non à Carfantin (un hameau de Dol). Départ nature en direction du centre ville avec les pavés (luisants et dangereux), la terre-battue des douves (agréable) et retour au point de départ pour faciliter les commentaires de l'ami Dédé. Ensuite, cap sur la campagne après ces 3 premiers kilos.

On retrouve les mêmes difficultés : quelques petites bosses en sous-bois, l'interminable chemin d'herbes (attention aux glissades) qui borde la voie ferrée, un peu de macadam et rebelote chemins de campagne. Tout cela pour traverser Carfantin et revenir au point de départ avec 200 derniers mètres le vent dans le nez. Et toujours la bruine en guise de vaporisateur.

Belle édition donc qui oblige à tirer sur les bras et les mollets. Bel entraînement aussi avant l'enfer de dimanche prochain : la Ville-es-Nonais à laquelle prendra part le speaker de Dol. On en reparle la semaine prochaine. Et on compte sur les encouragements de Christine...

Ph. D.


Foulées NONAISIENNES à la VILLE es NONAIS - Dimanche 1 juillet
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OH ! BONNE MERE !

Sympa le président des foulées nonaisiennes ! Avant le départ de la course, il y va de son petit discours écouté d'une oreille distraite par les coureurs malgré ses rappels au silence dignes d'un caporal de chambrée...

Bref, tout ça pour nous révéler qu'il y a du vent qui... "souffle dans un  certain sens". Merci pour l'info...

La course ? C'est très exactement, d'après le speaker officiel Jean-Luc, 11,620 kms. Et pas du gâteau ! Malgré celui transporté par des coureurs locaux pour fêter les 10 ans de l'épreuve. 

Au départ de la moyenne boucle, tout va bien. Un petit tour du bourg, une descente vers les bords de Rance (joli panorama) et la première ascension du chemin de la Vierge. En terminant la boucle, on en finit avec le 4ème kilo. Ensuite, direction la campagne. Du macadam roulant. Et puis au 8ème kilomètre, c'est la grosse difficulté : le Mont Garrot. Un km de montée vent de bout. Un petit Everest où il faut tirer sur les bras, sur les mollets, sur tout ce qu'on peut tirer, en fait...

On est bien content d'arriver au 10ème kilo et de descendre (même s'il faut y mettre le frein) pour retrouver le terminal de la première boucle. Et arrive la deuxième ascension du chemin de la Vierge. Un roquet nerveux surtout dans le final avant d'en terminer sur la dernière ligne droite et la ligne d'arrivée face au cimetière. Faut dire qu'on est un peu mort quand on termine La Ville-es-Nonais.

Il parait que l'an prochain, le parcours va changer mais que le Mont-Garrot et la Vierge seront toujours au menu...

A noter un bon signalement du kilométrage et surtout pas mal de ravitaillements. Ce qui n'était pas superflu car par moment, le soleil (ça arrive dans ce début d'été pourri) arrivait à se montrer à travers les nuages. A noter aussi, le parking voitures sur le terrain de foot à...10 mètres de la ligne de départ.

Bravo aux organisateurs et bénévoles pour l'organisation de ces foulées. Qui années après années restent très exigeantes.

Ph. D.


Foulées SAINT SYMPHORIEN - Samedi 28 juillet
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La PEUR aux TROUSSES

C'est toujours comme ça avec ces épreuves où il faut faire trois tours de circuit. Nous, les besogneux de la course à pied, les sans-grades de la compétition, les privés de podiums, on se demande toujours si les gloutons du bitume ne vont pas nous avaler avant d'en avoir terminé notre deuxième tour.

On court avec la crainte aux fesses... Mais ouf ! C'est passé pour cette nouvelle édition.

Le circuit : 3 tours d'un peu plus de 3,5 kms pour un total de 10,6.  Le parcours : le même que les autres années : un départ dans le bourg avec une première partie sur macadam avec une léger faux-plat, un chemin de ferme plat, une montée rugueuse dans un chemin de terre à moitié cabossé (attention aux chevilles !), le retour au macadam avec une légère montée avant de dégringoler vers la ligne d'arrivée. Pas si plat que ça donc.

Heureusement, il a fait moins chaud qu'en 2011. Mais on est content quand c'est fini et surtout d'avoir participé à une épreuve qui ne réunit pas grand monde mais qui donne un peu de vie à Saint-Symphorien.

Ph. D.


DEFI du JERZUAL - Samedi 22 septembre
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Entre EVEREST et ALPE D'HUEZ

Tout le monde l'a déjà fait ou rêve de le mettre à son palmarès de courses. Comme c'était le cas de Didier qui s'élançait pour la première fois sur le macadam dinanais. Présente aussi dans les 1200 participants, une "vieille" routière et jeune adhérente de l'association, Anne-Marie.

Le descriptif de cette course est simple : une descente à pic (mais que venait faire cette voiture en pleine descente des coureurs ?) vers la Rance, un plat dans le chemin de halage et la montée du Jerzual : 510 mètres avec un dénivelé de 10 à 18 %. Et le tout à faire deux fois pour atteindre un peu plus de 10,800 km au pied des murailles de la ville.

L'important (surtout pour moi) était de ne pas chuter dans le chemin de terre piégeux bordant la rivière. Ouf ! Mission accomplie. Finalement, il suffit de lever les pieds et de garder un bon mètre de distance entre soi et le concurrent qui vous précède...

Mais difficulté supplémentaire cette année : la petite bruine qui a rendu certains pavés glissants. Ça n'aide pas vraiment dans cette montée de l'Everest qui prend dans sa dernière partie des airs d'Alpe d'Huez.

On a retrouvé toujours avec plaisir l'ami Jean Luc qui s'est époumonné avec son talent habituel sur le podium d'arrivée qu'on est bien content de franchir car les jambes gardent un bon moment le souvenir de cette grimpette pavée de bonnes (?) intentions mais qui n'en finit pas...

Ph. D.

Photos souvenirs TOUT RENNES COURT - Dimanche 14 octobre
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10 ou 21,100 CHACUN SA ROUTE

Premier constat : il y avait beaucoup d'engagés de Je Cours A Rennes sur le macadam et le pavé rennais. Car pour Tout Rennes court, pas une seule bande de verdure pour se détendre un peu les mollets. Que du dur ! Mais on connaît. Car pour beaucoup, ils n'en étaient pas à leur première participation.

La plus grosse surprise -- car il y en a toujours une --, c'est le temps. Les prévisions météo laissaient craindre un temps maussade. Bien au contraire, nous avons bénéficié d'excellentes conditions avec un petit soleil qui faisait du bien sur le chemin. Pas trop de vent mis à part sur la portion Léon-Bourgeois avant d'atteindre le cimetière de l'Est à la partie collante (Merci Powerade !). Mais il ne faut pas se plaindre.

Merci à Guy, Cathy, Ronan (qui lui en avait déjà terminé de son semi) et aux autres pour les encouragements prodigués sur le parcours rennais toujours roulant et toujours très bien fréquenté.

Ph. D


Trail de la CÔTE d'EMERAUDE - Dimanche 28 octobre
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Et au 12ème km, PATATRAS !

Les trails ne doivent pas m'aimer. Ou l'inverse. Ou alors ces chemins de terre battue avec des cailloux aux arêtes saillantes. Tout allait (à peu près) bien jusque là malgré une montée de pointe de la Varde qui oblige à multiplier les efforts quand au sortir de cette difficulté, une pierre a fait mettre nez à terre le coureur. Bilan : des stigmates aux mains et toute une longueur de jambe écorchée... Heureusement, solidarité de course, deux bons samaritains m'ont aidé à me relever pour effectuer le dernier kilo sur les plages du Pont et de Rochebonne.

L'an dernier, il s'agissait de faire 11 km sur ce même trail. Cette année, 2 km supplémentaires ont été rajoutés. Ce qui oblige les coureurs à allonger la foulée jusqu'à la plage de l'Eventail. Soit au total 7 km de course sur plage. Sur du sable de toute densité : dur, mouillée, souple. Les difficultés restent les mêmes avec notamment la montée de la Varde évoquée plus haut.

Les coureurs ont eu beaucoup de chance. Si la veille, le temps était glacial et venteux, ce dimanche matin était des plus agréables. Sans trop de vent ni de pluie. Il était temps que les derniers arrivants du trail long (29 bornes) en finissent car ils ont pu échapper à quelques gouttes de bruine.

Sur cette course, Eric a joué les touristes et les accompagnateurs (ce qui explique son temps). C'était les deux représentants de JCAR dans ce trail au goût de sel. Même s'il y en a eu un qui a préféré mordre... la poussière.

Ph. D.

Photos souvenirs Marathon de PORTO - Dimanche 28 octobre
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Vendredi matin 26 Octobre, de bonne heure par un temps frisquet, les 20 participants au voyage  pour PORTO se retrouvent sur le parking du stade de la route de Lorient pour prendre le bus qui va nous conduire jusqu’à ORLY Ouest où à 14h30 est prévu le décollage à destination  de PORTO.

Tout ce petit monde est à l’heure, 7h00 pile, le bus prend la direction de PARIS. Tout va bien quand circule un bruit venant du fond du bus : quelqu’un a oublié ses papiers d’identité. Grave erreur et gros problème car sans papier, pas d’embarquement à ORLY et trop tard pour faire demi-tour. Pas de panique, des propositions fusent de toutes parts, les portables chauffent pour enfin trouver quelques temps plus tard une solution. Ouf !!!

Le calme est revenu dans le bus quand soudain se fait entendre un bruit sourd anormal venant encore une fois de l’arrière du bus. Ce dernier se met à rouler d’une drôle de façon, mais notre chauffeur réussi à se garer sur la voie d’arrêt d’urgence et tout le monde descend se mettre à l’abri derrière le rail de sécurité pendant que le chauffeur fait le tour de son engin.

Eclatement d’un pneu arrière (heureusement que les roues sont jumelées). Après réparation nous reprenons notre route vers notre destination en espérant que la règle «jamais 2 sans 3» ne va pas venir perturber la fin de notre voyage en bus.

12h00, arrivée à ORLY Ouest sans autres problèmes. Il n’y a plus qu’à attendre l’arrivée de la fameuse carte d’identité manquante qui à cet instant précis est tout près de PARIS.

14h30, ouf !!! tout le monde est dans l’avion. Que de péripéties pour ce premier jour de voyage, mais on tient le bon bout car à 15h40 (heure Portugaise) nous touchons le sol de l’aéroport de PORTO. Il n’y a plus qu’à rejoindre l’hôtel au moyen du métro.

Après récupération des chambres, fin d’après-midi libre, puis repas local chez « oui-oui ».

Samedi matin, après un copieux petit déjeuner, tout le monde prend la direction du centre ville situé à environ 15 minutes de l’hôtel pour une première découverte de la ville et surtout pour récupérer les dossards des coureurs. La récupération faite, dégustation de nouilles à la « Pasta-Party » qui nous est offerte. Le reste de l’après-midi se passe en ballade dans les rues de la ville, voir même pour certains, en bateau sur le DOURO, rivière traversant PORTO d’est en ouest.

Rendez-vous est donné à tous vers 18h30 à l’hôtel dans la chambre 303 pour le traditionnel apéro du soir avant de partir à la conquête d’un restaurant pouvant nous servir des pâtes (surtout aux coureurs).

Dimanche, branle-bas de combat dès 6h30 pour nos 7 marathoniens (Anne, Bernard, Hubert, Dédé Delacroix, Alain, Eric et Laurent). Après un petit déjeuner pris sur le pouce (et il pouvait l’être prit sur le pouce car très léger) direction la ligne de départ. Nos autres coureurs, les 8 alignés sur la « Relay-Race » de 15 km, en réalité 16,300km (Fabienne, Françoise, Marie-Claude, Cathy, Rémy, Patrick, Philippe Dolle et Dédé) et les 2 sur le mini-marathon de 6 km (Monique et Laurence) préfèrent attendre 7h30 pour avaler un déjeuner normal.

9h00, le départ du Marathon et de la Relay-Race est donné, le départ du Mini-marathon sera donné à 10h30. Au km 7, les 3 accompagnateurs sont là pour encourager nos coureurs. Endroit stratégique car on peut les revoir passer une autre fois au même endroit (km :14). On peut aussi rester pour voir passer une troisième fois les marathoniens, mais nous décidons de rejoindre la ligne d’arrivée située à 2 km (nous aussi nous faisons notre sport).

Postés à 200m de la ligne d’arrivée, bien campés sur nos jambes, nous attendons l’arrivée de nos marathoniens. Les coureurs de la « Relay-Race » arrivés viennent nous rejoindre, quand apparaît Hubert contraint de quitter le marathon au 15éme km suite à une jambe douloureuse. Dédé Delacroix, lui aussi victime d’une douleur costale devra quitter son marathon vers le 18éme km et nous rejoindra. Ils ne nous reste plus que 5 coureurs à encourager.

Le premier à apparaître et personne n’en sera étonné est Bernard. Il réalise un temps et une place plus qu’honorables. A suivre Anne, puis Alain et ensuite, 4h02mn après leur départ Eric et Laurent à 8 secondes d’intervalle. Tout le monde ayant récupéré, direction l’hôtel pour un après midi de repos avant de se retrouver vers 18h30 chambre 303 pour fêter nos coureurs.

Lundi, journée libre pour tout le monde, suite de la découverte de la ville et l’après-midi visite d’une cave de PORTO.

Mardi, direction GUIMARAES, petite cité médiévale située au Nord de PORTO à 1h30 par le train et capitale de la culture Européenne en 2012. Découverte des quartiers et des monuments de la cité  avant le retour en fin d’après-midi vers PORTO.

Mercredi, fin de la découverte de PORTO et visite des magasins pour ces dames avant nos retrouvailles du soir vers 18h30.

Jeudi, les valises bouclées et mises en consigne à l’hôtel, dernière petite promenade dans les rues de PORTO avant de rejoindre l’aéroport d’où nous devons décoller vers la France à 16h20.
Atterrissage à ORLY à 19h30, où nous attend notre bus qui nous ramène sans encombre à RENNES où nous arrivons à minuit.

Embrassades rapides et l’on se sépare pressé de regagner son foyer car certains travaillent dès le lendemain matin.
Encore une sortie organisée par « Je Cours à Rennes » réussie. Très bonne ambiance au sein du groupe au cours de cette semaine, agrémenté d’un temps agréable excepté jeudi matin.

Guy

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Le Marathon de Porto vu par Anne
Après 2 mois d'entraînement « intensif » , c'est bien agréable de lever le pied (au propre et au figuré) pour s'envoler en bonne compagnie vers une ville colorée et animée. On quitte la grisaille et l'humidité pour atterrir sous le soleil avec un grand ciel tout bleu. On ne pense plus aux 42 km qui nous attendent, on est en vacances.

Il faut le dire, l'hôtel est calme, les lits sont bons (pour tout le monde, ce qui n'était pas spécifié dans la réservation sauf pour la chambre des 3 garçons !!), les déjeuners pantagruéliques (sauf peut être celui des marathoniens le dimanche matin : j'avais comme un petit creux dans le sas de départ, moi). Et puis le charmant jeune homme de la réception nous a trouvés aussi assez charmants pour nous prendre en photo !

1. Venons en à notre course : l'organisation était « top » (cf. l'accueil à la remise des dossards, la pasta partie copieuse, la bouteille de porto offerte). Bonne ambiance dés le départ même si on ne comprend rien au discours de l'animateur dans le micro.

Top départ, petite montée pour la mise en jambes, on traverse le Porto moderne, près de la Casa da Musica. Nous partons au Nord de la ville le long du parque dea cidade pour revenir sur nos pas au 15ème km. Le temps est beau, frais, idéal pour courir, j'aperçois Christine et Guy (toujours perché avec son appareil photo), c'est un bon moment, pourvu que ça dure. Le trajet se poursuit le long du Douro, il me semble que le vent a forci, 1ère difficulté : quelques rafales coupent le souffle.

Nous arrivons dans la vieille ville, avec ses petites maisons tassées et le linge qui sèche aux balcons, son vieux tram, ses rues pavées (aïe !! mes jambes !). On a passé le semi. Quelques orchestres ponctuent le chemin, il y en a un qui joue un french cancan, inconsciemment, j'allonge la foulée dans le rythme ! Mais je vais payer plus tard cette fantaisie car nous passons le pont D. Luis I pour rejoindre l'autre rive du Douro (le quartier des caves) que nous longerons sur une dizaine de km aller/retour.

De retour sur le pont, j'ai comme un p'tit coup de barre, et je croise Alain et Eric qui semblent, eux, en pleine forme. On passe un tunnel tristounet qui rejoint le centre historique. Les 10 derniers kilomètres vont être pour moi assez laborieux malgré les encouragements des spectateurs « Força ! Mulher ! Semessa ??), je n'ai pas la force de réviser mon portugais, je me botte mentalement les fesses et trouve un peu d'énergie en compagnie d'un « Ch'ti » à peu près dans le même état que moi avec qui je finirai la course.

Près de l'arrivée, je vois toute l'équipe de JCAR, ça fait du bien, je suis contente et je vais vite reprendre du poil de la bête quand j'aurai grignoté tout ce qui me tombe sous la main (pomme, biscuits) et j'ai même dévoré la réserve de madeleines de notre coach, qui, répétons le, est une vraie mère pour nous !!!

2. Le plus : en rentrant à l'hôtel, on s'arrête boire un pot dans un petit bistrot dont nous occupons la quasi totalité des tables, le patron derrière le bar se trouve être le gagnant du marathon de Paris de 1996, je crois. Il a aussi couru à Macao mais je ne sais plus son nom (*).

3. L'ambiance est vraiment bonne et nous allons passer 3 jours sympas presque toujours sous le soleil. Je crois que toute l'équipe a apprécié ce séjour, les Portugais sont accueillants, allez, on reviendra, la prochaine fois, on fait Lisbonne ???

4. Portugal Viva !!

Anne D.

(*) Il s'agit d'Henrique Cristostomo (POR) 2:12:16

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Photos souvenirs Marathon VERT de RENNES - Dimanche 4 novembre
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Des VENTS CONTRAIRES

Un marathon, c'est un juge de paix. Pas question de tricher. Le genre de chose qui vous met à poil. Si vous êtes passé à côté, à vous de trouver les bonnes réponses : mauvaise préparation, entrainement insuffisant, surpoids etc...

Pas une raison pour ne pas revenir sur cette seconde édition qu'on avait annoncée moins "inhumaine" que la première. C'est vrai que le choix de la date avait peu de risque de faire affoler le mercure du thermomètre. Il faisait frais mais la pluie a épargné les coureurs. Parfois, on se serait même pris à mendier un peu de soleil du côté de Pacé pour se réchauffer.

C'est justement là qu'il a fallu se bagarrer contre un vent de face qui labourait les champs complètement nus de la campagne pacéenne. Ce même vent contraire qui vous a scié les jambes dans les derniers km de course entre Cesson et l'hôtel de ville de Rennes. C'était pourtant pas le moment de se coltiner une autre difficulté à l'heure où on commence à ne plus sentir ses jambes. Des jambes qui ont été mises à rude épreuve après Saint-Grégoire. Ça ne vous rappelle rien?

On avait annoncé une fin de course après le 30ème plus douce pour faire oublier les himalayas de Betton et de Cesson. Tu parles, Charles ! Les Buttes de Coësmes et les montées de l'INSA (2 de suite) sans oublier le raidard de Cesson sous la voie rapide ont constitué un véritable supplice. Juste avant d'avoir le vent dans le nez dans les 5 km suivants. Sincèrement, la copie est à revoir.

En tout cas, elle ne correspond pas au profil de course dessinée par Jean-Marie Grall (cf le site internet du marathon vert). Autre récrimination tant qu'on y est : l'eau des ravitaillements : imbuvable ! Oui au vert, oui au développement durable. Mais les organisateurs pourraient faire un effort pour offrir un breuvage correct. Comment fait Tout Rennes court pour proposer pour son s'mi du Powerade dans une course où les frais d'inscription sont de... 0 € ?

Populaire le marathon vert ? Pas plus de monde que l'an dernier. C'est vrai que le "marathon des caddies" (Cap Malo, Route du Meuble, Ikéa, Cora, Grand Quartier et cette année Intermarché des Longchamps) fait davantage penser à une course de fric sous couvert de développement durable qui a une fois de plus bon dos...

Je ne suis pas le seul à penser que c'est la dernière fois que je vais courir le marathon de ma ville. Dommage. Nous étions donc 5 de Je Cours A Rennes sur le macadam noir de ce marathon vert. Avec des fortunes diverses. La plus "cocasse" est arrivée à Didier. Sur le tapis du final, il s'est retrouvé complètement bloqué avec des jambes en bois. Il a mis plus d'une minute pour effectuer les 20 m qui le séparaient de la ligne d'arrivée. Il a terminé son marathon... 1" après la barre fatidique des 4 heures !

Ph. D.

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Foulées MAUREPASIENNES - Samedi 17 novembre
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MAUREPAS, le 10 km AMELIORE

Au moins à Maurepas, y’a pas de surprise. Les foulées ont toujours lieu le samedi en milieu d’après-midi. Et le parcours est toujours le même. Ce que vous ne savez peut-être pas, c’est que le 10 km de cette 11ème édition mesure en réalité 10 km 100. Il a même fait 10 km 250 certaines années…

A dire vrai, on aime bien cette épreuve. Parce qu’elle ne joue pas les gros bras et qu’on a plaisir à animer ce quartier de Maurepas qui se donne des airs de campagne. Car ces foulées, c’est un vrai bol d’air. La campagne vous tend les bras à peine terminé le 2ème kilo.

C’est d’ailleurs là que les concurrents on eu le droit à une « saussée ». Heureusement le grain n’a duré que le temps de parcourir les trois km de sous-bois des Gayeulles qui ne se sont pas révélés glissants. Au 5ème, on retrouve le macadam pour une montée boueuse vers le petit pont qui surplombe la rocade. Avant de retrouver un km 7 en faux plat et un peu plus loin la grimpette dans le boyau de terre bordé de marronniers. Celle-là, elle fait mal tous les ans. Heureusement après, on se laisse glisser vers le Gast non sans avoir retrouvé un faux-plat (celui qu’on est bien content de dévaler à l’aller) et le petit raidard final. Qui rappelle des souvenirs à ceux qui se sont aventurés sur le marathon vert 15 jours plus tôt…

Jean-Luc Bot qu’on avait vu la veille à Saint-Benoît-des-Ondes animer la remise des prix du Challenge Banque Populaire Nord 35 était sur le podium qui domine une ligne d’arrivée franchie par 4 sociétaires de JCAR dont le président Alain, Eric ou encore Patrice.

Si j’ai dit plus haut qu’à Maurepas, y’a pas de surprise, ce n’est pas tout à fait exact. Deux coureurs au moins de l’association ont éprouvé cette sensation un peu désagréable de se retrouver avec un chrono pas à la hauteur de leurs espérances sans avoir pour autant eu l’impression de flemmarder en chemin. Il faudra vérifier tout ça sur une prochaine course. Dépêchons-nous, les rendez-vous ne sont plus légion d’ici la fin de l’année.

Ph. D.


Semi-marathon nature à PACE - Dimanche 18 novembre
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Que de BOUE !

Pour sa seconde édition, plus de 400 personnes se retrouvent à 11 heures au départ du semi-marathon nature sur le site de l’Etang à PACE.

Je suis le seul représentant de « Je cours à Rennes ».

Le départ est donné dans une prairie très boueuse. La course s’annonce belle, le soleil est radieux et la température clémente.

Les pluies de samedi ont abîmé le parcours. C’est un vrai parcours de cross, les sentiers et les sous-bois sont imbibés d’eau. Le sol très glissant provoque quelques chutes de coureurs. Quelques portions de routes de campagne permettent de se relancer. Un seul ravitaillement est prévu à mi-parcours, juste une bouteille d’eau. Tans pis pour les coureurs qui se sont lancés dans l’aventure sans provisions.

Difficile de se repérer dans la campagne Pacéenne. Je serais bien incapable de refaire le parcours.
C’est une belle course, le parcours nature est très agréable.

Christian P.


Corrida de GUIGNEN - Dimanche 16 décembre
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La 30ème, ÇA S'ARROSE !

Le ciel avait d’ailleurs bien fait les choses. Juste avant le début de la course, des trombes d’eau se sont abattues sur la ligne de départ. Heureusement au coup de sifflet, miracle ! Plus aucune goutte de pluie jusqu’à l’arrivée des coureurs qui n’ont pas eu à subir le climat rugueux de l’an dernier.

En effet, cette année, les plaques de verglas avaient laissé place aux flaques d’eau. Autant vous dire que sur la partie basse de la course, il fallait éviter la gadoue et les dérapages incontrôlés. La configuration de la course n’a pas changé. Même menu que lors de la 1ère édition : trois boucles, une moyenne et deux grandes. Avec à chaque fois, la grimpette vers l’église.

C’est d’ailleurs d’entrée la première difficulté à surmonter. Le passage dans les lotissements n’a rien de pittoresque et on a l’impression de tourner en rond. La partie basse est truffée d’angles droits qui obligent à d’incessantes relances sur un sol fait de terre et de gravillons. Difficile en plus dans les étroits boyaux de doubler.

En tout cas, une 30ème et dernière course de l’année avant la trêve. Un peu de repos avant d’attaquer l’an prochain les St Grégoire, Betton, Thorigné et j’en passe…

Ph. D.