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La ROUTE du PLAISIR à SAINT GREGOIRE - Dimanche 20 janvier
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S'ETALONNER sur SAINT-GREGOIRE

C’est donc la première. Pas idéalement plantée dans le calendrier. Généralement, il ne fait pas chaud (c’était le cas dimanche). En plus, les semaines précédentes ne sont pas forcément idéales pour des entraînements plaisants…

Donc, les bonnes voire les moins bonnes surprises sont au rendez-vous du bout des 10 bornes. Chacun jugera. Filles ou garçons. Chacun est donc parti avec un quart de retard pour sa course. Le parcours est archi connu. On sait où on va pouvoir souffler et où on va souffrir.

Toujours beaucoup de monde sur la ligne de départ : il faut jouer un peu des coudes voire slalomer pour dépasser le coureur devant soi. Mais heureusement, ça se régule au fil des kms.

Les encouragements sont toujours les bienvenus. Et ils ont été nombreux le long du parcours. Merci aux filles ! Ca fait du bien. Du bien aussi de croiser les maillots noirs de Je Cours à Rennes. Et ils étaient nombreux sur les deux épreuves. Le président en tête.

Juste une petite chose : un second petit ravitaillement (qui existait auparavant) a disparu juste après le 8ème kilo. Une petite gorgée d’eau n’aurait pas fait de mal avant d’attaquer la remontée du bourg puis le passage montant dans le tunnel… Il reviendra peut-être l’an prochain.

D’ici là, c’est Betton qu’il faut préparer pour un chrono encore meilleur que celui de St Grégoire. Pour certains (je ne cite pas de nom), ce sera un impératif.

Ph. D.


TOUT BETTON COURT - Dimanche 27 janvier
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ON A MARCHE sur l'EAU !

Il a du faire de belles photos le maire de Betton quand les différents pelotons de coureurs ont parcouru par deux fois la dizaine de mètres de la dalle de béton recouverte par l’eau du canal. Les coureurs ont en effet pataugé dans 10 bons cm d’une eau fraîche qui avait débordé du canal. Pour un peu, on ne participait plus à une course sur route mais un trail ! Heureusement, le chemin de halage n’était pas trop boueux. Certains se souviennent qu’on avait connu pire.

Bref, il faisait un temps tout à fait agréable (avec en prime des rayons de soleil dans le second tour) pour ce deuxième rendez-vous dominical de janvier de course à pied. Un 10 bornes dont le parcours était le même que les deux ou trois précédentes années. Avec le raidillon du 4ème kilo et celui du 9,5 en bordure de la médiathèque et surtout le faux plat qui suit. Pas du gâteau quand même ce final !

9 coureurs de Je Cours A Rennes étaient de sortie dimanche avec des fortunes diverses. Un a même réussi « l’exploit » (belle régularité dans la médiocrité) de signer à la seconde près le même temps que celui réalisé la semaine précédente à Saint-Grégoire…

Ph. D.


10 km de CUGUEN - Dimanche 17 février
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Au BOUT, la SOUPE aux CHOUX !

Certains coureurs ont appris quelque chose dimanche : l’existence de Cuguen et sa localisation. Charité chrétienne oblige, on ne dira pas qui a eu besoin d’un GPS pour se retrouver sur ces routes et chemins improbables entre Rennes et ce petit pays situé à l’ombre des éoliennes de Tréméheuc.

A propos de vent justement, diable qu’il soufflait pleine face à l’approche du 1er et du 6ème km de course. Un vent froid et mordant. Assez désagréable une fois enjambé le premier raidillon. Après, on retrouvait le calme plat de la campagne. Les choses se corsaient à nouveau une fois longé l’étang où s’étaient massés un nombre incalculable de photographes. Pour le paysage aquatique ou les coureurs ?

Après avoir retrouvé un macadam plutôt roulant, il fallait se coltiner les deux petites bosses pour arriver au coeur du village. Là où résonnait la voix de Dédé Delacroix accompagné de Christine en pleine activité à l’arrivée des coureurs.

Une belle petite phalange de Je Cours à Rennes était présente en ce dimanche matin brumeux.

Heureusement, le soleil a fait son apparition au moment du départ. Pas désagréable pour réchauffer l’organisme de certains partis à froid. Aussi, la soupe de légumes offerte à l’arrivée était plus que bienvenue. Tout comme le sac de légumes pour préparer une potée ou une soupe aux choux. C’est moins facile à porter sur une course ou lors d’un entrainement, mais ça change du tee-shirt traditionnel.

Ph. D.


Courons à THORIGNE FOUILLARD - Dimanche 24 février
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COURIR pour SE ... RECHAUFFER

Mario, tu commences à nous casser les oreilles. On n’arrive pas à entendre le silence de la forêt ! ». On était alors dans la montée du km 6 avec pour accompagnement le bruit assommant des gamelles tintinnabulant sur la carcasse du vélo, la grande gueule de Mario ponctuée par des coups de klaxon. La réflexion n’a pas du plaire à l’intéressé.

Mais dans ces conditions, impossible de s’entendre courir. Impossible même de s’entendre souffrir. Heureusement quand on arrive à quitter cette ambiance de foire, on peut prendre un peu plus de plaisir à la course à pied… (Une rapide enquête auprès de coureurs qui ont eu à subir pareil environnement sonore a conforté mon sentiment).

Tout cela pour dire que les 15 km de Thorigné restent un exercice exigeant surtout quand on doit courir habillé comme un esquimau. Il fallait en effet mettre plusieurs pelures sur la peau pour éviter au corps de trop se refroidir par un temps flirtant avec le 0° et sous quelques flocons de neige. Des flocons qui ont fait une légère réapparition au moment de franchir la ligne d’arrivée. Pour bien marquer que l’hiver était là, on a même eu droit à un léger tapis blanc à Mi- Forêt tout juste situé à mi-course.

Pas de changement dans le parcours. On connaît les difficultés : au 3ème kilo, au 6ème et avant le 10ème. Autrement, c’est du plat, de longs rubans de bitume noir à marteler au milieu du vert. Et la dernière descente dans le bourg qui fait du bien.

Je Cours A Rennes était une nouvelle fois bien représenté. Merci à Eric pour ses encouragements. Et aux autres qu’il a fallu quitter assez vite pour retrouver des milieux un peu plus chauds. Le week-end prochain, c’est samedi le semi de Saint-Gilles ou dimanche le Vaubaudet à Cancale. Pour ma part, j’irai voir s’il fait plus chaud sur les bords de Manche.

Ph. D.


DEFI de CANCALE - Dimanche 3 mars
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COMME un GOUT de JERZUAL

Quand vous vous lancez sur une première, il faut faire preuve de prudence avant de jeter ses premiers pas dans l’inconnu. Même si avant de partir, vous savez que vous devez vous coltiner deux fois cette p… de côte qui part du port de la Houle pour arriver au haut du centre-bourg.

Ce Vaubaudet constitué d’une première partie pas trop coupe-jarrets, d’une seconde beaucoup plus ardue, virage en sus, et d’une troisième qui vous oblige à tirer encore plus sur les bras. Alors cette course disputée sous un vent glacial de nordet ? D’abord une petite boucle d’environ 3 km et une seconde 7,250 sur les hauts de la Houle (oh ! ce vent qui pique et mord !) sur des chemins de terre battue perdus dans des sous-bois ou sur du macadam dans les écarts de la commune.

Chaque tour est bien sûr agrémenté de la grimpette du Vaubaudet. C’est une épreuve qui nécessite beaucoup de relances surtout dans sa première partie. La seconde permet de déployer un peu plus sa foulée sur le bitume. La fin du parcours très roulant et descendant le long de la corniche permet de découvrir un joli panorama surtout à l’heure de la pleine mer.

Il faut quand même en garder sous la semelle car le final se termine par la montée du dernier raidillon qui correspondant à une moitié de Jerzual mais avec beaucoup moins de monde.

Merci à Christine pour les conseils d’avant-course (oui, j’ai tiré sur les bras et je n’ai pas eu besoin de « compter jusqu’à 10 » car je ne me suis pas arrêté dans les deux montées).

Bravo à Dédé qui a animé le 10, le trail de 20 km et la marche nordique, les 3 épreuves de cette matinée dominicale brumeuse et glaciale.

Ph. D.


10 km de ROZ-LANDRIEUX - Dimanche 17 mars
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JUSTE AVANT LE DELUGE !

On a évité le pire ! Dès les premiers hectomètres, des gouttes d’eau ont douché le dos des coureurs. Heureusement, ça n’a pas duré. Seul un vent glacial a persisté tout au long du parcours. Avec en prime sur les bas-côtés, des amas d’une neige tombée quelques jours plus tôt et des prairies ensevelies sous les eaux. A tel point que le maire envisageait deux jours avant la course de prendre un arrêté d’interdiction.

Heureusement, les chemins creux ont été déblayés et l’épreuve a pu avoir lieu. Ce « 10 bornes » se compose de 3 boucles toutes différentes. C’est d’ailleurs ce qui fait le charme de cette compétition, deuxième épreuve du challenge Banque Populaire nord Bretagne.

La principale difficulté est ce petit raidard qu’il faut escalader aux 5ème et 8ème km. Heureusement que la fin des deux dernières boucles était adoucie par un vent arrière qui a poussé les quelques 300 concurrents d’une épreuve à laquelle participaient deux sociétaires de l’association.

Sitôt le dernier coureur arrivé, le ciel qui avait montré des signes de noirceur a déversé des tombereaux d’eau. Oui, on l’avait décidément échappé belle en ce dimanche matin de fraîcheur qu’a essayé de réchauffer l’ami Dédé Delacroix, préposé au micro.

Christine, elle, a réservé ses encouragements les plus chaleureux aux coureurs de JCAR.

Ph. D.


Tour pedestre de l'ASPTT RENNES - Dimanche 31 mars
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TOUT en RELANCES

Changement de programme pour l’ASPTT. Plus de traditionnel 10 km autour du parc des Gayeulles mais deux parcours nature à l’intérieur même d’un des poumons verts de Rennes.

Le premier proposé aux féminines sur 7,5 km et un second mixte long de 16,5 km. Il ne faisait pas très chaud quand les 261 coureurs se sont élancés à 10 h sur la seconde épreuve. Collants et corsaires étaient quasiment de rigueur avec maillots à manches longues. Il a fallu en effet 3 bons kilos pour commencer à se réchauffer.

Les habitués des foulées de Maurepas ne se retrouvaient pas en terrain inconnu. Ils ont foulé un parcours qu’ils connaissent bien.

Quatre licenciés de Je Cours A Rennes étaient de la partie : Fabienne, Alain, Hubert et Ph. Encouragés par coach Christine qui avait tenu à être présente alors que Dédé a mouillé le maillot lui aussi. Le président a du malheureusement déclarer forfait avant le 5ème km, victime d’une douleur consécutive à sa participation au relais marathon de Laval une semaine plus tôt. Le reste de la troupe a terminé une épreuve tout en relances.

Peu de lignes droites en effet, beaucoup de virages et certains à angle droit. C’est une course qui oblige à être très vigilant car les passages sont parfois étroits sur des chemins où vous trouvez du macadam, de la terre battue, des gravillons, de la pelouse et même des pavés. Heureusement, mis à part quelques endroits humides, on a évité le marécage.

Cette édition nature commentée par Jean-Luc Bot qui vous fait courir de part et d’autre de la rocade est vraiment plaisante mais assez exigeante. Une épreuve qui manque toutefois d’un ravitaillement surtout lors de la seconde boucle, le dernier poste arrivant un petit peu tard.

Ph. D.


TERRE et MER CANCALE - Dimanche 7 avril
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BEAU mais EPROUVANT !

Autant vous le dire tout de suite : le panorama vaut le détour. Mais comme vous avez le nez sur vos runnings pour éviter les racines piégeuses des pins maritimes, la boue ou les pierres saillantes des chemins creux, autant dire que côté tourisme, vous repasserez. Et puis, on court, on n’est pas forcément là pour contempler l’émeraude de la mer et le vert de la campagne. Surtout quand on connaît le coin…

Bref, Terre et Mer, c’est comme la Passagère : si vous ne donnez pas un coup de collier dans les 3 premiers kilos, vous vous retrouvez, comme moi, dans le gros du peloton avec toutes les conséquences que cela implique. Si ça roule bien les 5 premiers kilos (campagne et zone légumière), ça commence à se corser en attaquant le 6ème sur une partie de la plage Duguesclin. Mais ce n’est qu’un amuse-gueule. Le plus costaud viendra plus tard avec la traversée de la plage du Verger.

Trois options : basse à la recherche du sable dur, moyenne pour du sable pas trop mou ou haute avec des foulées ralenties mais une distance plus courte. Et quand on sort de cette plage, il faut attaquer la… falaise. Et là, on rame. Ou plutôt on se retrouve dans un boyau étroit où on ne passe pas à 2. Donc si vous vous trouvez au cœur de la meute, vous montez… en marchant. Bon, ça a au moins le mérite de vous faire souffler même si le chrono lui ne fait de surplace pendant ce temps-là. Mais Dieu que ça grimpe ! Et à plusieurs reprises sur un tel parcours escarpé, on se retrouve à la queue leu leu et au pas de marche.

Pas facile donc de réussir un temps. Heureusement, les deux derniers kms sont plus roulant car on retrouve le macadam. Mais on est bien content de fouler la cendrée du stade Coubertin pour en terminer. C’est beau, c’est sûr, mais éreintant.

Heureusement que le temps frisquet a laissé place en fin de course à une atmosphère plus printanière. Dédé Delacroix qui commentait la course avec la coach Christine comme aide de camp à l’organisation ont sans doute plus apprécié que les coureurs visiblement éprouvés sur la ligne d’arrivée.

Ph. D.


La Corrida de SAINT JOUAN des GUERETS - Dimanche 14 avril
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PREMIERES CHALEURS


Il aura donc fallu attendre la mi-avril pour pouvoir courir… en short. Fini les corsaires et les collants ! Il faisait en effet un temps idéal pour courir dimanche matin sur les hauteurs de la Rance et dans les rues et chemins creux du bourg de Saint-Jouan.

Inutile de revenir sur un parcours qui peut devenir vite lassant car après une petite boucle de 1 kilo, ce sont trois mêmes tours de 3 kilos chacun qui vous attendent. Aussi, si vous avez l’habitude de ce rendez-vous, vous pouvez faire la course les yeux bandés.

Le parcours ne présente pas de réelles difficultés si ce n’est la remontée vers la Rance (qu’il faut donc se coltiner 3 fois) avant de dévaler dans un chemin de terre. La principale difficulté résidait finalement ce matin-là à déjouer le vent de bout qui vous obligeait à vous arcbouter dans la longue ligne droite qui mène à la ligne d’arrivée.

C’est au final une course assez nerveuse qui réclame quelques relances car on tourne pas mal une fois longée la Rance. Heureusement, le buffet est à la hauteur et permet de se requinquer.

Pas de Jean-Luc ni de Dédé au micro à Saint-Jouan… C’est peut-être pour cela que sans pression (je rigole) je suis enfin descendu pour la première de l’année sous la barre des 50…

Ph. D.


Foulées BENEDICTINES à SAINT BENOIT des ONDES
Dimanche 28 avril
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PAS QUESTION D'EN FAIRE TOUT UN PLAT

La météo s’était trompée. Les coureurs s’attendaient à un temps beaucoup plus maussade que celui qui a régné ce dimanche matin-là sur Saint-Benoît-des-Ondes. Tant mieux pour les quelques 300 participants à cette épreuve qui reste -- et de loin -- la plus plate d’Ille-et-Vilaine.

Pas le moindre raidillon en vue sur les 3 boucles qui composent ce « circuit des records » disputé par un temps très clément et cette fois-ci sans vent de face qui avait tant gêné les coureurs en 2012. Certains s’en souvenaient encore.

Il était donc 9h30 quand Dédé Delacroix a commencé à s’animer sur son podium. Christine était également présente avant que le duo ne fonde l’après-midi sur Acigné.

Rien à dire sur cette course qui s’est déroulée sans histoire. Les uns plus préoccupés de compétition, les autres de simple entrainement du dimanche matin. Pas question d’en faire tout un plat donc. D’ailleurs, « A chacun son rythme », comme on peut le lire sur les maillots du club local de course à pied.

Ph. D.


La 10K SAINT MALO - Vendredi 3 mai
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Un en-K avant La PASSAGERE

Quoi de mieux pour se préparer à la Passagère que de s’élancer sur la 10 K aujourd’hui passée de l’organisation des commerçants servannais à celle du Marathon du Mont Saint-Michel. On a vu la différence notamment au niveau des ravitaillements. Plus que cheap et plus rien lors du second passage.

Le fait de faire partir la Malouine un petit quart d’heure avant la 10 K a fait se télescoper les coureurs. J’ai moi-même dépassé plus d’une dizaine de filles attardées. Et que dire des premiers qui ont du slalomer pour avancer !

Cette course de ville qui relie Saint-Malo à Saint-Servan est cependant loin d’être désagréable puisqu’elle emprunte un circuit qui longe les bassins et la mer. Mais ce n’est pas que du plat. Loin de là. C’est Saint-Servan qui collectionne les raidillons les plus costauds même si la descente de la Ville-Pépin et Clemenceau fait du bien aux mollets soumis à rude épreuve dans l’escalade des rues autour de l’église Sainte-Croix.

Autre avantage d’une course en plein coeur de ville qui en est aujourd’hui à sa 3ème édition : du monde à vous encourager sur le parcours. Et notamment ceux présents à Saint-Malo à l’occasion du marathon. Le cas de Samuel et Estelle qui n’ont pas ménagé leurs encouragements.

Voilà en tout cas un bel entrainement avant de se lancer sur les 14 km de la Passagère dimanche. Là, il y aura un peu plus de solitude même si on retrouvera le même final le long des Bas-Sablons.

Ph. D.


La PASSAGERE, DINARD-SAINT MALO - Dimanche 5 mai
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MI-MACADAM, MI-Trail

Record de participation avec 1100 coureurs sur cette course qui relie Dinard à Saint-Malo via le barrage de la Rance. On aurait pu craindre une baisse des effectifs en raison de la concurrence du marathon. C’est l’inverse qui s’est produit. Il y avait cette année un milliers d’engagés en moins sur les 42,195 kms de Cancale au (presque) Mont.

La course dinardo-malouine s’est déroulée dans des conditions idéales contrairement à l’an dernier. Le soleil était présent mais ne tapait pas trop fort et très peu de vent en bordure de Rance.

Plusieurs petites nouveautés cette année : un départ avancé de quelques 500 mètres et une sortie du parc de la Briantais non plus par le portail mais par le chemin qui borde la Rance.

Ce qui ne change pas, c’est la queue qu’il faut faire pour grimper dans le parc au sortir du barrage. Certains (comme moi) sont partis très vite pour éviter l’attente. Seulement voilà avec un 4’30 au kilo, on arrive éreinté au pied des premières difficultés que constitue l’escalade des sentiers du parc. Avant la côte en virages du cimetière du Rosais et la côte des Fours-à-Chaux. Le reste se digère plus facilement.

Bref, une épreuve qui allie course sur route et trail (attention aux racines et aux cailloux dans les chemins creux !) et qui semblait du goût des participants qui sont repartie avec sous le bras un… chou-fleur !

Ph. D.


Foulées de DOMLOUP - Jeudi 9 mai
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De la RELANCE, en VEUX-TU, en VOILA !

Quand au 3ème kilo, on se demande si à Domloup le km fait bien 1000 m comme ailleurs. Quand on se dit que ce 10 kilos ressemble à un 15, c’est signe qu’on n’est pas forcément à l’aise dans ses runnings. Signe sans doute qu’on n’a pas encore bien digéré sa 10 K et sa Passagère…

Et que dire d’autres coureurs qui avaient ajouté Broons à leur agenda ! Hubert, Fabienne, Dédé, Anne-Marie et moi, nous nous sommes donc retrouvés sur ce circuit très exigeant. Le même que l’an dernier en fait et qui m’avait semblé plus roulant. Signe de plus qu’on n’est pas au top de sa forme.

Déjà le premier kilo vous met dans l’ambiance. Ça monte en deux temps. Heureusement qu’ensuite, on peut bénéficier d’une belle descente vers le Rimon. Mais après, c’est du dos d’âne à tire-larigot. Sur du macadam, de la terre battue, de la pelouse. Heureusement d’ailleurs que les coureurs, en moins grand nombre cette année (la faute au viaduc ?) n’ont pas eu à courir après un orage. Car c’était glissades assurées. Bref, il faut sans cesse tirer sur les bras, donner des coups de rein, forcer sur les mollets. Ça n’arrête pas. Jusqu’au dernier petit tronçon final qu’on n’a même pas réussi à mettre sur du plat.

Autrement dit, si le parcours est agréable (excepté le passage, même s’il est très roulant, sur la zone artisanale), et que le temps a été de la partie, ces foulées requièrent beaucoup d’énergie et d’ardeur.

Ph. D.


Foulées de DINARD - Lundi 20 mai
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Lundi de PENTES et COTES

Dinard a le sens de la récup’. C’est déjà un bon point. Mais il arrivera un moment où il faudra faire preuve de beaucoup d’imagination pour arriver à fixer sur son maillot un dossard perforé de multiples trous d’épingles et qui a du faire la 1ère édition de ces foulées !

Une chose en tout cas avait changé : le temps. L’an dernier, on a eu droit à du chaud, virant étouffant. Cette année, c’était un temps frais et venteux qui a accompagné les presque 400 coureurs qui se sont retrouvés plage de l’Ecluse pour 11,230 kms. Un vent souvent de face, parfois de profil et par chance aussi de dos.

Le parcours n’avait pas changé à l’exception du départ où il a fallu emprunter une autre rue mais toute aussi pentue, direction Saint-Enogat et la plage de Port-Blanc. L’intérêt de cette course de ville, c’est que le parcours est varié : l’urbain, la mer et la verdure. Sur un sol tout aussi varié : macadam, sable, terre battue (par endroits boueuse), herbe et même piste d’athlétisme. Pour tous les goûts, quoi !

Seul petit désagrément : le second ravitaillement placé tout près du km 9. Il faut dire que quelques gorgées d’eau sont quand même les bienvenues avant de s’attaquer au km 11. Un dessert (ou plutôt un plat de résistance) en forme de raidillons et de coupe-jarrets qui vous font rendre l’âme avant de pouvoir dévaler vers le point de départ.

Devant un podium animé par Dédé Delacroix accompagné bien évidemment par la coach Christine mobilisée elle aussi lors de l’arrivée des coureurs.

Ph. D.


Foulées de MINIAC-MORVAN - Samedi 25 mai
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A SAUTE-ORNIÈRES

D’une année sur l’autre, on ne reconnaît pas le parcours. Mais peu importe. On sait que sur les 10,2 km de course, on a à se mettre sous la semelle du macadam et la terre battue des chemins creux.

C’est d’ailleurs le plus pénible, ces chemins qui bordent les champs ou s’enfoncent dans la campagne. Il faut faire attention à chaque foulée. Car sous l’herbe pourtant plus rase que l’an dernier, il faut faire gaffe où vous posez vos semelles. C’est-à-dire que vous êtes quasiment obligé de sauter d’un bord à l’autre de ces chemins défoncés pour éviter l’entorse. Un petit exercice qui complique votre progression. Ajoutez à cela le chemin montant du 3ème kilo et vous aurez une petite idée des difficultés que présente cette course nature qui laisse aussi la part belle au macadam.

Ah ! Que c’est agréable de dévaler sur un bon kilo le km 5. Ca permet de refaire son retard pris à se dépêtrer des sols herbeux et par endroits rocailleux que vous venez de franchir.

En revanche, le temps était idéal. Du soleil mais pas trop. Du vent aussi mais complètement annihilé dans les chemins à couvert que vous empruntez.

Bref, une belle petite course pour ceux qui aiment galoper dans la nature. Une course commentée par Dédé Delacroix toujours fidèle à ce rendez-vous campagnard.

Ph. D.


Foulées VERTES du BLOSNE - Vendredi 31 mai
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PROMENADE de SANTE

Ma foi, pas désagréable de faire un 10 kilos en petites foulées. Consignes drastiques de la coach Christine oblige, il fallait éviter d’appuyer sur le champignon. Ordre respecté. Pas désagréable pour une fois de regarder le paysage et de saluer le public et les bénévoles.

Au menu de cette soirée enfin printanière : un paysage urbain avec ses tours, ses petites maisons mais aussi sentant la campagne avec cette coulée verte en parallèle de la rocade, derrière l’Hôpital Sud et en bordure du stade Paul Lafargue et du Crapa. Parcours inchangé avec ses multiples relances dues aux tours et détours à effectuer. A tel point que Vincent Faucheux, le deuxième de l’épreuve s’est trompé d’itinéraire à 3 reprises !

Bref, une belle soirée même si l’ami Jean-Luc Bot devra revoir sa copie pour l’an prochain : beaucoup trop long le podium ! Lassés d’attendre ou pressés de voir la finale de la Coupe de France de football mais surtout frigorifiés (le froid a repris le dessus très rapidement), les 9/10 des coureurs étaient partis au moment du tirage au sort effectué sur une avenue ouverte à la circulation. C’était limite sécurité.

Il faudra donc changer de méthode l’an prochain qui verra une course dotée de prix plus importants. Confidence d’un élu rennais qui portait le dossard n° 1. A vous de deviner qui ?

Ph. D.


Semi CANCALE-SAINT MALO - Dimanche 2 juin
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9, 13, 17, TIERCE de la SOUFFRANCE

Enfin des coureurs de Je Cours à Rennes sur une course d’Ille-et-Vilaine ! Cathy, les 2 Françoise, Nadia, Dédé, Laurent, Jacques, Christophe, Hubert, Rémi, Eric… Et Guy à la photo.

Inutile de revenir longuement sur une course bien connue de tous dorévanant. On en sait les plaisirs mais aussi les tourments. Constitués en fait des 3 grosses difficultés d’un parcours vallonné : les côtes de Duguesclin (9ème kilo), du Lupin (13ème) et du Minihic (17ème) sans oublier ce faux-plat assez traitre qui suit la côte du Minihic à hauteur du camping des Nielles, lieu arrivée éphémère d’une ancienne édition.

Heureusement, les 2969 coureurs qui ont franchi la ligne d’arrivée ont bénéficié d’excellentes conditions atmosphériques : un temps frais au départ (quelle chance de partir de 8h30 même s’il faut sortir du lit dès potron-minet) suivi de quelques louchées de soleil et pas le moindre vent contrariant. Oui, de belles conditions de course animée par le duo Bot-Delacroix.

La 25ème édition laissera donc un excellent souvenir et surtout à ceux qui ont pu bénéficier du soleil généreux de l’après-midi. Comme un avant-goût d’été.

Ph. D.
SPECTATEUR sur le 25ème

Si les coureurs veulent s'échauffer un peu avant le départ, il faut se lever tôt et quitter Rennes dés 6h30 ce dimanche matin 2 Juin pour rallier Cancale où le départ de ce 25éme semi-marathon est donné à 8h30.

La journée s'annonce belle sans trop de chaleur et sans vent. Conditions idéales pour courir. 10 coureurs portant les couleurs de "Je Cours à Rennes" sont prêt à en découdre tout au long des ce semi. Quelques clichés avant le départ avec nos coureurs que l'on peut trouver et rassembler dans cette marée humaine de plus de 3200 partants.
Puis c'est le départ. Pour ma part je rallie St-Malo en voiture avec Joëlle Lechaux afin d'être fin prêt à encourager nos coureurs tout prêt de la ligne d'arrivée, là où nous rejoint Eric Letrémy. Nous ne serons pas trop de 3 pour les encouragements.

2h20 plus tard, tous nos coureurs sont arrivés à bon port et nous les retrouvons sur le parvis au pied du château, noyé dans un océan de monde où chacun commente sa course. Chacun semble être content de sa performance. Le tirage au sort, s'éternisant (une voiture mise en jeu pour cette 25éme édition), nous faisons abstraction de ce magnifique lot et décidons pour la plupart de partir.

Le pot de l'amitié gentiment offert à tous ceux qui le veulent par Françoise et Joëlle Lechaux, ne peut attendre aussi longtemps. Et c'est ainsi que ceux qui le désirent et le peuvent, se retrouvent autour de cet apéro avant de prendre la direction de la plage de La Guimorais où comme à notre habitude, nous finissons cette journée par un copieux pique-nique et pour certain une petite sieste bien mérité.

Les aiguilles de l'horloge continuant à tourner malgré tout, c'est vers 18 heures que chacun regagne sa voiture. C'est la fin de cette nouvelle journée passée dans la bonne humeur et la convivialité au sein de l'ASSOCIATION "JE COURS A RENNES".

De nouveau un grand merci à Françoise, Joëlle et leur Maman pour leur accueil ainsi qu'à tous nos coureurs qui nous ont fait rêver, nous qui sommes restés sur le bord de la route.

A une prochaine course.

G. B

Début des mots



FOULEOLIENNES de COMBOURG - Dimanche 9 juin
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La BOUCLE VERTE

Dédé m’avait prévenu : ce n’est pas un parcours pour toi. Il avait raison car fouler les herbes des chemins de campagne, très peu pour moi. Mais mon dos (un peu) en compote lui en est fort reconnaissant.

Cette course nature de 13,5 km laisse en effet peu de place au macadam pour privilégier les chemins creux. Parfois très creux en raison de l’orage qui s’était abattu le vendredi soir précédent. Mais heureusement, on n’a pas eu besoin de maillot de bain. Le terrain devenu souple était ma foi agréable à marteler. Les conditions climatiques étaient également idéales : un vrai temps d’automne car il est vrai que l’été – il faut le savoir -- est déjà passé.

Dès le 3ème kilo, les choses se corsent avec un long faux-plat ou une vrai côte (comme on voudra). Dans les chemins de campagne, il faut faire attention à ne pas se heurter les jambes avec les grosses pierres qui barrent le passage : c’est vraiment très étroit et il faut vraiment regarder où on met les pieds sinon, c’est le gadin assuré. Le chemin est très bien balisé et les bénévoles mobilisés en nombre vous encouragent à votre passage. Plutôt sympa.

A mi-chemin, vous êtes quasiment au pied des éoliennes auxquelles vous aimeriez bien prendre un peu d’énergie. On traverse ainsi Combourg, Lourmais et Tréméheuc et retour qui, à mon avis, est plus rapide qu’à l’aller. Au km 8, par exemple, on dévale avec beaucoup de plaisir un chemin tout en pente. Ce qui ne vous exonère pas de la grimpette du km 13 avant de finir (et ça, c’est un réel plaisir) sur la piste. Là où tout a commencé.

Dédé Delacroix au micro et Christine à l’appareil photo sont là pour les premiers mots de félicitations. Ca requinque aussitôt. Un mot aussi pour mes habituels complices dont ceux de Saint-Benoît-des-Ondes toujours fidèles des courses du nord 35. Pour signaler que c’est un véritable plaisir de courir à leurs côtés.

Ph. D.


ECHAPPEE nature 15 km à la CHAPELLE des FOUGERETZ
Dimanche 30 juin
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VU de l'EXTERIEUR

C’est par un temps pas très ensoleillé mais pas froid, temps idéal pour courir ce dimanche matin que les coureurs de « JE COURS A RENNES » se retrouvent vers 9h00 à La Chapelle des Fougeretz pour participer aux 15 km de l’Echappée Nature option « DUO ».

Petite sueur tout de même malgré le temps, Eléonore n’apparaîssant pas alors que le départ se rapproche.

Enfin, 10 mn avant 9h30, heure de départ de la course, nos 6 représentants formant les 3 duos alignés : Dédé/Eléonore, Rémy/Françoise et Laurent /Cathy sont prêts à en découdre avec les 227 coureurs se pressant  sur la ligne de départ. (159 concurrents sur les 15 km en solo et les 68 premiers coureur des duos).

Originalité de cette course duo : le premier coureur effectue une boucle de 5 km seul et récupère son équipier au 5ème km et le Duo parcourt  les 10 km suivants jusqu'à l'arrivée qu'ils doivent franchir ensembles. Le premier coureur parcourt donc 15km au total et son co-équipier en parcourt seulement 10.

A l’arrivée après quelques empoignades sur le parcours entre le duo « Laurent/Cathy et le duo Rémy/Françoise à qui passerait la ligne d’arrivée en premier, nos représentants contents de leur course commentent leur parcours. Tous disent que ce derniers demande de nombreuses relances mais que dans l’ensemble, ce parcours en majorité nature est très agréable.

Après être passé se restaurer au  ravitaillement bien achalandé et la prise de la photo du groupe, alors que certains regagnent leurs demeures, les autres restent à la remise des lots aux vainqueurs et au tirage au sort tout en sirotant un demi à la santé des coureurs.

G.B